Il est très important pour moi et mon mari de nous retrouver en compagnie d'autres couples fétichistes, au moins une fois par semaine. Georges, mon voyeur de mari, adore tout faire différemment, surtout en ce qui concerne la sexualité. Mon petit penchant exhibitionniste complète bien sa manie de voyeur. J'ai actuellement la mi-trentaine, j'ai les yeux bruns et les cheveux noirs, longs et lisses. Mon style se rapproche de celui de la femme fatale, j'aime me vernir les ongles et me maquiller, j'aime briller aux yeux de tous, et pas juste aux yeux de mon époux ! Le sexologue que nous avions jadis consulté pour des troubles de désir avait diagnostiqué de nombreuses déviances chez chacun de nous. Il ne nous avait pas fait cette annonce dans ces termes exacts mais voilà, la réalité était que nous n'étions pas un couple normal, même si c'était l'impression que l'on avait toujours voulu donner aux gens de notre entourage. Le problème de notre couple, selon lui, c'était la communication. Il disait de moi que j'étais une femme coincée, incapable de verbaliser ses vrais désirs, et il avait parfaitement raison sur ce point, seulement je n'en avais jamais vraiment pris conscience. Il avait ensuite insinué de manière fort polie que mon mari était un hypocrite qui, dans son cas, connaissait très bien ses vrais fantasmes et décidait de les garder pour lui. Donc, depuis toutes ces années, il m'avait fait croire qu'il trouvait dégradant de me dominer ou de m'échanger avec d'autres femmes alors qu'en fait, il en était fortement excité. Je m'attendais à tout sauf à cette révélation ! Selon lui, il existait deux solutions pouvant conduire à la résolution de notre problème ; suivre une psychothérapie de couple pour comprendre d'où nous venaient tous ses fantasmes inédits ou encore, vivre en libertinage et expérimenter toutes les formes de la sexualité. Il nous avait bien spécifié par la suite qu'il était parfaitement possible de choisir la deuxième option à condition d'assumer nos fantasmes, de les vivre et d'en parler ouvertement au sein de notre couple. Or, au lieu de suivre une thérapie pour devenir «normaux», nous avons choisi de vivre pleinement nos petits vices. La soirée suivant la fameuse rencontre avec ce sexologue fut pour nous une vraie partie de plaisir. Nous avions convenu d'écrire tous nos fantasmes sur des papiers que nous avions ensuite disposés dans un chapeau. Cela nous mettait en confiance d'écrire, chacun de notre côté, toutes les choses que nous nous étions cachées pendant des années, à soi-même et à l'autre. Chaque jour, chacun de nous tirerait un papier au hasard afin d'en expérimenter le contenu. J'étais un peu intimidée au début, d'écrire tout ce qui me passait par la tête, mes fantasmes les plus anciens, les plus tordus et secrets, ceux que je n'avais et ne pensais jamais réaliser. Dans le bureau du sexologue, j'ai appris à mieux me connaître sur le plan sexuel. Premièrement, les relations sexuelles conventionnelles me laissent de glace. Je me souviens très bien de l'époque où mon ex me baisait comme si j'étais une délicate poupée de porcelaine, pas une seule claque au cul, pas un seul mot déplacé. Juste un va-et-vient interminable jusqu'à l'arrosage final, qui n'avait toujours lieu que sur mon ventre et jamais sur mes seins, dans mon visage ou mieux, dans ma bouche. Ce que j'étais ennuyée par ma vie sexuelle à cette époque-là ! Ma chatte se desséchait davantage de jour en jour et c'est bien la raison pour laquelle ça n'a jamais marché avec tous mes amants et amoureux. Il me fallait un homme comme Georges Le lendemain, je pigeai un papier au hasard dans le chapeau de Georges et il fit de même avec le mien. Ce que je lus sur le petit papier écrit par mon mari me surprit, me réjouit et me décontenança un peu. Et à voir son visage, il était tout aussi confus devant mes fantasmes. Je me levai et j'allai le rejoindre sur son fauteuil. Assise sur ses genoux, je le laissai prendre mes seins en main et les lécher, les mordre et les pincer. Je n'avais jamais vu mon homme aussi excité, aussi sûr de lui dans sa manière de me caresser. Cela me toucha et m'excita. - On commence avec ton fantasme, ok ? demandai-je gentiment à mon mari tout en défaisant sa braguette. J'étais maintenant à califourchon sur lui, la queue de mon homme bien dure entre les lèvres de ma chatte. J'allais et venais dessus et ça
SAMEDI 9 MAI 2015
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