Je m'appelle Laurent, j'ai 25 ans et j'ai quitté mon village natal situé dans l'Aveyron pour venir m'installer à Paris, il y a deux ans. Depuis, je vis de petit boulots mais sexuellement, je m'éclate comme un fou. Je plais alors j'en profite un max. Je suis brun, pas très grand mais avec une belle gueule. Je mesure 1, 74 mètres pour 65 kilos avec des jolis petites fesses rondes que j'aime mettre en valeur sous un jean bien moulant. Je suis très peu poilu, ma bite fait 18 sur 5 mais côté baise, je suis essentiellement passif. J'adore me faire enculer et sucer de belles queues. En ce moment, je bosse comme serveur dans un bar du 4 ème, proche de la place de la Bastille. C'est à deux pas du petit studio que j'occupe, ce qui m'évite de prendre le métro pour rentrer chez moi. Je finis assez tard le soir, jamais avant minuit et je suis souvent trop fatigué pour aller draguer. Un soir, juste à la sortie de mon travail, je me suis fait accosté par deux mecs dans une rue étroite. C'était le genre petits loubards de banlieue, en bottes, jean et Perfecto clouté. Une vingtaine d'années, les cheveux coupés très courts avec des gueules de casseurs. L'un d'eux me demande si je n'ai pas une cigarette. Je n'étais pas très rassuré en lui tendant mon paquet de blondes. Il en prend deux, une pour lui, l'autre pour son copain d'origine nord-africaine, tout en me dévisageant du regard. Puis, il me demande, avec un ton ironique : " - Tu as l'air pressé, mec. Tu vas où ? Te faire tirer ton petit cul ? La rue était déserte. Physiquement, je ne faisais pas le poids, ils étaient très costauds, tous les deux. J'ai eu peur d'avoir affaire à ces mecs qui s'amusent à casser du pédé et je réfléchissais déjà au moyen de m'enfuir. D'un coup, celui qui m'avait demandé une cigarette me plaque sa main entre mes cuisses, commençant à malaxer mes couilles dans ses doigts. Je n'ai pas eu le temps d'esquiver son bras et j'étais toujours aussi inquiet quand il m'a lancé : - Un bonne petite partie de cul à trois, ça te branche ? J'étais sur la défensive quand il a pris ma main pour la diriger vers sa braguette en ajoutant : - Tu sens comme elle est raide ? La mienne fait 19. Celle d'Omar 18 mais elle est super épaisse. Effectivement, il bandait sous son froc et moi, de sentir ce beau sexe tendu sous mes doigts, je me suis mis à bander également. À partir de là, tout s'enchaîne assez vite. Je suis encore un peu méfiant quand je les accompagne dans une rue voisine. Ils habitent un squat au dernier étage d'un immeuble délabré. La porte murée a été défoncée et j'entre dans une piaule assez sinistre. Ils me dirigent vers une chambre bordélique où ca sent fort le mâle, la sueur, la baise et le foutre. Le matelas est posé à même le sol. Je découvre des tas de bouquins homos qui traînent un peu partout. - Allez mec, fous-toi à poil. On a une super envie de baiser, mon pote et moi. Omar est plus silencieux que son copain Fred mais c'est le premier à me présenter sa bite, une belle tige épaisse et circoncise, parcourue de grosses veines saillantes et bleutés. Elle est raide comme un piquet et je découvre en même temps un corps viril superbe et musclé avec la peau mate et totalement imberbe mis à part les poils noirs et frisés de son pubis. Il s'approche de moi et il m'embrasse tout en commençant à me caresser. Je suis étonné par la sensualité de ce garçon alors que quelques minutes auparavant, je le soupçonnais de vouloir me mettre son poing sur la figure. Il branle ma queue, il malaxe mes couilles alors que nos bouches restent soudées l'une à l'autre. Moi aussi, je branle son paquet. Ma queue est aussi raide que la sienne et maintenant, je n'éprouve plus la moindre crainte. Je suis prêt à me donner à fond quand Fred vient nous rejoindre. Il se colle dans mon dos et commence à palper mes fesses, les écartant mon découvrir mon anus en feu. La fatigue de ma journée de travail a complètement disparu. Fred me tripote le cul alors que j'embrasse toujours son copain puis, il s'agenouille derrière moi et il écartèle mes fesses
JEUDI 26 JANVIER 2006
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