Travailleur manuel

Cette histoire remonte à deux ans. J'étais encore étudiant et pendant le mois de septembre, je suis allé faire les vendanges dans le Libournais. J'avais trouvé ce boulot par les petites annonces d'un canard gratuit. L'exploitation, un grand domaine viticole, était située à quelques kilomètres de Villegouge. En plus d'être payé, j'étais logé et nourri. Je ne savais pas encore que j'allais être copieusement baisé ! Une dépendance du château avait été emménagée pour accueillir les vendangeurs. Des étudiants comme moi, mais aussi, plusieurs dizaines de saisonniers espagnols. Les chambres de deux lits étaient modestes mais bien équipées avec chacune, un coin douche. Je partageais la mienne avec José, un Catalan de 31 ans, brun, la peau mâte, les cheveux coupés courts, un torse velu, pas très grand mais très bien foutu avec une belle gueule. Il parlait assez bien le français. Chaque année, il venait faire les vendanges dans le sud-ouest, il se faisait également embaucher pour d'autres travaux agricoles. J'ai flashé comme un dingue sur lui dès le premier soir, en le voyant sortir torse nu et en slip de la petite salle de bains : une peau brûlée par le soleil, des abdos saillants, des bras puissants et surtout, une belle bosse entre ses cuisses qui tendait et gonflait le coton blanc de son slip. A partir de là, j'ai commencé à l'allumer. Je suis passé à mon tour sous la douche et j'en suis ressorti complètement à poil, guettant ses réactions. Je n'ai pas mis de slip tout de suite et je suis resté un long moment, entièrement nu dans la chambre faisant mine de ranger mes affaires, lui tournant le plus souvent le dos pour lui faire mater mon joli petit cul ferme. José n'a rien tenté ce soir là alors que moi, j'en mourrais déjà d'envie. Quand on s'est couché, après avoir dîné avec les autres, je me suis encore mis à poil. Il a retiré son slip lui aussi mais je n'ai pu découvrir que ses fesses musclées et poilues. Une fois dans mon lit, je me suis mis à bander aussi sec. J'espérerais qu'il viendrait me rejoindre mais José s'est endormi et j'ai été obligé de me branler pour me calmer tellement j'étais excité. Je n'ai pas perdu espoir et j'ai continué à le provoquer. Je sortais toujours à poil de la douche et je prenais toujours tout mon temps avant de m'habiller, fumant une cigarette, discutant avec lui. Il m'arrivait même d'avoir des débuts d'érection devant lui et je ne faisais rien pour les cacher. J'ai dû attendre le quatrième soir avant de le voir se décider ! J'étais nu, le corps penché en train de refaire mon lit. José est arrivé dans mon dos et, pétrissant mes fesses avec ses mains rugueuses, il m'a lancé : - Tu aimes faire la femme ? Ma bite s'est aussitôt raidie. Je lui ai répondu : - Je n'aime pas, j'adore. Je me suis tourné vers lui et j'ai tout de suite pu voir qu'il bandait lui aussi. Sa tige avait réussi à se frayer un chemin sous l'élastique de son slip, une pine longue et épaisse terminée par un gland volumineux et bien décalotté. J'ai empoigné ses couilles et j'ai commencé à les malaxer dans mes doigts, approchant ma bouche de son torse pour lécher et sucer ses tétons et ses mamelons poilus. Puis je me suis assis sur le lit et j'ai baissé son slip à mi-cuisses. Sa queue devait faire 20 centimètres, un beau calibre parcouru de grosses veines bleues et gonflées. Je l'ai pris dans mes doigts et je l'ai branlé, commençant à donner des petits coups de langue sur le gland rouge et lisse. En même temps, je pétrissais ses grosses burnes poilues. José se laissait faire, la tête penchée vers moi et les mains sur les hanches. J'ai ouvert ma bouche pour avaler son pieu, pressant bien mes lèvres dessus et le pompant à un rythme lent et régulier. José s'est mis à jurer en espagnol. J'ai pu facilement comprendre qu'il me traitait de pute et de salope alors que son bassin commençait à bouger. Il a placé ses deux mains sur ma nuque et il s'est mis à remuer, à me baiser par la bouche, m'obligeant à l'avaler le plus profondément possible. Nous avons changé de position. Je me suis étendu sur le lit et José est venu se placer à genoux sur mon visage. Je l'ai vu empoigner ses fesses et les écarteler sur un…

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MERCREDI 23 FéVRIER 2005

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