Je n'aurais jamais cru que je puisse éprouver un jour, un coup de foudre pour un homme. Pourtant, c'est bien ce que j'ai vécu l'été dernier avec Cédric. Il était témoin au mariage de la nièce de mon épouse. Ce jeune homme de 24 ans fut la révélation de ma vie. Au premier regard échangé, il m'est apparu superbe, une magnifique chevelure châtain-clair bouclée, un corps fin avec une jolie musculature qui roulait sous une peau bronzée, des yeux verts bordés d'une rangée épaisse de cils noirs. Il portait un pantalon clair en toile et une chemise légère dans les mêmes teintes avec une élégance féline. Ce fut plus fort que moi. En le découvrant, j'ai ressenti un violent trouble, les tempes soudain transpirant d'une émotion que j'avais un mal fou à cacher. Et incroyablement, j'ai dû lui faire le même effet. C'était toute mon homosexualité refoulée qui refaisait surface, et qui se révélait dans une étendue dominatrice et dévastatrice. Bien sûr, j'avais été déjà excité par des corps d'hommes. Dans les vestiaires de l'armée, par exemple, lorsque nous nous retrouvions entre jeunes appelés, à poil dans les douches. Mais rien de plus. Je me suis marié à 26 ans. Avec ma femme Annie, j'ai mené une vie tout à fait normale. C'est ainsi que je suis resté à l'abri de mes vraies tendances pendant une bonne quinzaine d'années. Avec Cédric, ce fut comme un tremblement de terre. C'était toute ma vie qui basculait. Durant le repas qui a suivi la cérémonie et pendant le reste de la soirée, j'ai épié chacun de ses gestes. Il en faisait autant. C'est lui qui est venu m'aborder alors que je me trouvais assis à une table. Avec un instinct aussi sûr que celui de deux animaux, nous nous sommes allés l'un vers l'autre. Mes mains étaient moites, mes doigts nerveux. On a bavardé de tennis. Cédric était inscrit dans un club de Toulouse. Quand il a su que je jouais, moi aussi, et que j'étais classé, il m'a proposé un petit match. Je dirige une petite entreprise de vente de matériel informatique, ce qui me permet de me libérer facilement et nous nous sommes mis d'accord pour nous retrouver, le jeudi qui suivait, en début de matinée. J'ai attendu ce rendez-vous comme un jeune collégien amoureux, ne pensant qu'à lui. Le match fut âprement disputé, j'y mettais toute ma hargne mais je l'ai perdu. Après, nous sommes allés prendre une douche dans les vestiaires. Nous n'étions que tous les deux et Cédric a commencé à se déshabiller avant de se glisser dans l'une des cabines. Ma gorge s'est nouée de désir quand je l'ai vu se débarrasser de son tee-shirt. Il a fait glisser son short sur ses cuisses et enfin son slip. Il me tournait le dos, m'offrant la vue de ses épaules larges et de ses petites fesses rondes et fermes. Quand il s'est retourné vers moi, mes yeux ont été attirés irrésistiblement par son sexe, une verge assez longue mais plus fine que la mienne. Mon coeur battait la chamade. Je trouvais son corps aussi émouvant que parfait. Une érection incontrôlable commençait à gonfler et à tendre mon sexe. J'étais assis sur le banc, un bras protégeant la vision de ma queue tendue. Il était impossible pour moi de me lever, maintenant. Heureusement que j'avais encore mon slip sur moi. Cédric m'a souri : - Une bonne douche nous fera du bien. Je suis en nage. Je l'ai vu disparaître dans l'une des cabines et je me suis empressé de finir de me déshabiller à mon tour pour passer sous la douche. Malgré les efforts que je faisais pour lutter contre mon désir, je bandais toujours autant. Ma queue était raide comme un piquet de le savoir nu à côté de moi, nos deux corps séparés seulement par une minuscule cloison. J'ai songé me branler sous l'eau brûlante pour me faire débander, je m'obligeais à penser à autre chose mais rien n'y faisait. C'était plus fort que moi. J'avais envie de lui avec autant de force que de rage. Cédric est sorti le premier de sa douche. Quand je suis revenu vers les vestiaires, il était assis sur un banc, encore nu, les cuisses écartées, en train de se sécher les cheveux avec sa serviette. Maintenant que ma décision était prise, j'étais beaucoup moins anxieux. Je me suis dirigé vers mon sac, attendant ses réactions. Mon sexe en demi-érection avec le gland
JEUDI 15 DéCEMBRE 2005
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