Jusqu'à présent ce n'était que soupirs, ronronnements, mais là, le jeunot me gratifie d'un son rauque et sourd, il se relâche et m'attire vers lui, me prenant dans ses bras et me disant à l'oreille de rester. Ma bite est terriblement raide car je n'ai pas éjaculé. Je me retourne, toujours fiché en lui. Il se retrouve sur moi, toujours planté. Assis sur ma queue, il me fait un sourire et passe une main entre ses fesses pour palper mes couilles. Il commence à m'embrasser puis descend sur ma poitrine me mordiller les tétons. Il garde ma queue, pressant les couilles et continuant à embrasser mon torse. Puis, ildégage la bite, la saisit d'une main et ses lèvres commencent une descente vers mon ventre. Il tient ma verge dressée et m'embrasse autour, sur les cuisses, le ventre, sous les couilles parfois et je me demande quand il va la prendre dans sa bouche. Il fait durer l'attente. Puis il commence à donner des baisers tout le long de la queue tendue, passant sa langue sur toute la tige, la faisant bouger par petits coups sur le gland. Je sens sa queue bandée sur ma jambe, il s'y frotte tout au long de ses embrassades. Il dépose un baiser sur le gland, me regardant droit dans les yeux. Ses lèvres sont posées en c ur sur mon gland et il engloutit ma pine dans sa bouche. Ses yeux ne me quittent pas. Je vois ma pine enfoncée à moitié dans sa bouche, il respire fort par le nez. De temps à autre il essaie de tout prendre et descend ma queue dans sa gorge, presque jusqu'aux couilles. Il est doux, délicieux, vicieux, un superbe suceur, me dis-je en lui souriant. Il ne cesse de me regarder. Mon sexe se gonfle un peu plus, il le sent et me presse les bourses. Mon sperme arrive à grands flots et il pompe plus frénétiquement, plus vite, astiquant avec sa main ma bite. Il met sa bouche ouverte à peine au-dessus de mon gland et branle plus vite, soupesant mes couilles. Il me dit en allemand, puis en français : - Vas-y, vide toi J'avale ! Mon sperme jaillit, une première giclée qui vient s'écraser au fond de sa gorge, puis il engloutit la queue et la pompe pour la vider. Il aspire, tirant avec sa bouche sur la pine qui perd de sa vigueur après l'éjaculation. Mais, il ne désespère pas, continuant à pomper, sucer, aspirer, palper la tige et les couilles. Je n'ai pas totalement débandé et je sens ma queue se dresser à nouveau. Il faut dire qu'Ulrich est une sacré pompeur, cela fait bien 30 minutes qu'il n'a pas lâché ma queue et que sa bouche s'emploie à la faire cracher et à lui redonner une belle vigueur. Je ne suis pas en reste, l'ayant fait mettre dans une position où je peux fouiller chaque recoin de ses parties intimes. Il est trempé de sueur, le cul en levrette, proche de mon visage. Je lui dis de continuer à pomper et que je vais m'occuper de son outillage. Je lui fais mettre les fesses sur mon visage et je le lèche, le branle le plus tendrement possible, insinuant parfois un ou deux doigts dans son cul. Voyant qu'il adore mes inspections, j'enfile un troisième doigt dans ce cul, dont j'ai une vision majestueuse, la position mettant en valeur la cambrure de ses reins. Au bout de quelques instants, il change de position, s'allonge contre moi sur le côté, tenant toujours ma bite en la caressant tendrement. Je bande bien, il me donne des baisers, puis me demande de lui dire comment on appelle le sexe en français. Je lui fais prononcer pine, bite, queue, verge, biroute, trique, hampe, tige Il écarte ses cuisses et me demande pour ses couilles, là encore un petit cours de français. Il veut encore bavarder un peu de sexe, ma queue a un peu perdu de sa superbe. Je la montre à Ulrich, qui avec tous les mots appris me dit, coquin : - Je vais te la pomper ta grosse bite et tu pourras me la fourrer dans mon trou du cul. Je lui dis que je vais l'enculer volontiers. Il sourie. Je lui fourre un puis deux doigts dans le cul. Il me dit que je suis un peu gros quand même. Alors, il reprend ma queue, molle maintenant, et me suce. Je ne tarde pas à rebander, l'idée de l'enculer de nouveau
VENDREDI 8 JUILLET 2011
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