Maryline est une femme de 41 ans, 1m60, les cheveux mi-courts, châtain, des seins normaux sans être trop menus. Elle est mariée, a 2 enfants et est infirmière. Sa fille a un correspondant anglais chez lequel elle a passé quelques jours et, en juste retour des choses, elle le reçoit à son tour. Son mari et ses 2 filles devant revenir de province le lendemain. Maryline va chercher à l'aéroport le jeune homme. Elle a une photo et elle le reconnaît aussitôt. Il s'appelle Kevin, il a 18 ans et elle ne l'imaginait pas ni aussi grand, ni aussi beau. Elle l'accoste, ils s'embrassent un peu gênés. Sur le trajet de retour, elle lui explique que toute la famille doit rentrer le lendemain, elle s'en excuse et elle est très troublée lorsqu'il lui dit : - Ce n'est pas grave ! Ce sera un grand plaisir de rester avec une femme aussi belle que vous ! Maryline rougit de plaisir. - Oh Kevin ! N'exagère pas ! Je peux te tutoyer ? Kevin sourit. - Bien sûr madame ! Et je vous le répète, je vous trouve absolument superbe ! Il ajoute, en regardant ses jambes que la robe dévoile à moitié. - Vous avez de belles jambes ! Elles ont l'air douces. Maryline se sent de plus en plus troublée. - Appelle-moi Maryline ! J'aimerais aussi que tu me tutoies. Tu ne te moques pas de moi ? Je ne suis plus si jeune. Et avec un accent anglais qu'elle trouve adorable, il lui dit : - Je ne dis pas que tu es belle par politesse ! Je te trouve vraiment, vraiment sublime ! J'aime ton visage, j'aime tes jambes ! J'aime. J'aime Comme elle le sent hésiter à continuer, elle l'encourage : - Tu aimes quoi ? - Non Maryline ! Je ne peux pas ! Je ne veux pas vous choquer. - Je t'en prie ! Dis-moi. - Et bien. Et bien ! Ta robe laisse deviner de jolis seins et de jolies fesses bien rondes ! Tu ne fais pas mentir la réputation des françaises ! - Et quelle est cette réputation ? - C'est très cochon. - Je t'en prie ! Dis le moi. - Il parait que les Françaises sont les meilleures pour la fellation et qu'elles adorent se faire sodomiser. Maryline ne s'attendait pas à cela, elle rit nerveusement et, regardant Kevin brièvement, elle voit une bosse énorme qui déforme la braguette du jeune homme. Heureusement, ils arrivent et n'ont plus le temps d'être gênés. Ils dînent ensuite, parlent de choses et d'autres, et Kevin est si galant que Maryline se sent de plus en plus à l'aise. Après le repas, ils vont sur le canapé, la chaîne diffuse de la musique. Kevin évoque son pays. Entendant un slow, il demande à son hôtesse si elle veut bien danser. Elle accepte, ils dansent doucement. Un deuxième slow suit et, insensiblement, ils se rapprochent. Elle sent alors contre son ventre la queue dure du jeune homme et, au lieu de s'écarter tant qu'il en est encore temps, sa tête se niche sur l'épaule de Kevin. Le jeune anglais prend cela pour une invite. Il frotte alors sa bite de plus belle et, comme cela n'a pas l'air de déplaire à la mère de sa correspondante, il glisse les mains sur ses fesses. Il constate alors qu'elle a une croupe bien remplie et il ne se prive pas de la malaxer. Il sent contre sa poitrine les tétons durcis par l'excitation que ressent Maryline. Kevin lui relève doucement la tête, il l'embrasse et, comme on se jette à l'eau, elle lui dévore subitement la bouche. Ils se roulent ainsi un long patin qui durent plusieurs minutes et les laisse haletants. Maryline s'agenouille ensuite doucement. Elle ouvre la braguette, fait descendre le pantalon et libère la queue de Kevin. Elle contemple un instant, d'un regard admiratif, la bite dressée et si tendue, elle la trouve incroyablement dure, comparée à celle de son mari. Puis, elle s'approche et ses lèvres se referment sur le gland qu'elle lèche et suce longuement. Elle l'avale lentement ensuite et, alors que ses lèvres touchent le pubis de Kevin, il s'exclame : - Ohhh ! Les françaises ! Vous êtes formidables ! Toute la bite ! Tu m'avales toute la bite ! C'est si bon. Maryline repense alors à la réputation que les femmes françaises ont soi-disant. Et les commentaires du jeune homme la survoltent encore plus. Elle retire la queue jusqu'au
LUNDI 5 SEPTEMBRE 2005
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