J'ai 27 ans, je suis arpenteur de métier et le comble, célibataire. J'ai eu une enfance heureuse à la campagne, et à l'adolescence, malgré mon physique assez ordinaire, les filles les plus canon se faisaient compétition pour être mes petites amies. J'étais le plus hétéro des hétérosexuels, en fait j'étais un peu le roi des machos dans mon patelin. Mais cette condition allait changer avec les années En effet, lorsque j'ai quitté ma campagne natale pour entreprendre des études à la ville, je semblais n'être qu'un pleutre aux yeux des citadines. Tout le monde sait qu'en milieu urbain, les attentes ne sont pas les mêmes qu'à la campagne. J'ai donc continué à chercher la femme de mes rêves, raffinant toujours davantage mes manières, sophistiquant sans cesse mon esprit. Je souhaitais être un homme moderne, un mec dans le vent. J'ai gardé espoir mais je suis finalement venu à la conclusion qu'à force de trop chercher, on ne trouve pas, ou du moins, on ne trouve pas exactement ce que l'on cherche de prime abord. J'avais terminé mes études et j'étais encore puceau. Je commençais à désespérer Toujours est-il que lorsque je prenais soin d'apprendre à mieux connaître mes nouvelles conquêtes, elles ne souhaitaient jamais aller plus loin avec moi. Ayant ainsi perdu mes nouveaux repères, je changeai de tactique en ressortant ma carte du machisme, ce qui me valut beaucoup de succès à une certaine époque. Même son de cloche mais cette fois, je n'eus même pas droit à l'amitié des demoiselles que je tentais de séduire. Loin de me décourager, je me suis fait à l'idée que mon physique avait peut-être quelque chose à voir avec mes échecs passionnels. J'ai coupé ma longue chevelure, qui jusqu'alors avait été ma marque de commerce avec les femmes, et je me suis fringué avec tant de classe que je ne me reconnaissais plus dans la glace. Croyez-le ou non, cela n'a rien changé à ma situation : mes jolis yeux verts n'ont ému aucune femme et le reste de mon anatomie, maintenant présentée sous un jour meilleur, n'a pas non plus fait de vagues chez la gent féminine. C'est à ce moment-là que ma vie s'est progressivement désagrégée. J'ai fait nombre de dépressions, ce qui ne favorisait en rien mon charme, et j'ai même dû payer une prostituée des bas fonds de la ville où j'habitais pour me dépuceler. Ce fut un tel fiasco que je me promis à moi-même de ne plus jamais acheter les services d'une putain. Je me suis donc branlé pendant des années en m'imaginant la femme de mes rêves Jusqu'au jour où j'ai cru l'avoir rencontrée par le biais d'Internet Paula était blonde, mince et toute fine, une nana vraiment mignonne avec des seins de rêve et une croupe bandante à souhait. Nous avons eu une conversation fort osée mais elle n'a pas cru bon me dévoiler son petit secret d'emblée, préférant me le mettre directement sous les yeux ! Sous cette mini-jupe très sexy se trouvait un sexe masculin, et cette vision a suffi d'entrée de jeu à me refroidir. J'ai aussitôt tenté d'oublier cette rencontre ainsi que l'érection qu'elle avait provoquée chez moi. Bref j'étais très mal à l'aise, je me suis traité de pervers lorsque j'ai encore bandé et déchargé sous la douche, en y songeant à nouveau. Je ne ressentais que du dégoût pour ma propre personne, tout ça parce que cette femme magnifique m'avait beaucoup plu. Tout de même, je ne pouvais m'ôter de la tête qu'il s'agissait d'un homme avec un pénis tel que le mien !!! Le week-end suivant, j'avais le cafard ; mon couple d'amis était fatigué et ne souhaitait visiblement pas me voir retentir chez eux, et j'avais perdu le numéro de téléphone d'un autre couple avec qui j'aimais bien prendre un verre à l'occasion. Je n'avais pas sommeil, je me suis donc connecté à Internet pour parler à ma délicate transsexuelle. Elle aussi n'avait rien de prévu et je me suis laissé convaincre d'aller la rejoindre au centre-ville, à l'entrée d'un bar à strip-tease minable, au coin d'une rue peu fréquentable. Paula m'a attrapé dans un coin pour me pomper. J'étais comme en transe et je me suis laissé faire un moment. Mais j'étais si embarrassé que j'ai rapidement formulé le souhait de m'en aller. Je voulais fuir ce lieu mais j'étais loin d'en avoir fini avec elle. Je voulais aller jusqu'au bout de cette expérience. Je culpabilisais de la laisser en plan alors qu'elle était venue
DIMANCHE 22 JUIN 2008
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