Il y a déjà pas mal de monde d'arrivé, fait remarquer Jean. L'entrée de Sandrine ne passe pas inaperçue dans sa parure de lingerie fine, mettant en valeur son corps cuivré. Pourtant, elle ne dépareille pas dans la salle comble. La majorité des femmes est considérablement dévêtue, si ce n'est même pour certaines d'entre elles, complètement nues. Une rousse passe à côté, un bas fort malmené en écharpe et un porte-jarretelles pour toute parure. Elle embrasse au passage une superbe brune dont les seins portent des marques fines de cravache. Deux femmes d'une trentaine d'année devisent dans l'entrée, complètement nues. Elles tiennent chacune dans une main un godemiché, comme on tiendrait une coupe de champagne. Jean les remarque car elles se font plus souvent reconnaître à la télévision comme animatrices que dans ce genre de soirées. Au beau milieu de la première pièce trône un immense fauteuil dans lequel est assis un haut dignitaire de l'état, grand amateur de parties fines. Empalé sur son dard, une rousse bien balancée se trémousse en cadence pour le branler avec son sexe, tandis qu'il lui fourre au cul une verge de jade. Elle est grande et bien bâtie, ses seins lourds mais fermes suivent la cadence de ses mouvements. Elle a autour de 20 ans mais démontre pourtant une belle expérience. Elle remonte le long de la tige, s'arrête un court instant, remue sa croupe en cercle autour du gland et redescend imperceptiblement, jusqu'à buter sur le pubis. Elle remonte à nouveau et se laisse retomber violemment, arrachant un cri de surprise et de jouissance à l'homme. De part et d'autre du fauteuil, deux hommes discutent de l'air du temps tandis que la rouquine les branle de ses longs doigts caressants. Elle s'arrête parfois pour cracher dans une main et reprendre ses caresses aussitôt sur la bite qui luit de sa salive lubrifiante. Elle agace le méat, masse le gland ou branle la bite, modifiant sans cesse le rythme de ses caresses. Agenouillée sur les accoudoirs, une seconde fille, pas beaucoup plus âgée que la rousse - sans doute une copine de fac - lui tourne le dos, penchée en avant. Elle fait ainsi admirer un cul somptueux, mis en valeur par les mains qui la retiennent, car elle a les poignets liés dans le dos. Elle administre avec douceur une fellation à deux bites noires, réunies par un ruban de velours rouge. Dans le même temps, les blacks se font eux-mêmes enculer par des godes, maniés de belle manière par deux jumelles blondes. Les filles caressent les couilles des garçons de leur main libre et se frottent la chatte sur les cuisses musclées des deux noirs. Un tableau raffiné qui a certainement du prendre quelque temps à se constituer. Allongés, jambes entrecroisées à leurs pieds, deux autres hommes subissent la même loi du velours rouge, mais bénéficient, quand à eux, de la faveur du vagin de Belinda, la maîtresse de maison qui les engloutit conjointement. Le spectacle est étonnant et d'une rare lubricité. Sergueï, maître de cérémonie et mari de la double «enconnée» vient accueillir le couple. Il remarque tout de suite les traces de sperme sur Sandrine qui prouvent, si besoin est, que la mise en condition s'est fait bien avant l'arrivée à son club. Il ne pose aucune question, se contentant d'esquisser un sourire en essuyant une goutte de foutre à la commissure des lèvres de Sandrine. Il glisse une main entre ses cuisses et d'un doigt inquisiteur - Charmant, n'est-ce pas, ma femme a voulu participer à ce tableau qu'elle a elle-même organisé avec une ligne de conduite qu'elle a baptisé UBIQUITÉ. Mais je manque à tous mes devoirs, je ne vous ai pas encore offert à boire, champagne ? - Volontiers ! Lui répond Jean, mais ne vous dérangez pas, nous allons nous servir au bar, j'y aperçois une vieille connaissance que je vais avoir plaisir à retrouver ! - Bonjour Daphné, comment vas-tu ? Permets-moi de te présenter Sandrine, ma femme. Sandrine, je te présente Daphné, c'est elle qui m'a initié aux plaisirs de la jouissance partagée, bien avant de te rencontrer. Je vous laisse faire connaissance, pendant que je fais un petit tour. Passant d'une pièce à l'autre. Jean en profite pour se dévêtir à son tour. Au milieu de l'assistance, qui est à présent dans le plus simple appareil pour les hommes et nues ou en dessous de dentelle raffinée pour les femmes, il détonne. Après quelques déambulations, il se dirige vers le jardin qui s'ouvre
DIMANCHE 28 OCTOBRE 2007
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