Je suis une jeune femme de vingt-quatre ans, célibataire, je travaille comme esthéticienne dans un salon de beauté et j'habite une région superbe : la côte des Maures. Un agréable paradis qui s'étend de Hyères à Saint-Raphaël. Les plages y sont nombreuses. Ma préférée se trouve près de Saint-Tropez. Ce n'est pas la célèbre plage de Pampelonne mais une petite crique proche des Salins où on peut se baigner et se faire bronzer entièrement nue. Il est là, mon petit vice. L'été, j'adore vivre nue. Dans mon appartement, lorsque je suis seule, je m'habille uniquement si je dois sortir. J'éprouve une sensation de liberté très agréable de n'avoir rien sur moi, ni culotte ni soutien-gorge, ni jupe ni t-shirt. Cela me plaît mais cela m'excite aussi de faire mon ménage à poil, de prendre mon petit déjeuner, de lire, d'étendre mon linge sur la petite terrasse abritée L'an dernier, avec mon copain de l'époque, je suis allée passer un long week-end sur l'île naturiste du Levant. Ce fut une expérience qui m'a beaucoup plu et que j'aimerais renouveler plus souvent. Le plus dur, c'est de trouver un garçon qui soit prêt à vivre entièrement nu toute la journée, que ce soit pour aller faire les courses, prendre un verre à la terrasse d'un bar où s'amuser dans une boîte, le soir Finalement, je pense que les hommes sont beaucoup plus pudiques et plus coincés avec leur corps que les femmes. Ils sont prêts à montrer leur zizi sur une plage mais cela s'arrête là. C'est bien dommage car vivre nu procure des sensations délicieuses. Moi, par exemple, j'ai envie de faire l'amour beaucoup plus souvent que d'habitude. Tous les jours et parfois, plusieurs fois dans la même journée. L'hiver, je suis une fille plus sage tandis que l'été, je n'arrêterais pas. Il faut dire aussi, même si j'ai du mal à me l'avouer, que je suis une fille assez exhibitionniste. J'aime qu'on me regarde, j'aime provoquer, donner envier de moi. Je fais tout pour plaire et séduire. Lorsque je suis nue sur une plage, ce désir est encore plus violent. Les yeux cachés derrière mes lunettes noires (mon seul vêtement ), je peux épier les regards d'hommes qui se dirigent vers moi, qui s'attardent sur mes seins ou sur ma chatte, qui me détaillent, attendent le moment où ma position leur en montrera un peu plus Quant à moi, je fais mine de ne me rendre compte de rien mais je joue un jeu trouble et délicieux avec ces hommes que j'aguiche et que j'excite avec une fausse naïveté J'ai vraiment l'impression d'être caressée par leurs regards et cela me fait mouiller. Bien entendu, il est souvent arrivé qu'on me fasse des propositions, qu'on me branche, que des types me demandent d'une manière plus ou moins directe de baiser avec eux. Je n'ai pas toujours dit oui, je n'ai pas toujours dit non. Plusieurs fois, j'ai quitté la plage des Salins en bonne compagnie, que ce soit pour aller faire l'amour à quelques mètres, là où la côte offre des recoins plus discrets, ou alors dans une voiture, chez mon nouveau partenaire Jamais chez moi, par contre. Je n'invite pas un homme dans mon appartement quand je sais que ça ne durera pas avec lui. Il y a quelques jours, je me suis retrouvée dans un hôtel. C'est cette expérience que j'ai eu envie de vous raconter. Elle m'a énormément excitée pour différentes raisons. Déjà, je me sentais un peu pute dans ma façon d'agir. J'accompagnais un homme dans un hôtel, un inconnu avec qui j'allais baiser dans une chambre complètement anonyme et sans doute le quitter, tout de suite après. Il s'appelait Jacques et l'autre nouveauté était que cet homme était beaucoup plus âge que moi, la quarantaine passée et sans doute plus proche de la cinquantaine. Cela faisait longtemps que je rêvais d'une aventure avec un homme mûr. J'avais été déçue plusieurs fois par des garçons de mon âge qui s'étaient montrés trop hésitants, malhabiles, peu sûr d'eux. Un homme comme Jacques, ça devait être bien, ça devait être super, j'en étais convaincue. En plus, il était beau mec, assez musclé, pas de ventre, les cheveux grisonnants avec une légère calvitie. Une belle queue, aussi ! Mais bon, ce n'est pas la première chose que je regarde, chez un homme, même s'il est à poil sur une plage. Jacques aimait les femmes, cela se sentait. Il savait leur parler, les séduire, les faire rire.
DIMANCHE 5 AVRIL 2015
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