Mon soumis plongea sa main dans la boite à récompense pleine à craquer, jusqu'au fond, pour en sortir un petit papier rose. Les huit femmes attendaient avec impatience que l'esclave sexuel en révèle le contenu. - Cette carte me donne le droit à l'orgasme, affirma-t-il d'un ton égal. Je lui désignai du doigt la table où trônait encore verticalement le gode lubrifié, et où il se dirigea immédiatement. Les jambes largement écartées, il s'enligna correctement et s'empala d'un seul coup sur le bâton de silicone noir d'une longueur de quelques vingt centimètres. Mon soumis ne resta pas longtemps empalé toutefois puisqu'il se releva aussitôt, juste pour se sentir empalé à nouveau. Les femmes auraient bien aimé le toucher, lui pincer les tétons pour l'aider à jouir et lui tapoter gentiment les couilles, mais toutes ces paires d'yeux qui le mataient semblait faire le travail admirablement. Il déposa ses mains sur ses genoux et dressa les fesses un peu pour être en équilibre. Ainsi positionné, il pouvait vraiment se baiser à fond. La plupart des femmes avaient remis leur gode-ceinture et toutes, sans exception, le fixaient sans scrupules. Certaines s'astiquaient le manche, dont moi-même, lorsque mon soumis rejeta la tête de tous les côtés, plus fréquemment vers l'arrière, lorsqu'il se mit à crier des voyelles un peu déformées, entrecoupées par des affirmations toutes aussi affolantes pour les témoins de la scène : - Ahhh, ahh, ohh ouiii, c'est bon Mon esclave allait jouir d'une minute à l'autre et il n'était pas le seul. Au moment même où son cri de gloire retentit, des jets de sécrétions féminines lui inondèrent le visage et la bouche au passage. L'une de mes copines osa même attirer sa tête vers son geyser bouillonnant en lui forçant la bouche avec les doigts pour qu'il avale le fruit de son plaisir. Même si ces perverses avaient joui à plusieurs reprises au cours de la soirée, ils ne lâchèrent pas ce beau morceau pour autant. Ils le renversèrent sur la table tandis que d'autres lui attrapaient chacune une jambe et un bras. Je me contentai d'assister à la scène, la chatte tout près d'éclater, et je ne me doutais pas du tout de la suite. Ma voisine, qui faisait partie du lot, demanda à celles qui maintenaient mon soumis écarté de le soulever afin qu'elle puisse se glisser sous lui. Elle ne prépara pas son anus, le sachant déjà très dilaté, et chercha aussitôt ce dernier à l'aide de son énorme gland de silicone. Aussitôt fait, une autre se plaça entre ses cuisses, à la verticale cette fois, pour remplir cet orifice à sa capacité maximale au moyen de son gode-ceinture rose. Mon esclave poussa un léger cri lorsque la tige de cette dernière atteignit le fond de son rectum maintes et maintes fois élargi à l'extrême. Il ne restait plus que sa bouche, que les deux dernières femmes durent se partager non sans ressentir un certain plaisir à lui pénétrer l'orifice simultanément. Les femmes qu'il pompait ardemment s'attaquèrent aussitôt à ses tétons qu'en fait tout le monde souhaitait palper et pincer. Une douzaine de mains circulaient sur sa poitrine tandis que les quelques doigts restants et un peu égarés lui parcouraient le ventre, les bourses et les cheveux. Pas une seule parcelle de sa tendre peau légèrement bronzée par le soleil d'été n'était libre d'attouchements de toutes sortes ; pétrissage, léchage, pincement, la totale, quoi ! Mon soumis était plein de sueur et de fluide séchés. Ses beaux cheveux denses et bouclés n'étaient plus qu'un amas de paille disgracieux. Bien vite les deux femmes se partageant son entrejambe se déplacèrent pour lui éclabousser le visage de leur chaud liquide. Elles prenaient ensuite bien soin d'essuyer tous les fluides pour le lui faire lécher. Je profitai de cet instant pour envahir le cul de mon pantin sexuel avec mon faux membre. Je lui ravageai son petit trou serré encore, et encore, avant de me retirer et de m'offrir une gorge profonde tout au fond de sa bouche. Je me plaisais bien à lui tapoter doucement les pointes de sein afin qu'il gémisse légèrement de douleur. D'ailleurs ces dernières étaient un peu meurtries par les nombreux pincements qu'elles avaient subis. Quelques minutes passèrent avant que je n'explose au-dessus de son visage. - Ouvre grand, traînée Au même instant une autre moule vint se placer au-dessus de son visage presque méconnaissable, jaillissante de liquide blanc et crémeux. Je parcourus son visage avec ma chatte plein de jus en lui demandant
VENDREDI 28 NOVEMBRE 2008
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