En sortant de l'avion. Marine fut contente de terminer son travail. Le retour d'Abidjan avait été long et pénible, même si, pour sa première affectation en première classe, les passagers s'étaient montrés très tranquilles. Il n'empêche que l'idée de retrouver son petit nid douillet en pleine campagne lui plaisait beaucoup. Enfin, quitter ces hauts talons qui lui torturaient les pieds depuis des heures, et surtout, sortir de cet uniforme guindé qui la mettait parfois mal à l'aise. Marine trouvait en effet le chemisier blanc qui faisait partie de son uniforme beaucoup trop léger, à tel point qu'il lui était impossible de porter un soutien-gorge de couleur foncée, et qu'il lui arrivait même parfois de ne pas en mettre du tout, préférant alors porter des «nippies», une sorte de petits bouts de tissu couleur chair destinés à dissimuler les tétons. Évidemment, il y avait toujours un pilote ou une collègue pour remarquer que sa poitrine était plus libre qu'à l'habitude, mais les remarques la faisaient sourire. Il est vrai que du haut de son mètre soixante-dix. Marine attirait les regards, et c'était aussi grâce à ses jolis traits fins sous le soleil, ses cheveux blonds et à ses attributs généreux qui faisaient beaucoup d'envieux et d'envieuses. En arrivant à la salle réservée aux équipages. Marine s'affala dans un sofa moelleux, et se défit de ses chaussures, préférant attendre sa s ur qui devait venir la chercher un peu plus tard. Tandis qu'elle lisait une revue féminine, son téléphone sonna. C'était sa s ur. Dominique, qui lui annonçait qu'elle était en panne de voiture sur la route, et qu'elle aurait donc un peu de retard. Pour passer le temps. Marine décida alors d'aller prendre une douche pour se relaxer. Elle se dirigea donc vers la salle des douches, déserte à cette heure, étant donné la mauvaise réputation de l'endroit. Les femmes évitaient en général de devoir s'y doucher, étant donné que les douches réservées aux messieurs étaient dans la pièce voisine, sans qu'il ne soit possible de verrouiller la porte qui les séparait. Entrant dans la cabine de douche, elle défit son chemisier qu'elle attacha au crochet fixé dans le mur, puis ouvrit la fermeture éclair de sa jupe bleue, qui tomba à ses pieds. Sous sa jupe, elle portait des bas noirs qu'elle entreprit de rouler doucement pour ne pas les abîmer, et une petite culotte blanche dont elle saisit les élastiques entre ses doigts et qu'elle tira vers le bas. En entrant sous l'eau chaude, l'hôtesse de l'air crut entendre un bruit dans la douche voisine, mais n'y prêta guère attention et profita pleinement de l'effet relaxant de l'onde tiède sur sa peau douce. Elle entendit alors à nouveau un bruit dans la cabine jouxtant la sienne, et ferma l'arrivée d'eau afin de mieux écouter. En effet, la douche voisine coulait maintenant, et elle crut entendre une voix d'homme étouffée, ce qui l'intrigua encore plus. Comment un mec oserait-il venir prendre une douche chez les femmes, et surtout pourquoi n'avait-elle rien entendu en entrant dans la salle de douche ? Piquée à vif par la curiosité, elle s'enroula dans la serviette blanche au logo de sa compagnie aérienne, et, après un bref coup d' il hors de sa cabine pour voir si personne d'autre n'était arrivé, elle en sortit, puis poussa doucement la porte voisine, qui, à sa grande surprise, céda sous sa pression. Ce type n'avait même pas verrouillé sa cabine ! Poussant la porte plus loin, elle entra, puis referma et verrouilla derrière elle. Elle écarta le rideau en plastique, et quelle ne fut pas sa surprise de trouver non pas un, mais bien deux stewards sous la douche, et dans une position qui laissait peu de doutes quant à leurs activités Un des deux était agenouillé devant son collègue, et lui suçait maladroitement la queue. Devant ce spectacle pour le moins incongru. Marine, intéressée, toussa afin de se faire remarquer, et, mi-amusée, mi-excitée, dit aux deux mâles : - Vous ne vous y prenez pas de la bonne manière. Je peux vous montrer comment on fait ça ? Surpris par cette intrusion dans leur moment intime, les deux amants ne savaient trop que faire, et, devant leur hésitation. Marine prit les devants. Elle dénoua la serviette qui l'entourait, et s'agenouilla devant la bite tendue. À des fins pédagogiques, elle l'enfourna dans sa bouche, et commença à pomper, montrant ainsi la bonne manière de s'y prendre. Très rapidement, le jeune homme trouva la façon de faire très efficace et des petites manifestations sonores de son plaisir
DIMANCHE 13 AVRIL 2014
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