Magalie

J'avais dans ma classe une copine nommée Magalie. Je savais qu'elle était attirée par moi depuis le début de l'année. C'était une jolie blonde aux cheveux frisés, et surtout bien faite ! Alors, la séduisant, je sortis avec elle. Ce jour là, nous comptions faire l'amour ensemble pour la première fois. Elle m'amena alors chez elle. Nous montâmes dans sa chambre. Là, elle posa ses affaires, et se collant à moi, elle se mit à m'embrasser langoureusement. Je sentis alors ma bite gonfler de désir sous mon pantalon. Sentant cette pine énorme grossir contre son entrejambe. Magalie me mit une main aux couilles pour m'exciter, mais surtout pour sentir ma bite qui d'un instant à l'autre serait en elle. Alors, elle se déshabilla, ne laissant que ses sous-vêtements. Elle portait un soutif et une petite culotte en coton blanc. Elle se laissa alors tomber sur la couette bleue de son grand lit. Puis écartant les cuisses, elle se mit à me mater. Je me déshabillais lentement, tout en regardant son entrecuisse dont les lèvres gonflées d'excitation se dessinait parfaitement sous sa culotte, avec les petites lèvres qui ressortaient outrageusement entre les grandes. Magalie était toute chatte dehors. En effet, seul ce fin tissu recouvrait sa belle fente, que je savais déjà très humide. Une fois en slip, je baissai lentement celui-ci. Là, ma queue jaillit soudain. Magalie se mit alors à fixer mon chibre énorme. Elle passa alors une main sous son slip pour se caresser la chatte, excitée par la vue de mon sexe. J'étais désormais complètement à poil. Alors, je vins rejoindre Magalie sur le lit. J'étais juste en face d'elle, et j'avais sa belle chatte à ma portée. J'y mis alors ma main, par-dessus sa culotte, et je sentis immédiatement sa cyprine mouiller son slip en coton. Elle mouillait comme une fontaine à la vue de ma queue. Je me mis alors à lui caresser la fente par dessus son slip pour l'exciter. Magalie restait ainsi, les cuisses outrageusement écartées, et les yeux fermés, elle respirait de plus en plus fort, sentant cette main étrangère lui caresser l'entrejambe. Le fait de la faire jouir et de l'exciter me faisant bander plus que jamais. L'odeur de sa belle chatte en chaleur m'enivrait et parfumait sa chambre. Alors, me penchant sur celle-ci, je me mis à la lui lécher par dessus son slip trempé. Je sentais le bout de ma langue passer entre ses grandes lèvres charnues, et lui titiller le clitoris qui était sorti entre ses petites lèvres. Magalie se cambrait de temps à autre, étant déjà au bord de l'orgasme. Comme elle mouillait beaucoup, je passai ma main sous son slip. Sentant les poils de son pubis dans un premier temps, je descendis ma main plus encore, jusqu'à ce que le bout de mes doigts touche sa belle fente. Celle-ci était trempée de cyprine et chaude. Insérant un doigt dans sa belle chatte, je caressai son vagin. Magalie semblait suffisamment chaude pour se faire baiser. Puis, prenant son slip au niveau de ses hanches. Magalie leva son bassin pour que je le lui enlève. C'est ce que je fis lentement, découvrant ainsi petit à petit son sexe magnifique. Seul le pubis était recouvert de poils châtains. Les belles lèvres étaient quand à elle complètement nues. Comme Magalie écartait outrageusement les cuisses, je voyais, entre ses lèvres, sa vulve rosée luire de mouille. Alors, prenant ma bite à pleines mains, je me mis à me masturber délicatement pour me faire bander au maximum. Je sentis en quelques secondes le manche de ma bite atteindre ses dimensions maximales, et je n'eus aucun mal à décaloter ma queue dont le gland rose et tendre était trempé de mouille. Me penchant légèrement vers Magalie, je sentis contre mon gland gonflé à bloc d'excitation la chaleur de sa fente. Magalie écarta alors les lèvres de sa chatte avec deux doigts pour que je puisse entrer en elle plus facilement. Poussant délicatement, j'insérai centimètre par centimètre ma bite dans son vagin brûlant. Sentant ainsi ma queue écarter sa fente et s'y introduire. Magalie ne put s'empêcher de lâcher un profond gémissement de jouissance. Une fois insérée presque en totalité en elle, je baissai la tête pour regarder ma bite enfoncée dans sa fente. Ma queue lui écartait les lèvres, et je voyais sa vulve rose et trempée de mouille complètement à l'air. Magalie me dit alors : - Baise-moi Cédric ! Fais-moi jouir…

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VENDREDI 26 AOûT 2005

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