Salut les mecs ! Il faut à tour prix que je vous raconte l'une de mes dernières sauteries. C'était génial et plutôt hard. Deux mots sur moi avant de commencer. Je m'appelle Christophe mais pour mes potes, je suis Chris. J'ai 26 balais, j'habite à Bordeaux et je bosse comme serveur dans un restaurant assez clean. Je suis brun, mignon, assez bien foutu, 1 mètre 81 pour 74 kilos avec une belle teub épaisse entre les cuisses. Courte mais large ( 17 cm x 6 cm ). J'ai de belles couilles et j'ai besoin de me les vider tous les jours. Je baise avec des keums depuis l'âge de 18 ans. Je suis actif et j'adore me faire des petits culs bien serrés. À Bordeaux, ça ne manque pas J'aime les plans directs avec des types pas coincés et au look viril. Je peux être très vicieux, dominateur même. Question trips, je n'ai pas de tabou et quand je tombe sur une bonne salope qui est branchée à mort sur le cul, c'est le pied ! Les présentations faites, je vais maintenant vous parler de cette super baise. C'était, il y a deux semaines. J'étais en congé et je suis allé passer quelques jours chez mes parents qui habitent près de Berjerac, en Dordogne. Ils ne savent pas trop la vie que je mène. Ma mère s'en doute un peu, je crois, mais lorsque je suis là-bas, je reste très discret sur ma vie privée et je me contente de me branler discrètement dans ma chambre. Je ne me sens pas encore le courage de faire mon coming-out. Un jour, peut-être Lors de mon dernier séjour en Dordogne, je n'ai pas pu m'empêcher de prendre ma moto et d'aller à Bergerac pour tenter de trouver un mec à tirer. J'avais pas baisé depuis quatre jours et je me tenais une sacrée gaule. Je me serais enfilé le premier type venu. Gros, vieux, moche N'importe qui du moment qu'il ait un cul avec une bite et une paire de couilles par-devant C'était en plein après-midi, au milieu de la semaine. Le temps était couvert et je suis allé dans un premier bar. Je n'ai trouvé personne. J'en ai fait un second et là, j'ai tout de suite repéré un joli petit cul moulé dans un jean serré. Le mec faisait une partie de flipper. Visiblement, il était seul et la vision de sa belle croupe n'a fait que renforcer mon envie de me taper quelqu'un. J'ai commandé un demi et je suis allé le brancher. Il avait à peu près mon âge : brun, mignon de gueule, tout à fait mon genre. Je l'ai regardé jouer tout en discutant avec lui. Et là, j'ai vite senti qu'il était homo. On s'est amusé un petit moment à : «Je te cherche, tu me cherches » jusqu'à ce que je lui propose un petit tour sur ma bécane. On n'est pas allé très loin. À la sortie de Bergerac, j'ai pris le premier sentier qui s'éloignait de la route pour se perdre dans la forêt. Manque de bol, c'est là qu'il a commencé à pleuvoir, une pluie fine alors que le temps était très doux. Je ne pouvais pas le ramener chez mes parents et lui non plus, n'avait pas de piaule à lui pour m'accueillir. Alors, nous sommes restés sous la pluie. Il s'appelait Thibaut et c'est lui qui a commencé à m'embrasser. Je le sentais aussi excité que moi. Quand je lui ai demandé : - Tu te trouves souvent, dans le coin ? Il m'a répondu : - C'est plutôt rare. Sa pine était déjà hyper raide sous son froc. Je l'ai palpée un moment, à travers sa braguette et j'ai fini par lui mettre le zob et les couilles à l'air. J'ai continué à bien le palucher alors que Thibault restait accroché comme une sangsue à mes lèvres, me roulant pelle sur pelle. À présent, nous avions les cheveux trempés mais il ne faisait pas froid. J'ai pris sa main pour qu'il libère ma queue puis j'ai appuyé sur ses épaules pour qu'il s'agenouille devant moi et me pompe. Finalement, c'était délicieux de se faire sucer le n ud sous cette pluie fine. Thibault malaxait mes burnes tout en avalant mon gourdin. Il était doué pour les pipes et moi, l'excitation montant de plus en plus, j'ai commencé à perdre la tête. Je l'ai insulté : - Oui, suce-la bien.
MARDI 1 DéCEMBRE 2009
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