L'irruption du mec d'Antonin alors que nous baisions au salon me troubla légèrement. Mais Antonin était bien fichée sur ma queue, toujours sur le canapé, il se tourna vers lui et lui dit simplement bonjour, se remettant à bouger sur ma tige. Son mec répondit : - Alors ma belle salope, tu peux pas t'empêcher de sautiller sur toutes les bites ! - Tu sais bien que non ! Alors, mine de rien, il sortit sa bite et la présenta à sa bouche. Antonin, tout sourire, engloutit la queue de son légitime et se pistonna sur la mienne plus fougueusement. Nous lui tripotions les couilles et la queue avec ferveur. Je glissai une main entre ses fesses et y fichai mon doigt. Il me lança :«Salaud», alors que lui trifouillais le fondement mais je voyais que son mec prenait cela comme une invitation. Il se retira de sa bouche et vint se glisser derrière lui. Alors je pris à deux mains les fesses d'Antonin, les ouvris au maximum et je vis, à sa grimace, que nos deux bites dans son petit illet brun lui procurait un mélange de douleur et de plaisir. Le légitime d'Antonin l'enfilait et il me soupira à l'oreille : - Tu nous laisseras t'enculer aussi ? - Ah ça Antonin, à voir le braquemart de ton homme, je vais encore y réfléchir ! Maintenant nos bites avaient pris le même rythme. Antonin se tordait, disant qu'il adorait se sentir bourré ainsi et qu'une troisième queue dans sa bouche serait idéale. Puis il goûta voluptueusement nos verges mêlées au fond tandis que je sentais son mec s'activer plus rapidement en elle, il la baisait plus fort. Antonin le poussait en lui criant : - Défonce-moi, encule-moi fort, ouvre mon cul pour que Jean-Michel puisse y bouger aussi fort. À ses mots, son mec se vida les couilles, il râla, me disant : - Allons, vide-toi les burnes aussi ! Maintenant seul dans son trou du cul, je l'enculai d'un trait, ma pine s'engouffra dans son anus. Il était suffisamment ouvert pour qu'Antonin ne grimace plus sous la poussée. C'est lui maintenant qui allait à la rencontre de ma tige, bougeant, ondulant, poussant son cul sur ma hampe jusqu'à la garde. Mes couilles venaient buter contre les siennes et je sentais ses doigts m'attraper à chaque coups de boutoir. Il se masturbait en même temps et avait pris la queue de son mec dans sa bouche pour lui redonner de la vigueur. Le légitime se remit vite à bander et Antonin lui vida à nouveau ses bourses : cette fois-ci il avala avec délectation le sperme chaud. Je lui dis que je voulais jouir et il m'attira hors de ses entrailles, se tournant pour m'offrir sa bouche dégoulinant. Il m'enleva la capote, prit ma queue et la branla entre ses fines mains, me provocant de ses yeux et de ses mots : - Vas-y, vide tes couilles sur mon ventre et ma bite, crache, inonde-moi. Mon sperme jaillit à grandes giclées, la première s'écrasa sur son visage, il en sourit. Pour la seconde, il avait placé ma bite entre ses mains, qu'il avait resserré. Je me vidai ainsi jet après jet, puis il se badigeonna avec mon sperme, me regardant tout sourire, très provocateur. Nous sommes restés là quelques instants, à bout de souffle. Antonin nous caressait le sexe et les bourses, bien vides cette fois. Et nous bavardions tout naturellement des photos que j'allais faire avec eux Ma carrière de photographe de nus masculins commençait plutôt fort !
SAMEDI 19 OCTOBRE 2013
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