Pendant longtemps, je me suis contenté de venir chatter sur Internet avec des inconnus, juste pour parler de sexe, m'exciter et ensuite aller me masturber sur mon lit avec une branlette et des godemichés. Parfois, si la discussion était assez crue et tout à fait dans le sens de mes fantasmes, je pouvais me caresser et jouir pendant ces échanges osés tout en restant devant mon ordinateur, les cuisses écartées et une main plaquée sur mon sexe. J'étais complètement accro de cette forme de jouissance au point d'être connecté tous les soirs. Avec certains, nous élaborions des scénarios très poussés où les interdits sautaient progressivement, les uns après les autres. Avec Philippe, un homme nettement plus âgé que moi, je suis passé du simple chat au texte associé à l'image. Il possédait une webcam et il m'a proposé de jeter un coup d'il sur son engin et dans quel état je l'avais mis durant notre chaude conversation. La fenêtre de Netmeeting s'est ouverte sur sa queue déjà en érection. Une queue qui m'a paru très grosse. Voir cet homme m'exhiber sans complexe sa bite tendue, le voir se masturber et lire ses messages très cochons m'a fait perdre complètement la tête. J'ai fini nu devant mon écran en train de me caresser violemment. Lui ne pouvait pas me voir mais je lui décrivais toutes mes caresses intimes. D'ailleurs, c'était lui qui donnait des ordres et me dictait tout ce que je devais me faire. J'ai joui quand j'ai vu son sperme gicler. Mon orgasme fut très violent. Par la suite, j'ai retrouvé plusieurs fois Philippe sur des visio-chats. Je trouvais très excitante cette manière de jouir et nous étions de plus en plus complices. Jusqu'au jour où j'ai accepté de le rencontrer. Et du bar où nous avions rendez-vous, nous sommes tout de suite allés chez lui pour y faire l'amour. Philippe avait 47 ans et il savait que dans le sexe, je préférais laissez toutes les initiatives à mon partenaire. Une fois nu dans son lit, il m'a guidé. Il me disait, par exemple, comment bien sucer sa queue, comment caresser ses couilles. Il commentait le plaisir qu'il éprouvait dans ma bouche avec des termes parfois crus du style : - Oui, tu suces très bien. Avale-la tant que tu peux ma grosse queue. Il se montrait directif envers moi et me parlait d'une voix autoritaire. J'étais très excité malgré une petite gêne causée par les miroirs de l'armoire qui réfléchissait toute la surface du lit et où je pouvais nous y voir. À plusieurs reprises. Philippe m'a répété que mon corps d'éphèbe lui plaisait beaucoup. Il m'a caressé, pétri, malaxé fermement avant de s'amuser à tirer sur mes mamelons. Il y a frotté le bout de sa queue après m'avoir ordonné de bien mouiller son gland de salive. Et moi, pendant ce temps, ma seule envie était de lui obéir, de m'appliquer tellement cet homme me rendait dingue. Je ne voulais pas qu'il soit déçu par ma façon de faire. Tout en me baisant, il a continué de me parler. Il s'est d'abord couché sur moi puis, il m'a demandé de venir le chevaucher. Cette position lui a permis de caresser mes fesses et de toucher mon anus. Il a laissé ses doigts sur mon anus et a ajouté : - J'ai très envie de te baiser encore et encore ! J'étais très excité par ses caresses expertes et sa manière de faire l'amour. Philippe était sûr de lui, il savait comment procurer du plaisir à un autre mec. Il m'a encore fait changé de position et m'a sodomisé. C'était viril et sensuel à la fois, violent et tendre. Jamais je n'avais ressenti quelque chose d'aussi fort. Je n'avais qu'à me laisser diriger, adopter la position qu'il désirait. J'ai été le premier à jouir et, tandis que j'étais en plein orgasme. Philippe s'est laissé aller avec moi. J'étais attaché la première fois qu'il m'a sodomisé. Je dois le préciser. Il m'avait portant promis Philippe avait ligoté mes poignets et mes chevilles aux montants du lit et avait passé un gros coussin sous mon bassin pour faire saillir mes fesses. Il s'est installé derrière moi et a tenté d'écarter mes fesses. Je me suis crispé tant que j'ai pu et j'ai reçu une nouvelle claque, encore plus douloureuse. Philippe m'a encore fessé. Chose étrange, cette sensation d'être dominé de manière aussi brutale me faisait mouiller mais c'est d'abord
VENDREDI 17 NOVEMBRE 2006
Pour répondre à cette annonce et voir la vidéo, Veuillez indiquer :