Nous étions au mois de mai et en ce début de printemps où le soleil refaisait son apparition, les filles, heureuses de vivre avaient abandonné leurs vêtements d'hiver pour des jupes légères, qui laissaient apparaître, soit un mollet nerveux ou une cuisse fuselée. Profitant de mon samedi matin, je m'occupais à diverses tâches dans l'appartement, tandis que dans la salle d'eau. Monique, ma femme se préparait pour se rendre à son rendez-vous chez le coiffeur, comme elle le faisait chaque mois. Soudain la sonnerie de la porte d'entrée nous fit sursauter tous les deux. Plus véloce que moi. Monique alla ouvrir, alors que tout en continuant mes retouches de peinture, je tendais une oreille attentive, curieux de savoir qui pouvait nous rendre visite en ce samedi matin. - Michèle, quel hasard ? Michèle était notre voisine de palier avec laquelle Monique avait vite sympathisé. C'était une femme d'une trentaine d'années, dodue sans être vraiment grosse, ce que l'on pouvait appeler une femme bien en chair. Un visage rond, que ses cheveux coupés courts arrondissaient encore, des bras potelés, une poitrine, qui si je me fiais à ce que laissaient deviner ses corsages ou ses blouses, devait atteindre un bon quatre-vingt quinze, des hanches larges et rebondies et surtout une croupe à faire fantasmer un maximum. Une croupe énorme, vaste, galbée ; une croupe que tout homme normalement constitué, rêve un jour de palper à pleines mains. Il m'arrivait souvent d'envier son mari, un homme plus petit qu'elle d'une tête, l'air effacé. Cependant, dans l'entrée le dialogue continuait : - Je m'excuse de vous déranger, s'exprimait Michèle. Je dois aller passer des examens au laboratoire, et comme mon mari à dû aller voir sa mère, je voulais savoir si tu pouvais me garder Patrick. Je ne peux l'amener au laboratoire. - Mais bien sûr, accepta Monique, qui ne savait jamais refuser quoi que ce soit. Je dois aller chez le coiffeur, mais ça ne fait rien. Salvatore le gardera. - Ça ne vas pas l'embêter, s'inquiéta Michèle. Mais je n'en ai que pour une demi-heure tout au plus. Et c'est ainsi que je me retrouvais promu «nounou» d'un garçonnet de huit ans, aussi gêné que moi de se trouver là. Songeant qu'il fallait à tout prix lui trouver une occupation, je pensai que comme tout garçon de son âge. Patrick trouverait le temps moins long si je lui mettais un jeu sur l'ordinateur. - Tu veux jouer sur l'ordinateur ? Lui demandais-je, certain qu'il n'allait pas refuser pareille offre. - Oh oui ! S'exclama le gamin, retrouvant soudain son sourire. Rassuré sur la suite de mon baby-sitting, j'installai donc le garçon devant l'ordinateur, lui chargeai un jeu et afin de le surveiller, je restai près de lui, à lire une revue d'informatique. Ainsi le temps passa plus vite pour nous deux. Patrick malmenait le joystic afin d'abattre le maximum d'Aliens et ne souciait ni de moi, ni de tout ce qui pouvait se passer en dehors de sa «guerre». C'est au milieu des exclamations du garçonnet, mêlées aux bruits des tirs laser, que je devinai la sonnerie de la porte d'entrée. Posant ma revue, je m'empressai d'aller ouvrir à la mère de mon tueur de monstres. - Ça y est, me voilà, sourit Michèle quelque peu essoufflée. Je me suis dépêchée, j'espère que Patrick ne vous a pas trop emmerdé. - Nullement, lui rétorquais-je, surpris par son langage cru. Il s'éclate devant l'ordinateur. Venez ! La précédant je la conduisis jusqu'au bureau où Patrick continuait à se battre férocement contre les envahisseurs. - Patrick ! Tu viens, il faut rentrer maintenant, lança-t-elle à son fils. - Oh non ! Pas tout de suite, protesta le garçonnet en se démenant sur son fauteuil. - Vous avez bien deux minutes, lançais-je à l'intention de Michèle qui s'étant approché de son fils se tenait derrière son fauteuil et regardait, curieuse, ce qui se passait sur l'écran du moniteur. D'où je me trouvais, placé au milieu de la pièce, je voyais la femme de dos et immédiatement mon regard vint se poser sur la partie de son anatomie qui me faisait fantasmer le plus. Sa blouse légère se tendait sur sa croupe, énorme, volumineuse, et ce spectacle m'affolait au plus haut point. J'essayai de deviner à quoi pouvait ressembler ce vaste derrière une fois dénudé. Autant Monique ma femme possédait un corps mince, souple, menu, presque un corps d'adolescente, autant je me trouvais attiré par celui, charnu et abondant de notre voisine. Sa poitrine qui m'avait l'air plus qu'opulente, contrastait énormément avec les
JEUDI 1 SEPTEMBRE 2005
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