Je sortais avec une superbe fille de 22 ans nommée Sandrine. Elle avait de longs cheveux châtains et surtout une grosse paire de nibards ! Nos rapports étaient surtout sexuels ; notre libido était extravertie. J'avoue que nous ne serions pas resté ensemble si Sandrine n'était tombée amoureuse de ma bite, qui la faisait jouir au-delà de tout. Un jour. Sandrine me fit une surprise : elle me dit de la rejoindre dans son studio à 14h00. Arrivant sur place, j'entrai naturellement sans sonner. Soudain, j'entendis dans le couloir des gémissements de filles. Arrivant à sa chambre, je crus que j'allais tomber dans les pommes ; elle était à moitié à poil avec Sophie, sa meilleure amie, que cependant je ne connaissais pas trop. Sophie, pour le peu que je l'avais vu m'avais excité beaucoup, car elle avait un corps et un visage de rêve. Toutes les deux portaient des sous-vêtements blancs en coton. Sandrine sachant que cela me faisait particulièrement craquer. Elle se caressaient et je n'aurais jamais imaginé que Sophie était aussi belle quasiment nue. Je matais ses beaux seins aux pointes fines et pointues, qui se raidissaient à vue d'il. De même, son bas-ventre m'excitait énormément, je fixais sa chatte cachée par sa petite culotte. Je compris alors où Sandrine voulait en venir : elle m'avait déjà dit que Sophie, désirait ardemment se faire baiser en douceur par une bite qui la ferait jouir à plein, et goûter ainsi aux vrais plaisirs de la baise, ses anciens amants ne l'ayant pas satisfaite. Je m'approchai alors de Sophie, et prenant ses beaux seins à pleines paumes, je me mis à lui lécher les tétons. C'est seulement à ce moment là qu'elles prirent conscience que j'étais arrivé, tellement qu'elles étaient chaudes et excitées. Sandrine me regarda alors, d'un regard de coquine chargé de désir, comprenant que cela me ferait autant plaisir qu'à Sophie de baiser tous les 3 ensembles. Puis, je mis ma main à la chatte de Sophie, par-dessus sa petite culotte. Frottant ma main dessus. Sophie lâcha un profond gémissement de plaisir, car pas habituée à se faire tripoter ainsi, surtout par un mec qu'elle ne connaissait que de vue. Dès lors, pressant ma main contre sa belle chatte, je sentis la cyprine mouiller la petite culotte en coton. Je leur demandai alors de baisser leur petite culotte, aidant Sophie dans cette tâche. Elleavait une magnifique petite chatte qui ressemblait fortement à celle de Sandrine (aller savoir si elles ne se sont pas épilé le minou ensemble !), à la différence que les lèvres étaient plus fines, et que les petites lèvres humides de sa chatte dépassaient de sa cramouille. Sophie, me sentant caresser son sexe et ses seins, me fixait d'un profond regard, et elle respirait profondément, sans un mot. Moi, je bandais déjà comme un fou, et Sophie baissa alors les yeux pour voir cette bosse qui se dessinait sous mon pantalon. Ensuite, je reculai pour me déshabiller et pour les contempler en même temps. Sandrine et Sophie s'arrêtèrent alors de se caresser, attendant toutes les deux de voir ma grosse bite. Sophie avait dans les yeux comme une inquiétude, mêlée au désir de se prendre un pieux énorme. Une fois presque à poil, j'enlevai en dernier mon slip déjà très bossu, faisant ainsi jaillir ma grosse queue, que je pris à pleine main pour l'exciter en la masturbant délicatement. Alors. Sandrine dit à son amie : - Regarde-moi cette grosse queue ! Elle est pas énorme, franchement ? Imagine-là un peu te défoncer la chatte ! Je peux te jurer que tu vas jouir ! Sophie ne semblait pas très à l'aise, ne sachant ce qui allait lui arriver, et si mon gros sexe n'allait pas lui faire mal. Sandrine fit alors asseoir Sophie sur le bord du lit à ses côtés et l'invita à baisser sa culotte pour que je me masturbe en les regardant. Debout en face d'elles, je masturbais délicatement mon manche que je tenais à pleines mains, m'excitant ainsi en regardant leurs corps nus. Je regardai premièrement leurs seins qui étaient magnifiques. J'imaginai déjà les jolis seins de Sophie tanguer violemment au rythme des coups de ma grosse queue, dans des cris aigus de jouissance. Ensuite, je fixais leurs chattes à peines recouvertes de jolis poils châtains. Sophie avait une chatte qui m'excitait beaucoup, car ses petites lèvres plissées dépassaient. Elle fixait ma queue comme l'engin de la jouissance, qui, d'une seconde à l'autre allait entrer en elle et
MARDI 11 OCTOBRE 2005
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