Ma mère a divorcé de mon père quand j'avais l8 ans. C'était une femme exubérante qui me laissait faire ce que je voulais. Et j'en profitais pour fouiller dans ses choses J'aimais l'idée de m'immiscer dans son intimité pour l'espionner à son insu, dans sa dimension la plus secrète. L'envie de découvrir les dentelles et les soieries dont elle pouvait se parer me rendait totalement fou de joie. J'ouvrais religieusement sa porte, tout excité par une curiosité toute neuve qui guidait mes pas et mes audaces. Je lançais un coup d'oeil rapide pour me familiariser avec cet environnement féminin et fixais mon attention sur une commode placée au bout du lit conjugal. C'était là assurément qu'elle cachait ses plus luxueux déshabillés. Sans hésitation, à l'instinct, je me dirigeais vers le meuble. Je trouvais rapidement, dans le second tiroir, tout un assortiment de petites culottes, soutiens-gorge, bustiers, strings, porte-jarretelles, etc. Autant de curiosités, toutes aussi surprenantes les unes que les autres ! De curiosité, mes mains se mettaient à caresser l'un après l'autre tous ces tissus soyeux et satinés. Ils étaient frais au contact, doux au toucher. Je palpais ces étoffes délicates au fumet sensuel. Quel émerveillement ! J'étais de plus en plus troublé. Mon regard tombais alors sur un miroir. Un grand miroir, de ceux qui vous contemple de la tête au pied. Je m'y voyais, moi, assis sur le bord de ce lit, mes mains tenant cette lingerie si féminine. Je dévisageais le jeune adulte que j'étais, me fixant du regard, semblant m'interroger dans la peau de cette femme imaginaire que je souhaitais être ou sur celle que je pourrais devenir. Je me retrouvais soudain aux portes d'un monde nouveau auquel je ne m'étais pas particulièrement intéressé jusqu'alors, un univers mystérieux, nouveau, inconnu, attirant. Intrigué, mais aussi excité à l'idée de cette demande que je venais de m'adresser à moi-même, je me lançais un sourire de défi. Je me caressais de ses culottes, de ses soutiens-gorge, de ses robes et je me trouvais follement attirant. Même dans mon corps, tout était si délicat, avec des fesses si bien galbées. Je ressentais alors un plaisir que je n'avais jusqu'alors jamais éprouvé avec une telle intensité : celui de me voir, pour la première fois, entièrement nu de la tête aux pieds, dans ce grand miroir. Après quelques instants d'immobilité contemplative durant lesquels je me demandais ce que j'étais en train de faire là, je décidais de passer à l'étape suivante. Je commençais par le soutien-gorge. Je choisissais le noir. J'aimais bien cette couleur pour les contrastes qu'elle créait avec la blancheur de ma peau. Je le passais et l'agrafais sans difficulté. Il m'allait plutôt bien. Satisfait, l'impression positive de ce premier geste m'encourageait à aller plus loin. Il me fallait une petite culotte. Je n'avais que l'embarras du choix. Il y en avait de toutes les couleurs, de toutes les formes. Magnifiques ! Après quelques hésitations, mon regard était capturé par une petite culotte souple et soyeuse que je choisissais pour sa forme mais aussi pour sa douceur, la sensualité de son tissu et bien sûr, sa couleur noire. Je l'enfilais minutieusement, avec des gestes quasi religieux. Elle était (souvent) toute en dentelle fine, si fine qu'on l'aurait cru transparente. Plutôt minimaliste, elle n'offrait aucun garde fou à mes fesses, qui me semblaient toutes heureuses de n'être pas, pour une fois, emprisonnées. Ma transformation, que j'observais depuis déjà un bon moment, avait le don de me troubler profondément. Je me mettais à m'admirer, guidé par ma curiosité et l'excitation de ma propre découverte. Mon regard s'arrêtait alors sur une paire de bas, noirs eux aussi, fins et transparents qui s'accompagnaient d'un porte-jarretelles de même couleur. C'était la première fois que j'en voyais un de près. Je l'attachais tant bien que mal autour de ma taille, puis commençais à enfiler les bas noirs, un à un, lentement, avec beaucoup de religiosité et un peu de maladresse, il faut bien le reconnaître. La soie glissant sur ma peau nue déclenchait inévitablement en moi une onde agréable de frissons. Quelle sensation je venais de découvrir là ! Je fixais ensuite les bas, chacun leur tour au porte-jarretelles. J'étais stupéfait par l'image de la femme que je voyais naître dans ce miroir. Puis ma mère arrivait à la maison, souvent avec un mulâtre qui faisait l'amour avec elle. Un homme très mâle au lit, que j'avais déjà espionné et
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VENDREDI 29 JUIN 2012
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