LA GAILLARDE ET SON FRANGIN !

Je m'appelle Armelle. J'ai 24 ans, une longue chevelure blonde et de beaux yeux bleus. Je donne des cours de piano, en particulier pour une association. Au printemps dernier, le local où se passent les cours, était inutilisable pour une semaine. L'association m'a proposé d'aller donner les cours chez mes élèves pendant cette semaine-là. J'ai accepté sans difficulté. C'est comme cela que je me suis rendue chez Marine. Marine habite seule avec son grand frère. Cette fille m'a toujours rendue mal à l'aise. Elle est assez jolie, elle a toujours l'air d'une jeune fille bien sage mais elle a quelque chose de plus, quelque chose de gaillard peut-être ou de malsain. Elle est brune, assez grande et a déjà une très belle poitrine qu'elle ne cache pas souvent sous un soutien-gorge. Cette particularité m'a toujours gênée quand nous nous retrouvons l'une à coté de l'autre devant le piano et qu'elle offre à ma vue son décolleté souvent provocant. Avant d'aller chez Marine donc, j'avais passé l'après-midi à la plage. Je n'avais pas eu le temps de me changer, juste le temps de remplacer mon maillot par un string et une robe légère. Marine était vêtue de la même façon quand elle m'a ouvert. Comme d'habitude elle avait oublié de mettre un soutien-gorge mais ce jour-là, je ne pouvais rien dire puisque j'étais dans le même cas. Son frère était là, à lire dans le canapé du salon, où se situait également le piano. La leçon s'est déroulée normalement, avec toujours cette petite excitation que j'ai avec Marine quand nos mains se frôlent sur les touches. Cela se traduisait au niveau de mes tétons qui devenaient bien gros et bien durs. Ce jour-là, aucun soutien-gorge n'était présent pour cacher cette excitation et ma robe était bien fine. À la fin du cours. Marine me l'a fait remarquer : - Vous n'avez pas mis de soutien-gorge aujourd'hui. C'est vrai qu'on est plus à l'aise mais on ne peut plus rien cacher. J'étais rouge de honte. Elle me disait cela d'un air désinvolte en me souriant gentiment. - Vous avez l'air d'avoir de jolis seins. Moi j'aime bien les miens. Vous les trouvez comment ? J'ai bredouillé : - Heu, jolis, on dirait. - Vous ne les voyez peut-être pas bien avec ma robe. Je vais vous les montrer mieux. Devant mes yeux ébahis, elle a ouvert complètement sa robe, me dévoilant deux jolis seins biens ronds avec de tous petits tétons. Elle portait une petite culotte rose. Son absence de pudeur me stupéfiait. Son frère continuait à lire normalement. - Vous pouvez les toucher. : Elle me prit une main et la posa sur sa poitrine. Sa peau était douce, ses seins bien fermes. - Montrez moi les vôtres. Sans me laisser le temps de réagir, elle a commencé à me déboutonner la robe. Je la laissais faire, trop surprise et aussi de plus en plus excitée. Nous étions debout l'une devant l'autre, toutes deux la robe ouverte. J'avais une main sur un de ses seins. Marine, elle, commença à jouer avec mes tétons durs. Doucement sa tête s'approcha de ma poitrine et sa bouche se posa sur mon sein. Je jetais un regard sur son frère qui ne semblait pas s'intéresser à nous. Marine tétait mes deux seins alternativement tout en les massant. Hummm, c'était agréable ! Je fermais les yeux. Lentement, elle m'a poussée vers un petit sofa. Je m'y suis allongée. Marine continuant à me téter. Ses mains caressaient mes jambes, ôtant mon string et écartant progressivement mes cuisses. Sa bouche a délaissé mes seins pour descendre vers mon bas ventre. Ses doigts ont écarté mes lèvres intimes et sa langue s'est glissée dans la douceur humide de mon sexe. Oh c'était bon, ces tendres caresses ! Sa langue jouait avec mon clito. Je lui caressais doucement les cheveux. Je ne sais pas si c'est à cause de la situation très particulière, mais moi qui suis, en général, très longue à jouir, j'ai senti rapidement le plaisir monter en moi. J'ai été prise d'un petit tremblement et j'ai laissé échapper un gémissement. Marine a compris qu'elle avait atteint son but et doucement elle a délaissé mon sexe. Sa bouche a rejoint la mienne et nous nous sommes embrassées voluptueusement. Elle s'est approchée de mon oreille et m'a susurré : -À moi maintenant. Je ne me suis pas fait prier. Oubliant son frère, qui était là à quelques mètres, oubliant qu'elle était mon élève, je l'ai fait s'allonger sur le

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JEUDI 10 MARS 2011

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