Je m'appelle Kim, j'ai 22 ans et je suis étudiante aux beaux-arts, à Paris. Mon prénom a été choisi par ma mère qui est irlandaise. Je lui ressemble beaucoup. Comme elle, je suis rousse avec des cheveux longs et bouclés. Je possède une bouche avec des lèvres épaisses et charnues, des yeux vert émeraude et une peau très claire parsemée de petites taches de rousseur. Je ne suis ni maigre, ni grosse mais j'ai des formes, comme ont dit avec une poitrine assez forte et de jolis seins en poire. Si je vous parle autant de mon physique, c'est qu'il me permet de travailler tout en poursuivant mes études. De temps en temps, je sers de modèle à des peintres amateurs ou à d'autres qui ont réussi à acquérir une petite réputation. Il m'arrive fréquemment de poser nue. Je n'ai jamais très pudique, je suis même assez fière de mon corps et flattée de savoir qu'il puisse plaire. Je dois quand même avoir un petit tempérament exhibitionniste. Certaines séances m'ont fortement troublée à cause de la pause que je devais prendre et qui était assez impudique. On ne peut pas rester nue devant plus d'une heure devant un homme sans songer à ce qui se passe dans sa tête en dehors de son soucis artistique. Et je l'avoue, j'ai déjà fait l'amour avec des hommes pour qui j'ai posé. Cela me paraissait presque naturel de m'offrir à eux, au bout d'un moment alors qu'ils connaissaient tout de mon intimité. J'ai toujours eu cette nature assez docile et soumise. Mais l'expérience qui m'a le plus marquée date du mois de mai dernier. J'ai servi plusieurs fois de modèle à des femmes. Lise avait eu mon numéro de téléphone par un de mes profs. Elle habitait Montmartre, un joli duplex avec une grande cours intérieure et un jardinet. Son atelier se trouvait au fond du jardin, une pièce bien éclairée avec d'immense baies vitrées et où il régnait à l'intérieur une ambiance étrange. Lise était elle aussi une femme étrange, 41 ans, brune, les cheveux très courts, les yeux noirs en amande, grande et mince avec un petit côté androgyne et une poitrine menue. Elle ne portait que des vêtements de cuir et un éternel foulard de soie noué à son cou. Son atelier était tapissé de toiles érotiques de femmes nues ou à demi nues portant de la lingerie en cuir, des bracelets ou des colliers cloutés. Plusieurs modèles étaient tatoués à divers endroits du corps, une fille avait un sein percé d'un anneau en or Lise dégageait une très forte personnalité. Parfois, j'avais du mal à croiser son regard ou bien, je rougissais sans comprendre pourquoi quand elle fixait longuement mes yeux. Elle avait beaucoup de talent. Je devais poser avec un serre-taille à lacets en cuir qu'elle m'avait prêté, des bas noirs et des chaussures rouges à talon aiguille, le sexe et les seins dénudés, assise dans un fauteuil en cuir avec le corps rejeté vers l'arrière et l'une mes cuisses sur un accoudoir et les mains derrière ma nuque en train de remonter mes longs cheveux roux. Après trois après-midi de travail, elle m'a surprise en me disant : -«J'aimerais raser ton sexe. Tu veux bien ?» Complètement prise au dépourvue, je n'ai pas su comment réagir. Son autorité naturelle était telle que je n'ai rien dit. Je me suis contenté de rougir, une fois de plus. Lise m'a entraînée dans une étroite salle de bains qui se trouvait dans son atelier. Elle m'a demandé de m'installer sur le bidet et elle a enduit mon sexe de savon à barbe avant de le raser. C'est tout mon corps qui s'est mis à frissonner au contact de la lame qui glissait sur ma vulve et de ses doigts qui écartaient mon clitoris pour ne pas le blesser. J'avais chaud, j'étais en nage, troublée par ce contact aussi intime alors que les poils roux de mon sexe disparaissaient peu à peu. Je luttais contre un début d'excitation qui était en train de naître dans mon ventre. J'avais peur que Lise s'en aperçoive et j'avais hâte de la voir terminer son travail. Après mon pubis, elle s'est occupée délicatement de mes lèvres et malgré moi, mon excitation ne faisait que s'amplifier. Je mouillais de plus en plus et je n'osais plus regarder entre mes cuisses, anxieuse d'y découvrir ce qui risquait de trahir mon état. Son travail terminé, elle m'a demandé de ne pas bouger et elle m'a passé
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DIMANCHE 12 AVRIL 2015
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