Je me prénomme Michèle, j'ai 37 ans, une grande fille, un mari et deux amants. Rien que de très banal, me direz-vous ! Pourtant, il n'y a pas si longtemps, vous auriez eu honte de moi. Imaginez-vous qu'à presque 36 ans, je n'avais couché qu'avec mon mari. Alors que toute femme normale arrive au mariage en ayant essayé quelques mecs, moi j'étais vierge. Le pire, c'est qu'à l'époque, j'en étais fière. Quelle idiote j'étais ! Heureusement, cette période est bien révolue. Et tout ceci, je le dois à ma fille, avec laquelle j'ai toujours entretenu une parfaite complicité. Grâce à elle, je suis devenue femme et j'ai découvert la vraie sexualité. Tout a commencé quand ma fille, en revenant d'une «boum» à son collège, m'a demandé la pilule. Elle voulait concrétiser (son propre mot) sans devoir calculer et sans tomber enceinte. Je tombais des nues. Je lui ai dit qu'une fille ne devait jamais faire la chose sans être vraiment amoureuse, elle m'a ri au nez. Je me suis mise en colère, je l'ai traitée d'imbécile et de dévergondée. Pendant quelques jours, nous ne nous sommes plus adressé la parole, puis elle a tenté de m'expliquer qu'à son âge, il était tout à fait normal d'avoir des relations sexuelles. Je lui proposais d'exiger que son partenaire mette un préservatif, mais elle m'a dit qu'elle était sûre de lui, et que de toute façon, elle voulait absolument sentir l'éjaculation. J'étais horrifiée d'entendre de tels propos de la part d'une fille de 18 ans. Pendant plusieurs nuits, je n'ai pas pu dormir. Je n'ai rien dit à son père de peur d'envenimer les choses. Finalement, j'ai accepté qu'elle prenne la pilule. Progressivement, nos confidences sont devenues totales et réciproques. Sandrine m'a raconté comment ça s'était passé la première fois et comme elle était heureuse d'avoir perdu sa virginité. Quand je lui ai demandé si ses sentiments pour ce garçon étaient sérieux, elle a rigolé. Ce n'est pas parce qu'elle avait couché avec lui, qu'elle en était amoureuse. J'essayais de ne pas paraître choquée, mais elle s'en aperçut : - Je suis certaine que tu étais vierge quand tu as épousé papa. - Oui, avouais-je presque honteuse devant elle. - Et depuis que vous êtes mariés, tu as eu combien d'amants ? Je ne m'attendais pas à une telle question. - Aucun, répondis-je, j'aime ton père. - Il n'est pas question de ça, expliqua-t-elle, ça n'a rien à voir. - Comment, ça n'a rien à voir ? Et la fidélité, qu'est ce que tu en fais ? - Mais tout le monde s'en fout de ta fidélité ! - Tu dis ça, mais ton copain ne serait certainement pas content si tu couchais avec un autre ! - Mais d'où tu sors, maman ? J'ai déjà couché avec deux de ses copains et il le sait. Ça n'empêche pas qu'il m'aime quand même. J'étais abasourdie. Je ne savais quoi dire. Sandrine m'embrassa et me chuchota : - Tu sais, maman, je ne te dis pas de prendre un amant, mais une petite aventure ne te ferait pas de mal. Tu en as bien besoin. - Mais tu es complètement folle, criai-je presque. - Allons donc, tu sais bien que j'ai raison. Allez, emmène-moi faire les boutiques. Je vais te choisir une petite robe. Tu seras irrésistible. J'étais tiraillée entre le désir d'accepter et celui de refuser. Finalement j'y allai. Dans la boutique. Sandrine attrapa plusieurs robes et me poussa dans une cabine d'essayage. Toutes se révélaient extrêmement sexy. Contre mon gré, elle porta son choix sur la robe la plus courte et la plus moulante. Le lendemain. Sandrine me proposa de l'accompagner dans un parc de loisirs. Bien évidemment, elle m'ordonna de porter ma nouvelle robe. Au moment de monter en voiture, elle me disputa : - Mais tu n'y penses pas, voyons, regarde comme tu es fagotée ! Je rétorquais que c'est elle même qui m'avait choisi cette robe. - Je ne parle pas de la robe, elle est super, mais de ce que tu as mis dessous. Fais-moi le plaisir d'enlever ces sous-vêtements ridicules. On voit toutes les marques. C'est grotesque. Alors que je protestais que ça ne se faisait pas, elle ajouta : - Tu crois vraiment que toutes les filles portent une culotte sous leur mini quand elles vont au lycée ? J'étais prête à lui rétorquer qu'une femme de mon âge ne pouvait se permettre les extravagances des étudiantes, mais je me tus. En réalité, cette suggestion me tentait terriblement. Et, non sans un certain contentement, je retirai slip et soutien-gorge. Les premiers instants furent un calvaire. J'avais l'impression d'être nue.
DIMANCHE 28 AOûT 2005
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