LES VIERGES NOIRES - ERREUR DE ...

Quelques soirs après mon arrivée à la prison comme gestionnaire de crise (sexuelle, bien entendu !), je suis avec une gardienne dans le poste de surveillance du deuxième étage et j'entends des gémissements qui sont étrangers à mes oreilles. La gardienne rit, intimidée par les plaintes qui s'étirent comme de longs élastiques. - C'est qui les plaintes ? - Blanche Neige. - Ah bon ! J'aimerais bien en savoir davantage sur elle… - Son nom de famille, c'est Neige. Elle est ici pour meurtre. Du moins, c'est ce que prétend sa mère, qui est juge. C'est d'ailleurs elle-même qui l'a dénoncée. Elle aurait tué son père. Elle clame son innocence et elle est en attente d'un nouveau procès. Elle accuse à son tour sa mère, qu'elle juge tyrannique, d'avoir tué elle-même son mari. La juge est la mère adoptive de Blanche. - Elle est possédée ou quoi ? Pourquoi elle gueule comme ça ? - Elle a sept petites naines avec elle. - Vous devez déconner là ! - Je vous assure que non. Des fois je regarde par la fenêtre de la porte. Les naines glissent leurs bras dans ses trous, parfois deux dans chaque orifice en même temps. Quatre bras qui lui raclent les boyaux, elle en râle un coup. Les autres lui mordillent et lui lèchent les mamelons, les oreilles. Elle se tortille. J'en tremble tellement ça me semble bon ! Et dans ces moments-là, j'aimerais bien sentir une bonne grosse bite dans ma fente. Parfois, les naines reviennent de la cuisine avec de gros légumes et là, c'est l'indicible orgie. Les naines entre elles se font des saloperies, d'autres se vautrent sur Blanche… Bref c'est un festival de dilatations et de succions de toutes sortes. - Il faut que j'y aille alors. Je leur dois bien une petite visite. - Tu me raconteras, mon beau, dit-elle avec des yeux séducteurs. Je me rends au troisième étage, moi, le redresseur de torts, la bite de service dont la mission est de calmer sexuellement la population carcérale féminine de l'endroit, menottes et matraque à la ceinture. Je sors mes clefs et tourne un verrou. Une grosse porte verte s'ouvre. Je me rends comptes que je ne suis pas dans la cellule de Blanche Neige… Mais tant pis, je baise qui je peux… Les Vierges Noires dorment sur des lits superposés. La grande gazelle vierge, qui se nomme Cyndi, dort en bas. Je me place à genoux au-dessus d'elle, dégaine ma verge et en frotte le gland sur son visage. Le membre glisse dans sa bouche et cogne dans le fond de l'antre. Elle ouvre les yeux. Elle reste pétrifiée pendant quelques secondes, les yeux grands ouverts, puis les referme et lève sa tête pour promener ses lèvres sur les flancs de l'engin. Je me retourne, la verge tournant dans sa bouche, puis je baisse son pantalon de prisonnière de couleur orangée et sa petite culotte rose. J'attrape l'arrière de ses cuisses et remonte les genoux contre son ventre. Je n'ai qu'à me baisser pour lui lécher la vulve, alors qu'elle émoustille mon organe. Ses lèvres roses et brunâtres sont béantes et suintent de cyprine. Ma langue fore son canal vaginal. Ses cuisses écrasent ma tête dans leur étau, son souffle chaud, plaintif, attise ma verge. Soudain, une deuxième bouche se porte sur ma verge. Une langue se promène, sinueuse, baveuse, enveloppante. Ma semence gicle et remplit le gosier de la vierge. Quelques minutes plus tard, la vierge est debout, les paumes sur son lit. Mes deux mains tiennent la matraque dans sa bouche, comme un mors. Sa sœur, la voluptueuse Jennifer aux cheveux nattés, saisit ma verge et la place entre les lèvres de son vagin. Je donne des coups de hanches. Ma verge glisse. Je tire sur le mors et sa tête bascule, ses plaintes à-demi étouffées par le mors, se font plus insistantes. Bientôt mes bourses tapent contre ses fesses chaudes et en sueur. Jennifer passe de ma verge au clitoris ainsi qu'aux mamelons des gros seins pendants en ogives de sa sœur Cyndi. Et ma queue blanche glisse dans l'antre de la garce noire avec une envie pressante d'éclater, le gland brûlant, chauffé à bloc. Bientôt Blanche Neige, la dame aux cheveux blancs et les autres femmes des cellules autour entendent des échos. Les échos du plaisir d'un homme qui pulse sa sève, cogne sa…

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DIMANCHE 20 JANVIER 2008

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