Thomas et Sophie étaient venus dîner hier soir en compagnie d'un copain de Tom. Après le repas, le copain et Sophie décidèrent d'aller au supermarché pour la dernière soirée de la quinzaine commerciale. Thomas décida de rester à la maison car il était fatiguée de sa semaine. Quant à moi, je choisis de rester pour finir un rapport urgent qui devait être sur le bureau du patron pour le lundi matin à 9h. Tandis que j'étais à l'étage. Tom regardait la télé au salon. Au bout d'un quart d'heure, je l'entendis éteindre le téléviseur et aller à la cuisine. Absorbé par la rédaction informatique de mon rapport, je ne l'avais pas entendu monter les escaliers. Tout à coup, je le vis dans l'encadrement de la porte. Il avait cette lueur dans le regard, celle qu'il avait déjà eu quelques semaines auparavant. Je repris mon travail, sachant bien que quelque chose allait se passer. C'est lui qui prit l'initiative. Il s'avança vers moi et commença à ôter son pull. Il avait un corps à faire rêver ce salaud. Il s'approcha encore, s'agenouilla puis passa sous le bureau, entre mes jambes. Je continuai d'écrire tandis que je sentis la paume de sa main caresser mon sexe à travers mon pantalon. Il entreprit d'ouvrir ma fermeture éclair et engagea sa main à l'intérieur. En un clin d' il, il avait extirpé mon sexe dans un mouvement libérateur. J'étais déjà en érection et il ne perdit pas de temps pour emprisonner ma queue dans sa bouche chaude et humide. Il commença à titiller mon gland avec sa langue puis entreprit un va-et-vient qui accélérait à chaque aller retour. Au bout de quelques minutes, n'y tenant plus, je dus l'arrêter pour ne pas lui remplir la bouche de mon sperme. Je l'aidai à se relever et l'embrassai goulûment. Ses pectoraux hyper fermes se dressaient fièrement devant moi. J'attrapai successivement ses mamelons pour les caresser de ma langue et de mes lèvres. Ensuite, je défis sa ceinture et j'ouvris son jean pour le faire tomber à ses pieds. Il était là, devant moi, en slip et en chaussettes. Je m'approchai et j'écartai délicatement le tissu de son caleçon pour plaquer mes lèvres sur son sexe déjà dressée. Je passai sa jambe par dessus mon épaule pour que son fion s'ouvre à moi et entrepris de l'explorer avec ma langue. Il ne pouvait résister très longtemps et des spasmes intenses déferlèrent en lui telle une vague de plaisir. Ne pouvant se contrôler, il poussa un gémissement qui me rendit presque animal. Ensuite, je le posai sur le bureau et je me levai. J'approchai ma bite et je m'introduisis sans effort dans sa bouche chaude. Je le limai quelques instants puis je décidai que ce trou était devenu trop grand pour moi. Je le retournai pour qu'il prenne appui sur le bureau et je commençai à lui enduire le cul avec un lubrifiant oublié dans le tiroir de mon bureau. Il ne souhaitait pas que je fasse ce à quoi il pensait mais je le forçai à rester en place pendant que je continuais à préparer mon arrivée. Il me supplia d'arrêter, m'expliquant qu'il n'avait jamais été sodomisé et qu'il avait très peur de ça. Je tentai de le rassurer, lui expliquant qu'il apprécierait forcément cette nouvelle expérience. Il paraissait vraiment effrayé et il me sembla voir perler la sueur sur son front. Toutefois, je décidai de continuer, estimant qu'il serait toujours temps d'arrêter si ça lui faisait trop mal. J'empoignai mon sexe et l'approchai de son anus. Comme il se débattait, j'eus du mal à m'immiscer entre ses fesses et je dus me résoudre à lui redire encore qu'il aimerait, lui rappelant que la dernière fois il ne voulait pas baiser avec moi et qu'il avait pourtant aimer ça ensuite. Ces arguments semblèrent avoir raison de ses réticences et bien que rechignant toujours, il se montra plus docile. Je le pénétrai donc doucement mais les cris qu'il poussa étaient des cris de douleur. Cependant, après quelques va-et-vient, il grogna de plaisir pour finalement m'encourager en me demandant de bien le bourrer à fond car il adorait ça. N'y tenant plus, j'accélérai le mouvement et j'éjaculai dans son cul. Après m'être retiré, je vis couler un filet de sperme qui alla se mêler aux poils de son cul. Je partis vers la salle de bains et entrepris de me laver le sexe. Une fois que ce fut fait, je revins vers le bureau et
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VENDREDI 26 AOûT 2011
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