Noël avec véronique…

Bonjour, je m'appelle Matthieu, j'ai 28 ans. Je suis un grand consommateur de matériel érotique et j'aime tout ce qui traite de sexe. J'ai eu envie de vous raconter l'aventure qui m'est arrivée en décembre, l'année passée. La semaine avant Noël, j'ai organisé une partie entre amis. J'ai invité une dizaine de personnes à venir fêter chez moi. Mon ami Fred est arrivé le premier. Il avait amené sa sœur Véronique. Ça faisait deux ans que je n'avais pas vu cette fille. Elle étudie à Grenoble et ne revient à Paris que pour les longs congés, en l'occurrence pour le temps des Fêtes. Je suis demeuré bouche bée quand je l'ai vue. À mon humble avis, Véronique est tout à fait délectable. Ses cheveux blonds tombent en cascade sur ses épaules. Elle a de jolis yeux verts qui attirent les regards. Elle a de longues jambes minces et une poitrine très ferme. Ce soir-là, elle était la plus sexy de toutes. Elle portait une robe de soirée très moulante qui dessinait la courbe de ses petites fesses bombées. Vers 23 heures, les vapeurs d'alcool avaient commencé à se faire sentir dans la tête des gens. On parlait ici et là de sexe. Comme j'avais perdu de vue la belle Véronique, j'ai parcouru la pièce des yeux pour la trouver. J'ai ressenti un drôle de pincement au cœur quand elle m'a aperçu. J'ai fait semblant de rien et je me suis dirigé vers cette déesse qui me chavirait maintenant le cœur. J'ai imaginé la chaleur de sa langue à la base de mon pénis. Son visage me troublait et ses yeux innocents et vicieux à la fois me faisaient perdre la tête. Mais plus que tout, sa bouche et ses lèvres pulpeuses me rafraîchissaient même si je n'y avais pas encore goûté. Après un moment, je me suis rendu aux toilettes. Comme j'étais chez moi, je n'avais pas l'habitude de verrouiller la porte. Tout à coup, un bruit derrière moi m'a indiqué que je n'étais plus seul. En me retournant, j'ai vu Véronique qui refermait la porte. Elle avait pris soin de tirer le loquet derrière elle. J'étais confus, tout rouge, et ma queue qui pendait entre mes deux jambes s'est mise à durcir rapidement. Je pouvais voir, au travers de sa robe moulante, toutes les courbes de son corps. Ma queue était sur le point d'exploser. Comme je me dirigeais vers la sortie, elle s'est interposée entre la porte et moi. Elle s'est mise à se dandiner lascivement devant moi avant de poser fermement sa petite main sur mon membre viril. Sa tête sur mon épaule et ses lèvres contre mon cou m'ont fait chavirer. Sa bouche est allée rejoindre promptement sa main immobile. J'ai senti la chaleur de sa langue à la base de mon pénis. Elle remontait tranquillement le long de ma grosse veine jusqu'à mon gland. Cette caresse m'a donné des secousses et j'ai dû m'appuyer sur le mur pour conserver mon équilibre. Ses lèvres ont pris mon gland comme si c'était son dernier repas. Sa langue faisait d'indescriptibles mais savants mouvements autour de mon gland et sa main me masturbait. J'ai compris à ce moment qu'elle n'en était pas à sa première expérience. J'ai sorti ma queue de sa bouche comme pour lui enlever son bonbon. Naturellement, elle s'est penchée vers l'avant et a posé ses mains sur le lavabo. Cette position me permettait de voir son joli petit cul et d'observer ses seins dans le miroir. Ils étaient bien serrés dans son décolleté. J'ai relevé sa robe et fait glisser sa petite culotte. J'étais tellement excité que j'ai posé mon gland entre ses lèvres vaginales et je lui ai caressé le clitoris du bout des doigts. Ma main libre n'a pas perdu de temps et a remonté le chemin de ses cuisses à ses seins. - Fais-moi jouir. Matthieu, fais-moi jouir. Je ne me suis pas fait prier davantage et j'ai enfoncé lentement ma verge dans son tunnel d'amour. Je sentais que je la déchirais. Son vagin était serré autour de ma queue comme si elle ne voulait plus s'en départir. Ses mains ont agrippé fort le rebord du lavabo. Elle a fermé les yeux et poussé un long gémissement quand j'ai atteint le fond de sa caverne. Je faisais tout pour me contrôler, car je voulais que ça dure longtemps. Après quelques instants immobiles, lui laissant savourer ma queue en elle, je l'ai pompée frénétiquement. Chacun de mes coups la faisait grimacer.…

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VENDREDI 4 NOVEMBRE 2005

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