J'ai connu beaucoup d'hommes avant de m'intéresser aux personnes de même sexe que moi et avant d'avoir fait de la sexualité mon métier. Des femmes, j'en ai également baisée de façon massive avant et pendant ma carrière d'actrice porno. Mais tout d'abord, j'ai été danseuse nue afin de payer mes études en droit. Après, j'ai couché avec quelques mecs friqués pour hausser mon train de vie à un niveau supérieur. J'y ai vite pris goût et j'en voulais toujours plus Plus de fric donc plus de clients. J'ai toujours été comme cela, c'est sûrement dû à mon éducation de princesse ; je veux tout ou je ne veux rien, je veux du blanc ou bien du noir mais jamais de gris. Dès ma première année d'études supérieures, j'ai compris que je ne me trouvais pas au bon endroit et que j'avais le choix d'être ailleurs. Au fond, j'étais loin d'être une bureaucrate de vocation, avec mon style pin-up, mes manières de chatte en chaleur et mes grands yeux de biche qui allumaient les hommes comme autant de brasiers intarissables. J'étais toujours sous le bureau de mes enseignants, affairée à leur soutirer leur précieux nectar, et quand j'allais réviser avec des mecs et des filles de mon âge, ça se terminait toujours dans un bain de jus ! Au fond, je n'avais toujours fait que suivre les pas de mon père, un avocat réputé au sein de notre petite localité, en oubliant qu'un seul et unique désir avait toujours animé mon esprit et mon corps : l'exploration du sexe. Les personnes cérébrales m'ont toujours fascinée, je ne peux le nier, et je me suis même très souvent envoyée en l'air avec des ingénieurs et des professeurs d'université. À force de les fréquenter, ces gens m'ennuyaient royalement. À cette époque, je ne souhaitais guère me prendre la tête pour devenir quelqu'un d'important et je ne voulais surtout pas prendre la vie au sérieux Je désirais juste m'amuser pendant que j'étais encore belle et jeune. En trempant dans ce monde de débauche, toutefois, je me suis vite transformée en baiseuse en série. La vie de star est parsemée de grandes joies et d'expériences euphoriques mais elle présente aussi son lot d'inconvénients. Plus vous explorez les facettes d'un diamant, plus vous le trouverez insignifiant en le regardant à nouveau, même s'il s'agit d'un joyau d'une beauté et d'une valeur inestimable. La vie est ainsi faite et le sexe n'échappe pas à cette règle omniprésente. Il me fallait donc toujours plus pour m'exciter. Mes expériences devenaient progressivement plus corsées, plus nombreuses, plus fréquentes Pour vous illustrer ma dépendance vis-à-vis du sexe, imaginez une femme, dont le sac à main est gorgé de jouets sexuels, une femme qui doit aller aux toilettes lors de tout événement public pour soulager ses pulsions ou pour soulager celle d'une jolie poulette ou d'un mec un peu efféminé, une femme qui baise toute personne et qui se fait baiser par n'importe qui, en autant que celle-ci est belle et sexy. Imaginez une femme qui pense comme un homme du point de vue sexuel mais qui évolue dans le corps gracieux d'une très belle femme. Certes, on peut dire de moi, et à juste titre, que je suis une nymphomane, on peut aussi évoquer la perversion. Certains emploieront même le mot salope pour qualifier une femme telle que moi et à l'extrême, tordue (et il y a eu pire !). C'est du moins tous les noms utilisés pour décrire «scientifiquement» ou «populairement» un phénomène sexuel comme moi. Pourtant, je suis beaucoup trop de choses à la fois pour être étiquetée sous une seule appellation. Ma mère m'a d'ailleurs toujours conseillé de goûter aux aliments avant d'affirmer qu'ils sont mauvais. Bref, à cette époque j'avais toujours mon gode-ceinture sur moi, même si parfois je laissais un beau mâle envahir tous mes trous. J'ai toujours raffolé des bisexuels, les préférant de loin aux hétéros, tous sexes confondus. À ce propos, je me disais souvent que si la nature était vraiment contre la mariage charnel des mêmes sexes, le point G de l'homme se trouverait forcément ailleurs que dans son rectum, profondément dissimulé à un endroit que seul un membre peut atteindre. Qui plus est, les corps féminins s'emboîtent à merveille, les sensations que provoque l'effleurement de deux paires de seins ou de deux clitoris sont tout simplement géniales. La rationalité ne peut régner au lit, pas plus que la gêne. Lorsque l'on se donne, il faut tout donner ou rien du tout. J'aime
VENDREDI 21 NOVEMBRE 2014
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