Monsieur Vigor est l'heureux propriétaire d'une vaste demeure dans le Sud de la France. Une villa extraordinaire dans laquelle on fait la fête perpétuellement. Monsieur Vigor, un homme de 63 ans, est riche et il adore s'amuser avec des garçons dans la vingtaine. Alors il crée dans son domaine, histoire de nous y attirer, des célébrations thématiques du plus grand intérêt. Et bien qu'il nous faille payer de notre jeune corps ces fêtes merveilleuses, ce n'est jamais qu'un mauvais moment à passer, comme faire la lessive ou essuyer la vaisselle. La semaine dernière. Monsieur Vigor nous a offert un week-end «Orgie Romaine». Nous étions une trentaine de garçons entre 18 et 25 ans. Bien sûr, notre hôte était également l'Empereur, une sorte de Tibère très cochon aux mains longues et aux dents acérées Les domestiques avaient disposé, dans une grande salle, des divans et des dessertes afin que nous puissions dîner comme des dignitaires romains. 4 esclaves blacks assuraient le service de la nourriture et des boissons et une douzaine de jeunes hommes d'Afrique du Nord jouaient les eunuques chargés de satisfaire aux moindres caprices des convives. Nous, selon notre choix, incarnions des consuls ou proconsuls, des gladiateurs ou centurions, des poètes et autres artistes reconnus. Évidemment, aucune femelle n'était admise dans ce temple à la virilité. Monsieur Vigor nous fit servir des mets copieux en quantité suffisante pour nous faire exploser le bide et ses eunuques donnèrent des spectacles de danse dont la lascivité nous alluma comme des feux de forêt et nous fit brûler tout le week-end. C'est ainsi que mon pote (Olivier Sporus) et moi-même (Patrick Maximus) passâmes le plus délicieux moment de notre existence. Étendus, l'un face à l'autre sur les divans moelleux, nous discutions et mangions avec d'autres jeunes hommes de notre âge quand deux eunuques s'approchèrent pour nous masser les épaules. Leurs belles grandes mains vagabondaient savamment sur notre dos avant de s'égarer un peu partout sous nos tuniques. C'était divin !! Tibère, de sa couche dorée, observait ses sujets aux prises avec les masseurs improvisés et triquait déjà comme un mulet. Il faut dire que Monsieur Vigor avait une verge particulièrement impressionnante et que ce sexe était la terreur de tous les jeunes hommes présents à ses fêtes. Les plus veinards se la prenait en bouche mais quelques infortunés devaient lui livrer passage jusqu'au fond de leurs entrailles et la chose se faisait sentir bien longtemps après l'exercice Chacun de nous le surnommait à part : le satyre. Nous savions tous qu'elle était sa manière de procéder pour nous faire payer ses fiestas mais en même temps, c'était le must à des kilomètres à la ronde et aucun d'entre-nous ne venait forcé. Nous restions tous volontaires dans cette aventure exceptionnelle mais parfois douloureuse. Le satyre matait donc dans notre direction et Sporus et moi en conclûmes que nous serions cette fois la rançon de tous ces plaisirs Tandis que nous songions à cette fatalité, les deux masseurs nous basculèrent sur les canapés et nous prirent comme des bêtes sauvages. Sporus et moi nous retrouvâmes avec des bites au cul, énormes, et d'autres mecs nous rejoignirent pour nous sucer, nous lécher, nous tripoter dans tous les sens. Pas une parcelle de mon corps n'était sans réaction, ma chair en entier vibrait au rythme de toutes ces caresses. Et j'éjaculai entre les lèvres d'un charmant proconsuls blonds aux yeux émeraude Sporus quant à lui, avait été ramoné bien à fond et il s"était laisser gicler dans la paluche immense d'une sorte de gladiateur bon enfant, au sourire séraphique. Nous sucions à notre tour les garçons autour de nous quand soudain quatre gardes firent irruption dans la fête pour nous amener dans les appartements impériaux Nous eûmes une terreur entendue : le moment de payer était venu ! La chambre du Satyre nous parut immense. Elle était tendue d'épais draps de velours mauve et un lit circulaire trônait au milieu. Juste une base ronde, recouverte de peaux d'un quelque animal, synthétique sans doute, car le Satyre était très respectueux des bêtes. Il nous demanda de nous y installer et de nous dévêtir. Ce que nous fîmes. Aussi bien collaborer et en finir au plus tôt. À poil tous les deux. Sporus et moi dûmes nous exécuter dans une parodie d'ébats sexuels pour laquelle nous n'avions aucun goût, n'ayant jamais été attiré physiquement l'un envers l'autre. Je léchai donc mon pote Sporus, je le suçai, lui mis mon doigt dans l'anus, puis l'enculai, tout cela à la demande de l'empereur. Quand ce dernier fût bien excité, il vint
MERCREDI 10 JANVIER 2007
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