Je m'appelle Véronique. Je suis une grande et belle (c'est ce que tout le monde dit) jeune femme, aux cheveux blonds cendrés m'arrivant à mi-dos, et aux yeux noisettes très pâles. Je partage un appartement spacieux de l'avenue Foch sur Paris avec une camarade étudiante, appartement où j'ai également un atelier de peinture. J'étudie à l'école des Beaux-Arts de Paris où j'ai eu beaucoup d'aventures érotiques avec des jeunes hommes de mon âge, cette année. Dès qu'un mec pose ses yeux ou ses mains sur moi, je deviens toute gaga, un peu comme les chattes dans leur période de chaleur ; je cambre mon cul, j'effleure les braguettes, bref je me transforme en vraie poufiasse. Mais, il y a un mais. Lorsqu'un mec réussit à m'exciter assez fort pour que je me déshabille et que je le laisse me pénétrer, mon excitation diminue considérablement au fur et à mesure qu'il me baise. Je crois que la seule chose qui m'excite vraiment, c'est les préliminaires. Je pourrais presque jouir seulement avec un mec qui me fait l'amour habillé, car dès que le type se déshabille et que l'on en vient à la pénétration, l'excitation redescend et tout ce dont je suis capable, c'est de jouir par la voie clitoridienne. Les orgasmes les plus forts ont toujours eut lieu lorsque je me godais, après une soirée passée en compagnie d'hommes très chauds. En fait, je joue à la sainte-nitouche avec eux maintenant. Je ne me donne plus, si ce n'est avec ma colocataire pour faire plaisir à mon meilleur ami parfois. Comme cette fois où c'était son anniversaire. Je me suis mise à rouler un palot de la mort à Sophie, ma coloc', une gouine avouée, en sachant très bien que ce dernier allait arriver d'une minute à l'autre. Mais l'excitation m'avait vraiment gagnée et ça avait été plus loin que prévu. Lorsqu'il nous avait découvertes tête-bêche en plein 69 trash, je lui avais permit de mater notre show de lesbiennes mais quand il avait vu où étaient rendus nos rapports, une gaule d'enfer l'avait assailli. Il s'était littéralement jeté sur nous, s'abreuvant à nos chattes brûlantes que l'on effleurait l'une contre l'autre, tétant nos seins comme s'il s'agissait de la fontaine de jouvence. Il avait profité de notre 69 pour me pénétrer puisque j'étais sur le dessus et pour inonder le visage de Sophie de sa semence collante. Suite à cette petite baise bisexuelle, je fantasmai sur Sophie davantage de jour en jour. Je rêvais de faire joujou avec elle et la nuit, je commençai à la visiter dans sa chambre. Elle m'accueillait toujours les jambes ouvertes, la langue prête à la gymnastique sur mon petit haricot rose. Même qu'en raison du fait qu'elle n'a pas de couilles à vider lors de ses rapports, elle peut me baiser toute habillée pendant des heures et me troncher ensuite pour me faire jouir. C'est ainsi que je suis devenue un peu plus gouine qu'hétéro Les mecs veulent trop la pénétration, et pas assez les préliminaires. Malheureusement. Sophie est souvent à l'extérieur et je passe nombre de mes soirées en solitaire. Ces temps-ci, donc, je fais toutes les fêtes possibles, j'allume les mâles un max toute la soirée et je reviens vite chez moi pour me pénétrer avec toutes sortes d'objets. Ça, c'était avant que je me munisse du gode le plus dingue jamais conçu, le nec le plus ultra du sexe à pile ! Je le traîne partout où je vais et, dès que je sens l'étrange chaleur se répandre et chatouiller presque insupportablement mon bas-ventre, je m'enferme quelque part que ce soit un placard, une toilette, ou même une grange si je suis à la campagne, pour me masturber. Finalement, je baise plus souvent avec ma copine ou avec moi-même qu'avec les nombreux mâles qui passent sur ma route. Un soir, nous invitons un couple gay dont l'un d'eux est bisexuel. Romain. Nous buvons quelques pots et bien vite, le conversation s'organise autour du sexe. Benoît n'est peut-être pas excité par les femmes mais il dit aimer regarder des baises en live peu importe le sexe des participants. Échauffée par tant de révélations intimes, je monte sur la table et j'offre un strip-tease à Sophie, à Benoît et à Romain Benoît sourit timidement et trouve mon numéro vraiment beau, ça se voit. Il est tout de même vrai que la femme ne l'excite pas. Même si je me colle contre lui, comme une strip-teaseuse professionnelle, et que j'effleure sans cesse sa queue avec
JEUDI 13 NOVEMBRE 2008
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