Tendances exhib

C'est Olivier, mon mari, qui m'a fait découvrir mes tendances exhibitionnistes. Olivier est chirurgien en cardiologie. En plus de ses activités dans l'un des plus grands hôpitaux de Bruxelles, il donne des conférences un peu partout dans le monde. Quand je l'ai rencontré, j'avais à peine 19 ans. Olivier en avait 35 et bien au-delà de tout ce qui est exhibition, c'est lui qui m'a d'abord fait connaître tous les plaisirs de l'amour. Il m'a appris à jouir de mon corps, sans retenue, en m'initiant à de multiples pratiques, il a fait de moi une véritable bourgeoise insatiable aimant transgresser tous les tabous. Son premier soin a été de m'initier à la sodomie. J'avais déjà connu plusieurs hommes avant de rencontrer Olivier mais j'avais réussi à protéger le petit orifice secret de mes fesses et à le préserver vierge. Olivier est le genre d'homme à qui on ne peut absolument rien refuser. Il arrive toujours à ses fins. Il a l'habitude d'avoir sous ses ordres le personnel entier d'un grand service chirurgical. Son autorité n'est jamais remise en cause. Il lui suffit de parler pour être obéi sans délais. Croiser son regard bleu acier me faisait mouiller ma petite culotte de petite étudiante encore bien sage à l'époque. Je n'osais rêver de rencontrer un homme comme lui, à la fois plus âgé que moi, viril, très beau et dominateur. J'étais en fac de médecine et Olivier a été mon prof avant de devenir mon amant puis, mon mari. C'est lui qui m'a appris à porter de jolis dessous en dentelle puis de la lingerie cuir et des culottes complètement fendues entre les cuisses. Il m'a surtout fait découvrir une façon différente de faire l'amour et qui ne ressemblait pas du tout à ce que m'avaient habituée mes petits amis étudiants. Tout en me baisant, il me parle, il me raconte des histoires perverses, il m'invente un scénario. Je me suis mise à jouir très fort de ses mots crus et de la manière autoritaire qu'il a de s'occuper de mon corps. Je me suis agréablement laissée glisser dans les chemins de la soumission. Consentante à cause du plaisir que j'y prends à chaque fois. Olivier me pousse toujours à aller plus loin. Il est évident qu'avec un tel partenaire, mon petit orifice ne pouvait pas rester vierge longtemps. Je l'ai laissé m'enculer, surprise de voir que je pouvais en retirer un immense plaisir avec sa queue qui s'activait profondément entre mes fesses. J'étais heureuse d'offrir mon cul à un homme dont j'étais follement amoureuse et qui me faisait l'amour merveilleusement bien. Parfois, il me bande les yeux, il m'attache, il lui arrive même de me donner la fessée avant de me prendre quand il estime que je ne suis pas assez sage. Et moi, après un tel traitement je me sens aussi bien ouverte avec ma chatte qu'avec mon cul, aussi mouillée devant et derrière pour le recevoir dans mes deux orifices. Mes premières expériences d'exhibitions avec Olivier se sont déroulées sur les plages du midi de la France où nous étions en vacances. J'avais seulement vingt ans et nous n'étions pas encore mariés. Olivier me faisait fréquenter uniquement les plages de naturistes. J'étais belle, encore plus désirable et plus bandante avec mon corps bronzé, tous les hommes me regardaient, les yeux pleins d'envie. Je me sentais à la fois fière et excitée par leurs regards sur mes seins, sur mes fesses ou sur ma petite chatte que j'épilais régulièrement. A cause de cela, j'avais tout le temps envie de faire l'amour. Olivier me poussait à exciter davantage ces hommes en me demandant parfois de prendre des postures totalement impudiques. -«Quand ils passent devant toi, écarte un peu plus tes cuisses. Passe ta langue sur ta lèvre comme une vraie petite chienne excitée ou bien suce ton doigt. Jeunes et salopes, ils adorent ça.» Cela ne faisait que décupler mon excitation. C'est aussi durant ces vacances qu'il m'a obligée à ne plus porte de culotte sous mes jupes ultracourtes. Le simple fait de me baisser un peu dévoilait totalement les fesses. A la terrasse des cafés, il me demandait parfois discrètement d'écarter les cuisses dès qu'il apercevait quelqu'un qui essayait de lorgner entre mes jambes. A cette époque, je ne comprenais pas encore pourquoi ces situations me faisaient autant mouiller. Moi qui étais pudique et réservée, j'étais en train de radicalement me transformer. Je n'arrivais plus à jouir que…

» rencontres ?  Saint-Germain-du-Corbéis

MERCREDI 29 SEPTEMBRE 2004

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