Lorsque je sors du boulot vers 18 heures (je suis employé d'une compagnie informatique), j'ai le cerveau en bouillie, les pensées embrouillées. Je grimpe aussitôt dans un taxi, je me douche en toute vitesse et je prends quelques affaires. Dans ma voiture, je monte le volume au maximum et je roule ainsi pendant des heures, aléatoirement, le temps de trouver une petite auberge reculée pour passer la nuit. Cette fois, je roule en direction de Aix-en-provence. J'opte pour une auberge coquette où je stationne à côté d'une vieille jeep tout bariolée. J'entre dans le hall d'entrée à l'intérieur duquel flotte un fumet agréable. Un grand type au cheveux grisonnant attend derrière le comptoir et m'accueille avec un zèle qui ne me dit rien qui vaille. Pendant toute la durée de la transaction, je sens que son regard cherche le mien et qu'à défaut de le trouver, il me toise discrètement. Il me tend enfin la clé et me désigne l'escalier gentiment. Mais en tournant le coin, je tombe face à face avec une femme d'à peu près mon âge qui me foudroie d'un regard hargneux. Je file vers ma chambre et je m'y enferme pour la nuit. Je songe me déshabillant qu'il s'agit vraisemblablement de sa femme et qu'elle a son dragueur de mari à l'il. De toute façon, me dis-je en m'endormant, ce vieux chnoque n'est pas mon type Très tôt le matin, la faim me réveille et me rappelle que je n'ai rien avalé depuis midi la veille. Je m'apprête à me rendre au resto le plus proche mais en sortant à l'extérieur je constate, le souffle coupé, qu'une vaste prairie s'étend de l'arrière de l'auberge jusqu'à l'ouest, où le soleil fait sa timide apparition. Des chevaux et des vaches partagent ce havre de paix magnifique qu'il ne m'avait pas été permis de voir la veille. Je suis tellement subjugué par ma contemplation du paysage que je ne remarque pas tout de suite le bruit des pas qui se dirigent vers moi. Le souvenir de la veille suffit cependant à me faire redescendre sur terre. J'ai tout juste le temps d'arriver à ma voiture qu'un bras puissant me retient. Le maître de l'auberge me fait don d'un sourire qui, je l'avoue, me charme parfaitement. Toutefois, je n'ai aucune envie de me jeter dans les bras d'un homme à femmes qui est marié de surcroît. Avant même que je n'ai pu ouvrir la bouche, il me dit qu'un petit-déjeuner de roi est compris dans le séjour mais qu'avant de manger, il souhaite me faire voir quelque chose de singulier. En pareille circonstance, je n'ai d'autre choix que de le suivre vers la prairie verdoyante. Il me désigne un cheval tout en montant habilement le sien. J'ai un peu de mal à me hisser puisque je suis de très petite taille. Avec son éternel sourire aux lèvres, il me prend par les hanches pour me déposer d'un geste léger sur ma monture. Nous galopons à vive allure vers le disque doré qui nous sourit à l'horizon. La prairie débouche sur un sentier qui borde une rivière à faible débit et à travers laquelle nous passons aisément. De l'autre côté, une plage s'étend sur des kilomètres en s'escarpant progressivement. Mon mystérieux cavalier s'arrête enfin, décroche de son cheval un sac rempli de vivre et s'assied par terre en m'invitant à partager son repas. Il a amené des cerises, des fraises, des pommes, des concombres, des bananes, un festin de fruits et de légumes que l'on s'amuse à faire rouler dans nos bouches mutuellement ! Le contact est établi et je me dis après tout qu'il ferait un sacré bon coup. Le soleil tapant sur sa peau pale, il enlève son t-shirt en me tendant la crème solaire. Je prends mon temps, je caresse ses flancs, je lui caresse un téton à la dérobée, effleure sa queue qui semble s'être durcie à mon contact. - Hum, continue, tu me fais de l'effet, j'adore que tu explores mon corps ainsi Encouragé par ces paroles, ô combien bandantes, je descends ma main vers son pantalon qui présente une rigidité surprenante. Je défais les boutons et j'en sors une queue magnifique ! Ni trop longue, ni trop large, juste parfaite pour mon cul qui n'a encore jamais été honoré. Étendu sur le flanc, m'hypnotisant de son regard aussi vert que ses plaines, il prend un petit concombre et me le passe amoureusement sur les lèvres. Je sens une chaleur intense parcourir mon ventre et ma bite est déjà dressée
SAMEDI 2 AOûT 2008
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