HAREM DE GARÇONS

Je m'appelle Nathan, j'ai 30 ans et je suis propriétaire, ou plus exactement, héritier d'une industrie de prospection minière. Physiquement, je suis très grand, assez mince et je suis plutôt musclé. J'adore porter des fringues qui moulent mon corps. Je ne le fais pas pour les hommes qui travaillent dans la zone industrielle de mon entreprise, où je ne me rends pratiquement jamais… Je le fais pour les quelques mecs que j'ai engagés pour des tâches administratives. C'est au cœur de cet oasis de beauté, exclusivement composé de garçons superbes, triés sur le volet, que je passe la plupart de mes journées. Depuis que je suis en âge de draguer, je préfère séduire les mecs. J'ai bien entendu fait l'amour avec plusieurs femmes mais jamais je n'ai pris mon pied de cette façon. Ces baises se sont parfois avéré agréables, avec certaines d'entre elles du moins, mais c'est de l'histoire ancienne. Les femmes sont trop fixés sur les préliminaires alors que pour moi, le sexe se résume à l'insertion de ma queue dans des fions ou à des insertions d'objets dans mon cul. Le corps féminin n'est pas fait pour être baisé par l'homme. C'est beaucoup trop compliqué. Le corps de l'homme est au contraire si attendrissant à pénétrer… C'est une merveille pour tous les sens. Les soupirs d'un jeune homme comblé de tout son être pour la première fois ne rivaliseront jamais, à mes yeux, avec les cris vulgaires d'une jeune vierge que l'on déflore… Chaque fois que je suis en présence d'un beau mec, je ne pense plus qu'à son corps, nu, offert à l'expertise de mes mains et de ma langue. Et cela ne se passe pas différemment à l'emploi. J'ai réussi à dévergonder tous mes employés du moment, sans exception aucune ! Cette tâche est certes longue mais le fait est qu'elle en vaut bel et bien le jeu, finalement. Si toutes mes recrues mâles deviennent un jour ou l'autre mes amants, je suis loin de ressembler à certains PDG qui offrent des augmentations non pas aux plus compétents de leur boîte mais bien aux plus sexy et aux plus vicelards de leurs collaborateurs. J'aurais très bien pu choisir le chemin facile et réussir à obtenir les faveurs sexuelles de mes employés en échange d'une contre-partie financière. Or, cela n'est pas du tout mon genre. Le fait de devoir payer quelqu'un pour qu'il consente à faire l'amour avec moi m'écœure au plus haut degré. Pas très noble, pas d'étincelles et encore moins de sincérité. Le sexe pour le sexe, très peu pour moi ! Premièrement, la corruption monétaire manque totalement de classe, et puis comme dans tous les domaines artistiques auxquels je m'adonne régulièrement, j'aime bien créer ma propre œuvre de séduction. J'adore charmer, séduire, exciter. J'aime jouer sur les matières, les liquides, le sable, la boue, la nourriture, les tissus, le plastique, le latex, la dentelle. J'aime m'émerveiller. Peut-être trouverez-vous cela bizarre ou même très narcissique mais les hommes, en l'occurrence mes amants, sont tous à mes yeux des oeuvres d'art. Mes nouveaux employés s'offusquent vite pour une simple tape sur les fesses ou pour un regard trop insistant à leur braguette mais chaque fois, ces faux prudes finissent par retirer leur masque social et reviennent en force le lendemain, soit avec un jean moulant ou un t-shirt sexy, parfois même en poussant l'audace jusqu'à porter le kilt, ce qui me met dans un état d'excitation proche de l'agression… Lorsqu'ils débarquent, fraîchement sortis de l'université ou déjà bien implantés dans le métier, ils sont tous réservés, timides voire embarrassés par la manière dont je traite les plus anciens de la boite. Mais chaque fois, même le pire des coincés finit par succomber à mes petits jeux coquins entre collègues. Ainsi, le mec au potentiel sexuel brut se transforme à mon contact, petit à petit, en joyeux coquin, dévergondé bisexuel, mon oeuvre érotique vivante ! On peut comparer cette situation au jeu du chat et des souris. Je suis le gros matou de la maison et mes employés sont de toutes petites souris que je m'amuse à chasser, à griffer et à mordre… Mais il arrive toutefois que je devienne une petite souris aux yeux de mes employés. Et ça, c'est géant ! Un matin, je trouvai tous mes travailleurs dans un état d'excitation avancé. Ils m'étendirent sur mon bureau à la première heure et me couvrirent de baisers et de caresses sur tout le corps. Ils ne me lâchèrent qu'après l'orgasme et repartirent à…

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SAMEDI 15 NOVEMBRE 2008

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