J'ai envoyé par E-mail la confirmation de rendez-vous pour le lendemain. Nous n'avions jusque-là échangé que quelques messages. Je savais qu'elle avait 50 ans, blonde, lui 3 ans de plus, c'est à peu près tout, je leur avais seulement dit que j'avais 30 ans, yeux verts, on allait se découvrir demain, cette rencontre n'en serait que plus excitante. 14h00, un couple est attablé à la terrasse du café, elle est plutôt jolie, blonde aux cheveux mi-longs bouclés, lui un peu dégarni, ils ont l'air décontracté malgré leur tenue assez stricte (tailleur et costume). La conversation s'engage, ils sont très sympathiques, le courant passe immédiatement. C'est leur première rencontre de ce type, ils ont découvert la Magie de la nudité tout récemment et ont voulu vivre une expérience. Un peu plus tard, je suis dans leur voiture, ils m'emmènent chez eux, mon coeur bat la chamade, je suis un peu tendu. Ils habitent un très bel appartement bourgeois dans une résidence. Nous nous installons dans le salon. Nelly s'assoit sur le sofa en face de moi. Henri quant à lui me propose un rafraîchissement. - Comment vous trouvez ma femme, me demande-t-il ? - Très belle, beaucoup de charme et de classe. - C'est vrai qu'elle est jolie ! À ce moment, il l'embrasse et commence à la peloter, il lui caresse les seins à travers le tissu, il lui caresse les jambes et fait remonter le tissu de la jupe du tailleur, dévoilant des cuisses magnifiques. - Si tu nous faisais un strip, lui lance Henri. - Mais tu es fou ! Lui dit Nelly. Elle est rouge écarlate mais elle se lève, puis commence à se trémousser. Bientôt son tailleur n'est plus qu'un souvenir, mon érection devient douloureuse. - On dirait que tu lui plaîs, montre nous comment tu es belle. Elle continue à se déshabiller, son mari se lève, passe derrière elle et lui enlève son soutien-gorge, dévoilant de superbes seins, il invite sa femme à lui faire face, ils s'embrassent à pleine bouche tandis qu'il passe sa main sur ses fesses. Il se baisse et lui arrache même son string. - Tu as vraiment une superbe chatte ! Il lui embrasse bruyamment l'entrejambe. Sur mon fauteuil, je bande très fort, je suis surexcité. Nelly pousse des gémissements qui semblent signifier qu'elle apprécie ce traitement. Il m'invite à les rejoindre, je ne me fais pas prier, je vais enfin pouvoir caresser cette femme, je m'approche d'elle, son mari se relève et m'encourage. - Caresse-la, elle n'attend que cela. Je m'exécute, elle se tourne vers moi, je la serre dans mes bras, mon excitation est à son comble. Nelly m'embrasse avec ardeur. Henri quant à lui s'est assis sur le sofa. Nelly passe sa main sur la bosse de mon pantalon, cette caresse m'électrise, j'entreprends de me déshabiller, pendant ce temps elle s'allonge. Henri se branle maintenant, je m'allonge sur Nelly et la pénètre d'un coup, j'entreprends de grands va-et-vient. Nelly crie son plaisir, je passe ma main entre ses cuisses et lui caresse son clitoris, dans un dernier élan, elle jouit sous les encouragements de son mari qui la traite de salope en éjaculant puissamment. Nelly reprend ses esprits. - Un bon bain nous ferait du bien, annonce Nelly. Henri se lève et va dans la salle de bain où, je ne le sais pas encore, un bain bouillonnant nous attend. Elle est toujours allongée, je la caresse tendrement puis très vite, je concentre mes mouvements sur son clitoris, le plaisir est là, je fais pénétrer un puis deux doigts dans son vagin, elle me serre dans ses bras tandis que mes doigts la caressent. Je lui embrasse ses seins somptueux. Nelly jouit à nouveau, je suis heureux de lui faire plaisir. Nous nous dirigeons dans la salle de bain et nous glissons dans l'eau bouillonnante. L'eau me fait beaucoup de bien. Henri ne dit rien, en fait il nous regarde. - Tu sais ce que j'aimerais ? Me dit-elle. Un massage ! Je la suis dans la chambre, elle s'allonge à plat ventre, je masse doucement son dos. Henri ne nous a pas suivi, je suis seul avec cette femme magnifique, mes mains passent sur son corps, elle apprécie mes caresses, je la sens se détendre sous mes doigts, je dépose quelques baisers sur sa peau, c'est un vrai bonheur. Je m'enhardis à caresser ses fesses rebondies, bien vite mes lèvres remplacent mes mains, puis mes doigts s'insinuent entre ses cuisses, je ressens son bien-être, son excitation,
DIMANCHE 25 SEPTEMBRE 2005
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