J'ai découvert un nouveau jeu très excitant : montrer mes fesses, dévoiler ma petite chatte brune et mon joli cul sur Internet. Un jeu qui excite également mon mari. Tout a commencé avec l'achat d'un appareil numérique, il y a quelques mois. Au début, ce n'était pas du tout pour faire du cul. Du moins, pour ma part car je soupçonne mon mari d'y avoir songé, lui, avant même de nous rendre dans une grande surface pour profiter des promotions de Noël. Bref, dès que nous avons eu ce nouvel instrument chez nous. Pierre, mon mari, n'a pas tardé à me manifester son envie de faire quelques clichés érotiques de moi. Bien que très ouverte et très libertine d'esprit, je suis assez timide et pudique. J'ai quand même accepté tellement Pierre insistait. Finalement, ce n'était pas désagréable. C'était même assez excitant. J'avais passé de jolis dessous sexy en dentelle noire et j'ai laissé mon mari me mitrailler dans diverses postures alors que j'étais étendue sur le canapé du salon. Et j'ai fini la petite séance de poses, toute mouillée entre mes cuisses avec une terrible envie de faire l'amour. Moi, exhibitionniste à ce point ? Je ne l'aurais jamais cru. Et comme Pierre était très excité, lui aussi, nous avons fait l'amour d'une manière torride. J'avais honte de mon état. Un moment plus tard, je pouvais contempler mes photos sur l'ordinateur de la maison. Certaines étaient un peu ratées mais d'autres, très réussies. Et c'est là que Pierre m'a parlé de son envie d'en envoyer quelques-unes sur Internet pour les rubriques «contributions» de certains sites. Après avoir hésité, j'ai accepté pour celles où on ne voyait pas mon visage et où j'apparaissais juste de dos, exhibant mes fesses séparées par la ficelle du string. Quand je me suis découverte, quelques jours plus tard, dans différentes galeries, ce que j'ai éprouvé fut très fort, très intense. Et cela m'a encore donné envie de faire l'amour. Surtout après avoir pensé que des tas de gens avaient sûrement dû mater mes fesses. Pas de doute, j'étais vraiment une femme exhibitionniste Nous avons fait d'autres photos avec l'appareil numérique. Des photos un peu moins soft et dans des positions encore plus cochonnes et plus obscènes que lors de la première série. L'excitation qui ne faisait que grandir et enflammer mon ventre me donnait envie de me montrer encore plus vicieuse. Moi, la timide, je me comportais en véritable salope, n'hésitant pas à écarter largement mes cuisses pour que mon mari puisse faire des gros plans de ma chatte, me cambrant comme une vraie chienne en chaleur pour faire ressortir la courbe de mes fesses. Je ne me reconnaissais plus, c'était comme si un verrou avait sauté dans ma tête. Je n'avais qu'une seule envie : pousser cette séance encore plus loin. Mon mari qui s'était aperçu de mon état ma proposé quelques photos avec son sexe dans ma bouche. Il est resté debout pour continuer à me photographier et je me suis retrouvée avec sa queue dans la bouche, excitée comme une folle, prête à tout et le suçant sans retenue, bouche grande ouverte pour l'avaler jusqu'à la garde. Plus tard, et grâce à un logiciel de retouche d'images. Pierre a pu insérer un bandeau sur mes yeux pour masquer mon visage. Les photos, plus hard cette fois, ont été envoyées sur plusieurs sites. À partir de là, nous avons commencé à recevoir de nombreux e-mails. Des hommes seuls, en majorité, mais aussi des tas de couples. Des lettres très chaudes parfois accompagnées de photos. Nous avons répondu, fais d'autres photos pour en échanger avec les Internautes et nous avons fini par sympathiser avec un couple. Agnès et Marc habitaient Strasbourg, comme nous, ils possédaient un site Internet et fréquentaient les milieux libertins. Agnès était bi, âgé d'une quarantaine d'années, assez directive avec les femmes. Et elle était très jolie ! Superbe dans ses tenues cuir ou vinyle. De quoi me faire craquer et faire aussi fantasmer mon mari. Moi, bien avant de me rendre compte que j'étais une femme exhibitionniste, je rêvais d'une relation saphique et d'être initiée aux caresses lesbiennes. Agnès me proposait de tout m'apprendre, ce qui serait aussi l'occasion, pour nos maris, de faire des photos. Nous avons fini par accepter une invitation chez eux. Cela s'est fait un vendredi soir. J'étais aussi intimidée et anxieuse qu'émue quand je me suis
LUNDI 21 JUILLET 2008
Pour répondre à cette annonce et voir la vidéo, Veuillez indiquer :