C'était une journée comme les autres, je me trouvais assis à la fac. Et comme les autres journées, je regardais autour de moi, dans l'amphithéâtre. Et je l'ai vu. D'abord ses cheveux, bruns, retombant sur ses épaules. Puis elle a tourné la tête. Et mon regard se posa sur ses lèvres. Pulpeuses. Sa bouche entrouverte me laissa songeur. Je l'imaginai déjà attraper mon sexe à deux mains avant de le plonger au fond de sa gorge. Alors que ses lèvres et sa langue remuaient délicatement, sa poitrine se gonflait régulièrement, à chacune de ses inspirations. Après quelques minutes, elle s'allongea et m'attira à elle. M'attira au creux de ses reins. De plus en plus. Déterminée à aller jusqu'au bout de son plaisir. Puis elle me relâcha. Je commençai à me dégager, mais elle m'aggripa à nouveau et me tira une fois de plus en elle. Encore et encore. A chaque fois que je m'approchai d'elle, un gémissement s'échappai de sa gorge. Imperceptible au début, puis, peu à peu, de plus en plus profond à chacune de mes sollicitations. Soudain ses yeux se plissèrent, ses mains se pressèrent sur mon dos. Elle me colla à elle et élança sa bouche vers ma verge tendue. Ses seins, gonflés et prêts à exploser, me semblaient-t-il, observaient le va-et-vient de l'objet de la passion de ma partenaire. Puis il arriva. Je sentis d'abord des frissons qui me remontèrent le dos. L'instant suivant, mes muscles se contractèrent tous en même temps. Le bien-être m'envahit. Quand je baissai à nouveau les yeux, ce fut pour apercevoir le visage de cette fille. Un mince filet blanchâtre coulait le long de sa bouche. Elle agitait frénétiquement mon sexe, cherchant à s'accaparer les dernières gouttes chaudes. Je laissai échapper du plus profond de moi-même un râle sourd de satisfaction et m'allongeai afin de savourer mon bonheur jusqu'au bout. Putain ! Et je suis sûr qu'elle avale
MARDI 7 AVRIL 2015
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