JACK, LE SUPER BAISEUR

Cette soirée avait débuté devant mon Minitel. Je venais de passer dix jours chez mes parents, dix jours où j'étais resté complètement chaste. De retour dans mon studio, il me fallait vite rattraper le temps perdu. J'étais déjà très super excité et à poil, quand je me suis connecté sur une messagerie. Ma seule envie : me faire baiser ! Bien faire bourrer mon joli petit cul de salope. Et, si possible, par une grosse queue. J'attaque, je branche. J'y vais très hard dans mes messages. Je propose, d'emblée, un cul épilé de vingt-six ans à défoncer sans retenue et une bouche gourmande qui se régale en taillant des pipes. On me répond. J'élimine vite tous ceux qui ne correspondent pas à ce que je recherche. Moi, je veux un plan direct, une baise sans tabou. Je veux de la bonne bite de mâle. La mienne est raide entre mes cuisses. Entre deux messages, je n'hésite pas à l'empoigner un peu. J'ai aussi le cul qui me brûle tellement j'ai envie qu'un mec vicieux s'occupe de lui. Un certain « Jack 43 ans » me propose de le remplir copieusement avec une pine de vingt centimètres sur cinq et demi de large. Les hommes mûrs, je n'ai jamais été contre. En général, ils ne sont pas compliqués. Ils aiment le cul et se donnent sans retenue. Jack se définit comme dominateur, il me traite déjà de petite pute par claviers interposés et me promet un truc vraiment hard. Il a un fantasme particulier : baiser les mecs dans des chambres d'hôtel. Tout ca me convient parfaitement. Je suis prêt à tout pour me faire enfiler. Je lui donne mon numéro de téléphone pour convenir d'un rendez-vous. Sa voix est grave, autoritaire, j'aime ça. Il me tarde de le rencontrer. Il me demande si j'ai des godes et m'invite à les apporter. Il me veut avec un string. En cuir, si possible. J'ai tout ça, chez moi ! On se file un rancard dans un bar. Je ne débande pas en m'habillant. J'ai toujours la queue raide quand je monte dans ma tire. Je suis tout cuir, un fût qui moule bien mon petit cul, un perfecto et bien sur, le petit string avec la ficelle qui me rentre dans la raie du cul. J'ai apporté trois godes. Le plus gros est un énorme calibre de vingt-quatre sur six. J'ai du mal à me le foutre dans l'oeillet, même quand je suis super excité. J'arrive le premier. Pour se reconnaître, j'ai noué un foulard autour de mon cou. Je commande un verre et j'attends. Dix minutes après, il n'est toujours pas là. Et moi, j'en peux plus avec mon envie de baiser. Si ça continue, je vais carrément aller me branler dans les chiottes. Enfin, il est là ! Je le reconnais tout de suite en le voyant balayer du regard la salle : brun, grand, musclé, un peu de ventre mais sans trop, les yeux bleus. C'est ainsi qu'il s'était décrit sur Minitel. Il me voit, seul à ma table, et se dirige tout de suite vers moi. C'est un beau mec ! Il porte une tenue décontractée et s'excuse pour son retard. Je n'ai pas trop envie de discuter devant un verre, je préfère aller baiser immédiatement. Heureusement, lui aussi ! C'est un cadre commercial. Il est de passage à Toulouse. On prend sa voiture pour aller dans un petit hôtel. Pendant qu'il conduit, je ne peux pas m'empêcher de palper son paquet à travers sa braguette. Sa queue réagit tout de suite. Je sens une bite énorme sous mes doigts et une belle paire de couilles. Pour peu, je lui demanderais de s'arrêter dans une ruelle sombre pour que je puisse m'empaler dessus. Comme ça, lui assis sur le siège et moi, le chevauchant. Je passe ma main sous sa chemise et je caresse son ventre. Je découvre qu'il est très poilu. Je remonte vers ses seins et je m'amuse à les pincer délicatement. J'aurais aimé dégager sa tige et la pomper pendant qu'il conduisait mais il me demande d'attendre, de ne pas être trop pressé. C'est vrai mais je suis vraiment hors de moi. Enfin, il trouve un hôtel discret et sans réception. On règle simplement par carte bleue. Dans l'ascenseur, il palpe mes fesses puis me colle un premier palot en frottant sa bite contre la mienne. Lui qui a été assez distant jusque-là, commence à me dire qu'il va bien s'occuper de mon

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MERCREDI 24 DéCEMBRE 2014

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