Le soleil printanier étendait ses chauds rayons depuis l'aube, annonçant une journée sans nuages sur Paris. Comme à l'habitude, je me rendis au boulot à pied, histoire de profiter de la chaleur et du ciel bleu de mars. Les oiseaux chantaient, les passants se pressaient pour s'engouffrer dans le métro, le train-train quotidien du lundi matin se mettait lentement mais sûrement en marche. En traversant la rue, ce jour-là, heureux que j'étais d'être de retour à Paris après six années d'absence, écoulées péniblement dans la ville de Chicago, une voiture passa à deux doigts de me happer mortellement. Ma vie fut épargnée grâce au réflexe du conducteur qui tenait presque du miracle, mais sa grosse Mercedes m'écrasa tous les os du pied. Je hurlai comme un démon et je vis des passants accourir à mon secours en me voyant tomber sur le flanc, ma tête se fracassant brutalement contre l'asphalte de la rue. La douleur était telle que les visages penchés au dessus de moi se dissipèrent progressivement à travers une brume anesthésiante, envahissant d'abord mon cerveau douloureux, puis tous mes membres. Lorsque je m'éveillai, j'étais dans un lit d'hôpital, un énorme plâtre m'entourant le pied. Je tentai de bouger mais des sangles étaient disposées autour de mes poignets et de mes chevilles. Quelque chose clochait, cela ne faisait aucun doute ! «Il doit y avoir une erreur», me dis-je en voyant la pièce déserte et mes jambes écartées comme pour un accouchement. De plus, je n'avais aucun vêtement, pas même la chemise typique des hôpitaux. Paniqué comme un animal qui voit la lame du boucher approcher, je tentai de me dégager les mains mais je ne parvins qu'à m'essouffler. Des docteurs s'approchaient de ma chambre en vociférant au sujet du menu de la cafétéria qui, selon eux, rebuterait même les animaux. Je me convainquis de feindre le sommeil car je souhaitais ainsi avoir accès à des informations pertinentes sur mon cas. Comme je l'avais prédit, en entrant dans la pièce, trois docteurs, que j'aperçus à travers la fine ouverture de l'une de mes paupières, se mirent à parler à voix basse. Mon cas les inquiétait, disaient-ils, et nécessitait des examens approfondis. Je croyais rêver, comment la déontologie médicale pouvait-elle permettre cette attitude de la part de leurs membres !?! Les médecins m'entourèrent mais je gardai les yeux fermés. Je pouvais très bien sentir les mouvements d'air que leurs gestes et déplacements engendraient, et entendre leur voix qui semblaient s'être considérablement rapprochées de moi, à présent. Ils ignorèrent mon pied en morceaux et s'attardèrent plutôt à ma queue. Le comble c'est qu'ils utilisèrent des termes scientifiques pour décrire la réaction de mon sexe suite à leur toucher médical, ou devrais-je dire, leurs caresses lubriques. Quoique je me sentis violé dans tout mon être, mon zob était plus dur que jamais et j'appréhendais déjà avec bonheur ce qu'ils allaient faire de moi. Puis, le plus vieux et barbu des docteurs fit réaliser aux autres que mon pouls n'indiquait qu'une amélioration négligeable de mon coma. Il souleva l'une de mes paupières mais je continuai à feindre le repos pour voir jusqu'où ce cirque nous mènerait. Le docteur perspicace ajouta à l'intention de ses collègues : - Ce patient est encore dans le coma, même s'il risque d'émerger à tout moment. Dans le meilleur des cas, nous avons une toute petite heure pour en profiter. Après son esprit sera assez clair pour se souvenir de tout ce qui s'est passé ici. Ces paroles m'inquiétèrent autant qu'elles m'excitèrent. Les deux autres ne perdirent pas de temps pour ôter le drap qui dissimulait mon corps dénudé. Une langue s'empara aussitôt de mes mamelons déjà durcis par cette mystérieuse situation. Le docteur barbu, qui semblait être, en regard de ses connaissances, le supérieur des deux autres, sortit sa queue molle de son pantalon et la déposa dans ma bouche entrouverte. Il la fit glisser plusieurs fois, jusqu'à ce qu'elle durcisse et que mes dents lui fassent obstacle. Ainsi bandée, elle était immense ! Mais au lieu de me sodomiser, il se plaça derrière son collègue qui avait déjà entrepris de me lécher la rosette. À chaque coup de reins que le vieux toubib lui assenait, sa langue entrait en moi. Je me gardai bien de réagir mais cela n'empêcha pas mon enculeur de vérifier l'état de ma verge. Il se figea et s'adressa immédiatement à celui qui le tronchait : - Le patient est en érection, cela ne signifie-t-il pas qu'il est plus éveillé qu'il
DIMANCHE 15 JUIN 2008
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