Je vais vous raconter une histoire dont l'action se situe dans la petite commune de Búzios, l'une des plus belles au bord de la mer, littoral du Rio Janeiro - Brésil et où la fameuse actrice Brigite Bardot a une maison d'été. Dans un restaurant très chouette d'une station balnéaire peu fréquntée, avec des fenêtres donnant sur une cour intérieure ensoleilée et ornée de fleurs et d'arbustes, bosse un serveur noir d'origine africaine et bien membré. Or voici ce qu'il me raconte de sa vie dans ce restaurant Ce serveur charmant se fait toute la famille du proprio régulièrement. Le proprio. Jean, est très grand, cheveux blancs, un peu dégarni, la cinquantaine. Il est du genre obéissant, appréciant l'hygiène la plus totale ainsi qu'une certaine ouverture d'esprit, car notre serveur est exclusivement actif et très porté sur le sexe anal. De plus, ce serveur cochon adore quand le proprio le suce tout en le regardant dans les yeux, son regard pervers disant son plaisir. Tout ceci est trop bon ! Et ce serveur me semble bien vicieux !! Mais ce n'est pas tout car il trouve la femme du proprio vachement sexy. Il est subjugué pas la grâce de sa démarche. Elle se nomme Claudine et elle a 48 ans, mais n'a rien perdu de ses charmes d'antan. Bien au contraire. Au grand bonheur de tous, elle semble se bonifier avec les ans. Une belle femme mûre, qui se plie à des soins esthétiques constants et à la pratique regulière de la danse, ce qui lui aura permis de conserver son ravissant visage et un corps aux formes généreuses. Et une bouche ! Mon Dieu, quelle bouche !!! Elle est aussi précieuse et délicate qu'une orchidée et le black serveur se laisserait facilement aller à contempler son exquise beauté jusqu'à la fin de ses jours. Au debut, toutes les nuits il avait rêvé de cette femme en se masturbant frénétiquement. Il avait rêvé de se frotter sur ses seins, de les lécher à n'en plus finir, de se glisser entre ses jambes, de la pénétrer avec son sexe raide de désir, de la faire crier de plaisir. Il ne loupe jamais une occasion de monter derrière elle pour mater ses fesses se balançant devant ses yeux. Elle devine ses coups d'oeil furtifs, quoique voyeurs, mais pas tout à fait assez discrets. Le lendemain de mon arrivée. Claudine est allée faire des courses en ville. De retour vers 11 heures, elle entre dans la maison et elle aperçoit la lumière de la télévision dans le salon. Soudain, des bruits de voix lui parviennent. Claudine se dirige vers la salle à manger quand tout à coup, elle s'immobilise, intriguée par la vision qui apparaît à travers la porte vitrée. Le serveur noir est assis sur le canapé, jambes écartées, entièrement nu et le sexe au garde à vous. Jean son époux, entièrement nu également, est à quatre pattes sur le canapé en travers des jambes de son employé et il est en train de le sucer avec application. Elle est pétrifiée et elle ne peux s'empêcher de regarder. Le sexe du noir lui paraît énorme avec un gland immense qui déforme la bouche de son époux. Elle ne sait plus quoi faire, hésitant entre partir et les laisser vivre leur intimité et le désir violent de la vision de cette scène. Elle se doute bien que ce n'est pas la première fois que cela arrive. Alors Claudine croise le regard du serveur. Il lui sourit et porte son doigt à sa bouche, lui signifiant de ne pas faire de bruit. Son époux ne peut la voir car il lui tourne le dos. Elle est paralysée et elle voit son époux avaler cette bite énorme, la recracher pour passer sa langue sur le gland puis tout au long de la tigeavant d'aller lui embrasser les couilles et elle sent sa chatte se tremper. Une nouvelle fois, elle croise le regard du black, jamais elle n'a vu dans ses yeux autant de lubricité. La situation est comme irréelle. Elle reste là, sous le regard de son futur amant, en train de se branler comme une collégienne en le regardant se faire sucer par son propre mari !!! Elle était sur le point de jouir lorsque le black plantant un doigt dans l'anus du son époux lui dit tout fort, certainement pour qu'elle l'entende : - Je veux t'entendre salope, tu es une salope pas vrai
VENDREDI 30 DéCEMBRE 2005
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