Cette histoire remonte à quelques années. La boite d'informatique pour laquelle je travaillais et qui était basée sur Lyon, m'avait envoyé en mission, en Corse pour rencontrer d'éventuels clients désireux d'informatiser tous les systèmes d'exploitation de leur entreprise. Une chance pour moi, ce déplacement se passait début Juillet. Je ne connaissais pas encore la Corse et j'ai pu découvrir des villes magnifiques comme Ajaccio. Bonifacio. Porto-Vecchio et de superbes plages de sables fins. Je venais juste d'avoir 28 ans et je comptais également mettre à profit ce séjour sur l'île de Beauté pour faire des rencontres agréables. Mais, ne connaissant pas les coins de drague (au fait, existe-t-il des bars ou des boîtes homo en Corse, depuis ?), il ne s'est rien passé pour moi jusqu'à ce j'arrive à Solenzara qui, comme tout le monde le sait, est une ville militaire où se trouve basé un régiment de la légion étrangère. C'est à Solenzara que j'ai fait la connaissance de Karl, un puissant germanique, caporal dans la légion. Un mâle superbe, une vraie bête avec un corps musclé et les bras entièrement tatoués. Karl avait 32 ans. Il parlait le français avec un accent très prononcé. Ses cheveux avaient la coupe réglementaire et je n'avais encore jamais connu un homme avec un corps qui dégage autant de virilité et de force. Il devait mesurer plus d'un mètre quatre-vingt-cinq, ses épaules étaient larges, ses muscles saillants et sa peau bien bronzée. Et côté visage, il était plutôt beau mec avec de grands yeux bleus. Je me suis retrouvé par hasard à côté de lui, sur une plage au sud de Solenzara. Son maillot de bain noir laissait deviner de belles fesses pleines et fermes et un sacré paquet avec une grosse paire de couilles et une queue très épaisse. Je me suis mis à fantasmer comme un fou sur ce corps d'athlète avant même que Karl ne m'adresse la parole. Au début, ce fut par une question banale : - Tu peux me dire l'heure ? Il s'était mis à me tutoyer d'emblée. J'étais venu me baigner après l'entretien avec mon client, la plage se désertait peu à peu et je me suis mis à discuter avec Karl, m'efforçant de contrôler les érections soudaines qui venait tendre malgré moi, le tissu de mon slip de bain. Karl s'en est-il aperçu ? C'est lui qui m'a proposé de venir prendre un verre avec lui dans un bar du port. J'ai vite compris que sa proposition n'avait rien d'innocent et une heure après, il m'accompagnait dans ma chambre d'hôtel. J'ai passé deux heures à faire l'amour avec lui. Comme pour se justifier, il m'a d'abord dit qu'il était bisexuel mais que cela faisait plusieurs semaines qu'il n'avait pas rencontré de femmes. Nous sommes passés ensemble sous la douche pour nous dessaler et c'est la que j'ai pu découvrir sa queue, un sexe énorme qui s'est mis à gonfler et à raidir pour atteindre des mensurations exceptionnelles. Sa bite s'est redressé en s'érigeant, venant pratiquement se plaquer sur son ventre. Moi aussi, je me suis mis à bander très dur tout en réglant les robinets de la douche. Mon seul regret était que Karl n'aimait pas embrasser. Nous nous sommes alors caressés et branlés sous l'eau tiède. J'ai empoigné sa tige et ses bourses blondes, fasciné par la taille de son sexe. Je n'en revenais pas de tenir un tel engin dans mes doigts. À côté, ma petite queue de 17 centimètres paraissait ridicule. Karl semblait super excité. Il m'a demandé de le prendre dans ma bouche et de le sucer. Je me suis agenouillé entre ses cuisses larges et j'ai commencé à lécher son gland rose avant de le faire glisser entre mes lèvres. J'ai eu l'impression que sa bite grossissait encore dans ma bouche. Il se laissait faire, les cuisses écartées, les mains sur les hanches et la tête penchée vers moi. Il s'est mis à râler, à jurer moitié en allemand, moitié en français : - Oh, ya, suce-la bien. Ich liebe les bonnes bouches de suceuses. L'eau tiède coulait toujours sur nous et je faisais tout mon possible pour régaler mon solide étalon. Je léchais ses couilles, je frottais son gland sur la pointe érigé de mes seins, j'enfournais sa queue en essayant de l'avaler le plus profondément possible. Nous n'avons même pas pris le temps de nous essuyer avant quitter la salle de bain pour retrouver la chambre. Karl m'a fait asseoir sur le lit et
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MERCREDI 5 OCTOBRE 2005
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