MATEURS AUX VESTIAIRES

Martin et Luc attendaient patiemment, dissimulés dans les douches du vestiaire, que les derniers joueurs de foot aient quitté les lieux. Chaque samedi après la partie, ces deux grands gaillards splendidement musclés s'adonnaient à toutes sortes de célébrations de la chair, réinventant constamment les sources d'où ils savaient si bien tirer leur plaisir. Tantôt ils se douchaient et s'enlaçaient tendrement, tantôt ils se baisaient fougueusement voire violemment. À l'occasion. Luc aimait bien dominer son partenaire un peu plus fermement. Martin ne rechignait jamais à se faire enculer avec brutalité et à avaler tout le foutre qu'on lui donnait. C'était un vrai accro du cul, de la bite et des couilles. Il aimait particulièrement que Luc s'assoit sur son visage ; il lui léchait alors le bâton et les boules, et il lui passait la langue dans la raie des fesses tout en se branlant. Lorsqu'ils furent enfin seuls, ils se ruèrent l'un sur l'autre comme des vampires assoiffés de sang. Mais ces deux insouciants n'avaient aucunement conscience du fait que l'un des joueurs, plus suspicieux que les autres, était resté pour voir ce qui se passait entre ces deux colosses pourtant si virils. Il fut bien surpris mais néanmoins excité lorsqu'il constata que ses deux compères s'envoyaient en l'air après chaque partie. Il fit descendre son froc jusqu'aux chevilles et empoigna son membre fermement tout en regardant scrupuleusement la suite de leur chaude étreinte… Luc avait installé son compagnon sur un banc, les fesses sur la bordure, les jambes remontées sur son torse. Luc s'était ensuite accroupi, avait passé sa langue sur sa petite pastille et l'avait léchée avec une ardeur tout à fait adorable. Il écartait ses fesses, donnait quelques coups de langue qui faisaient gémir Luc chaque fois et lui tapotait ensuite gentiment le popotin. Ce manège excitant dura plusieurs minutes mais le voyeur se garda bien de trop s'astiquer le manche, désireux de faire durer son plaisir. Il voyait maintenant Luc, la queue à la main, caresser l'anus de Martin avec son gland luisant de salive. Il respirait très fort, il haletait en tentant de maîtriser son envie irrésistible de lui défoncer le rectum. Mais il se contint finalement, prit les tétons de Luc entre ses gros doigts et les fit rouler jusqu'à ce qu'ils deviennent écarlates. Martin fronça les sourcils, poussa un gémissement de plaisir et attira son amant à lui en le tirant par les fesses. Luc grogna lorsque sa queue buta au fond de la cheminée que Martin l'incitait si fébrilement à ramoner. Luc remonta davantage les jambes de son ami et besogna son petit trou fortement mais lentement. Il butait au fond à chaque coup mais il ne semblait pas pressé de jouir. La mateur caché derrière un rideau de douche dut encore arrêter les mouvements que sa main prodiguait à son sexe car cette scène lui inspirait une excitation à peine croyable. Il avait toujours rêvé de faire partie d'une partie de jambes en l'air comme celle-là, après une partie de foot, dans la sueur de l'effort physique. Il les enviait mais son rôle de voyeur ne lui déplaisait pas non plus. Luc baisait Martin avec l'énergie du désespoir, du condamné pour être plus exact. Il haletait, grognait, gémissait alors que ses coups de reins se faisaient sans pitié. Le cul de Martin que le voyeur pouvait mater sans retenue était complètement détendu et laissait passer la queue de Luc sans opposer la moindre résistance. Il s'exaltait à chaque coup et bientôt, sa respiration se fit si rapide et ses mouvements du bassin, si obscènes, que Luc dut ralentir pour ne pas gicler immédiatement. Ils aimaient faire durer leur plaisir, et faire diminuer le désir de nombreuses fois pour mieux le sentir remonter par la suite. La mateur, lui, n'avait tout à coup plus la tête à se retenir. Il allait exploser, sa queue était gonflée à bloc ! Même s'il se retint de gémir lorsque le flot de semence s'étala sur ses doigts rendus fébriles par l'orgasme imminent, un petit gémissement s'échappa tout de même de sa bouche et parvint aux oreilles des deux autres. Luc fut le premier à se figer, suivi par Martin qui releva la tête pour tenter de savoir d'où venait ce son étrangement familier. Luc vit alors un rideau bouger et comprit finalement de quoi il s'agissait. Il se retira du cul bien ouvert de Martin et se dirigea à pas feutré vers la cabine de douche en question. Il ouvrit le rideau si vite et…

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DIMANCHE 17 AOûT 2008

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