Après 15 ans de mariage, j'ai eu l'impression que ma vie sombrait peu à peu dans une affreuse routine, rythmée sur une sorte de «métro-boulot-dodo» quotidien. Mon mari ne faisait plus rien pour me séduire ou m'étonner. Pour lui, c'était une chose acquise : j'étais sa femme et il pouvait me baiser chaque fois qu'il en avait envie. Ses responsabilités dans l'entreprise où il travaille l'accaparaient de plus en plus et je le voyais bien plus soucieux de sa réussite sociale que de s'occuper de son épouse. Sur le plan sexuel, il en était de même. Je me sentais délaissée et, à cause de son stress et de ses nombreuses préoccupations, nos rapports intimes avaient perdu toute fantaisie. Je ne faisais plus l'amour avec lui et avec tout le côté cérébral que cela implique, je me soumettais à un simple devoir conjugal. Du sexe hygiène, un point c'est tout. J'ai essayé de résoudre ce problème avec lui mais mon mari est resté complètement fermé sur tout ce que je lui disais. Insatisfaite, je me masturbais très souvent, rêvant d'une vie sexuelle plus riche et plus épanouie. La frustration me faisait découvrir de nouveaux fantasmes, de nouveaux désirs. J'imaginais être la salope d'un homme et lui être entièrement soumise. Mes fantasmes me conduisaient dans des toilettes de bars, des halls d'immeuble, des parkings J'étais prêtée à des inconnus, baisée devant des voyeurs. Je me voyais même attachée et fessée avant d'être sodomisée à la chaîne par des mâles très vicieux qui passaient tour à tour entre mes fesses. Mais au lieu de cela, j'avais un mari qui me faisait l'amour rapidement quand il n'était pas trop fatigué le soir par sa journée de travail et qui se contentait de quelques caresses avant d'honorer sa compagne, puis qui s'endormait aussitôt son plaisir pris. J'ai commencé à le tromper par Minitel. Je venais dialoguer avec des inconnus uniquement pour m'exciter et vivre des aventures folles avec eux par écrans et claviers interposés. Je me laissais entraîner dans des scénario parfois pervers et lorsque je n'en pouvais plus, je me déconnectais et j'allais me masturber. Mais pour moi, et même si j'y prenais beaucoup de plaisir, ce n'était pas totalement satisfaisant. Alors, je me suis amusé à un autre jeu : l'amour par téléphone. Je commençais par m'exciter avec un homme puis, j'acceptais de l'appeler pour jouir avec lui. Les mots, ceux que je lisais d'abord et ce que j'entendais ensuite, avaient un pouvoir extraordinaire sur la violence de mes orgasmes. Mon mari, lui, est assez silencieux quand il me fait l'amour et là, je jouissais sans commune mesure avec des hommes qui me traitaient de pute, de chienne, qui me parlaient de me baiser par tous les trous, de m'enculer à fond et je préfère censurer certains de leurs propos. Mais plus c'était crû et plus je jouissais. J'ai eu quelques partenaires téléphoniques réguliers. L'un d'eux me demandait de m'enfoncer divers objets dans mes orifices pendant qu'il me parlait. C'est lui qui les choisissait. Je n'avais pas de godemiché à la maison aussi, il me faisait prendre des bougies, des carottes, des bananes Et moi, je lui obéissais en tout. Un autre m'obligeait à prendre des postures de pute chez moi ou à m'exhiber un peu devant ma fenêtre. Jusque là, je ne voulais pas, je ne songeais pas du tout à tromper réellement mon mari. Et puis, il y a eu Jacques. Lui aussi, je l'ai rencontré par Minitel et nous avons eu quelques conversations très chaudes au téléphone. J'étais complètement séduite, troublée et envoûtée par sa voix. Une voix grave et autoritaire. C'était plus fort que moi. Je me mettais à mouiller dès que je l'entendais et je ne pouvais rien refuser à cet homme. Tout ce qu'il me demandait de faire, je le faisais. Je jouissais d'être sa chose, son objet. Il m'a proposé plusieurs fois de nous rencontrer mais j'ai toujours refusé. Nous n'étions qu'à une cinquantaine de kilomètres l'un de l'autre. D'un autre côté, plus je prenais du plaisir avec cet homme et plus je reprochais à mon mari de me délaisser et de me contraindre à des relations sans saveur et sans originalité. Les disputes sont devenues fréquentes et un beau jour, j'ai craqué. Mon mari était en déplacement pour son travail et j'étais seule durant une semaine complète. J'ai dit oui à Jacques et je l'ai rencontré le lendemain. Il m'avait voulu sans culotte sous ma jupe pour ce premier rendez-vous et je l'ai fait.
DIMANCHE 8 MARS 2015
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