Il y a quelques semaines, j'étais invité pour mon anniversaire chez mon cousin Fred. Je ne refuse jamais rien à Fred. Il est très beau, et franchement il m'a toujours un peu troublé. C'est un blond aux yeux vert sombre qui sait admirablement bien mettre en valeur sa taille de jeune bouc. Il s'amuse énormément à m'allumer en prenant des poses toujours plus provocantes et en portant des vêtements qui ne cachent rien de ses muscles fermes et aguichants. Il sait bien trop que j'en pince pour lui. C'est donc avec plaisir que j'acceptai l'invitation. Lorsqu'il m'ouvrit, il était moulé dans un t-shirt de filet noir à travers lequel je pus nettement discerner les cercles roses de ses mamelons percés. Un jean aussi moulant me laissait également voir son cul magnifique et la bosse de son sexe encore au repos. Il sourit devant mon étonnement et m'introduisit auprès de ses autres invités. Étrangement, il n'y avait que des mecs : un Jules, vêtu d'une salopette sans chandail, ce qui me laissait une vue sans entraves sur ses pectoraux magnifiquement dessinés, un Savinien qui affichait des airs de gamin avec son pull un peu trop court et un jean hyper serré et enfin, un Joseph au regard émeraude, un peu à l'étroit dans un costard très chic dont le pantalon laissait deviner des fesses bien rebondies. On me servit à boire et je dînai en compagnie de ces quatre magnifiques spécimens, en entretenant des conversations plus ou moins futiles. C'est alors que minuit sonna et que mes compagnons me semblèrent soudain bizarres. Je vis d'abord dans un coin le beau et colossal Joseph, debout derrière Jules, lui caressant les aréoles sous la salopette. Il en titillait les pointes, les faisant rouler entre le pouce et l'index tout en lui mordillant le cou. Cette constatation me fit bander. Je me retournai du côté de Fred qui s'était hypocritement approché de moi. Je sentis sa main sur ma cuisse et des lèvres se posèrent sur ma nuque. Je sursautai et me retournai pour voir le trop mignon Savinien qui me prit le menton et m'embrassa avec gourmandise. Ses lèvres pleines engloutissaient les miennes et sa langue conquérante fouillait ma bouche avec acharnement. Pendant ce temps, la main de Fred avait grimpé de ma cuisse à ma braguette et palpait mon sexe déjà dur. Du coin de l' il, j'entrevoyais toujours les deux mecs qui entremêlaient leurs langues tout en se caressant mutuellement leurs mamelons percés. D'ailleurs les bretelles de la salopette de Jules venaient de sauter et j'admirais pleinement son torse ferme pétrie par les caresses de Joseph. Fred avait dégagé ma bite de mon caleçon et semblait très impressionné par sa grosseur. Il offrit mon obus à un Savinien gourmand. Je sentis sa salive chaude et abondante parcourir mon gland et il se mit à me sucer en me prenant très profondément dans sa bouche. Je ne croyais pas à ce qui m'arrivait, quand mon superbe cousin se campa devant moi et entreprit de se dévêtir en suivant le rythme d'un blues très cochon. Ma queue grandissait sous les coups de langues habiles de Savinien pendant que j'aventurais ma main sur son torse splendide. Fred déchirait doucement, méthodiquement le filet de son t-shirt et faisait onduler sa longue crinière dorée dans la douce lumière des bougies. Je détachai les agrafes de la salopette du tendre Savinien et le glissai jusqu'à ses chevilles. Mon sexe mouillé palpitait toujours dans sa bouche chaude mais comme je voulais prolonger tous les plaisirs qui s'offraient à moi, je le relevai et me mis à lui déguster la bite à travers son caleçon alors que l'une de mes mains lui agaçait les aréoles et que l'autre lui tâtait les fesses. J'entendais un peu plus loin Jules gémir des obscénités à l'endroit de Joseph, il lui disait de lui lécher les bouts et de lui caresser l'anus et ça me rendait complètement dingue. Les fesses de Savinien étaient douces et je ne pus m'empêcher de faufiler mes doigts sous le slip pour les écarter et m'introduire dans son petit anus tout chaud. Fred, tout en se frôlant le corps de touchés provocants, avait laissé tomber le t-shirt à ses pieds, me laissant découvrir un torse des plus affolants. Les parfums de sexes mouillés emplissaient la pièce et j'avais presque le vertige tellement je bandais. Je ne savais où regarder tant le spectacle était excitant. J'apercevais maintenant les deux mecs se chevaucher, devinant que Joseph pénétrait son ami
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SAMEDI 2 NOVEMBRE 2013
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