Il y avait parmi la compagnie du roi des Francs un chevalier bien particulier dont personne ne voyait jamais le visage. La seule personne à avoir connu sa véritable identité fut la reine, décédée depuis peu en mettant son troisième fils au monde. Ermeline était une grande femme, aux traits anguleux et à la forte ossature, issue de la noblesse mais orpheline depuis sa plus tendre enfance. La reine l'avait prise sous son aile comme suivante, avait assuré son éducation catholique mais il s'avéra rapidement que le destin d'Ermeline serait différent de celui des autres femmes. À 15 ans. Ermeline participait déjà aux tournois auxquels seuls les hommes avaient le droit de se présenter. La reine qui avait toujours porté Ermeline dans son cur avait collaboré au déguisement de sa fille adoptive. Son armure avait été forgée et incrustée de diamant par un forgeron du village. Finalement. Ermeline s'inscrivit au tournoi avec le titre de comte Barthélemy de Sacrente, un étranger venu d'un pays lointain pour rendre grâce au roi et le servir en tant que chevalier. Pour ne pas éveiller de soupçon. Ermeline avait même inventé un nom de royaume, perdu au cours d'une invasion germanique, raison pour laquelle elle avait fui sa patrie pour servir sous la bannière des Francs. Elle ne gagna pas le tournoi ce jour-là mais elle fut sacrée chevalier par le roi qui lui demanda cependant d'enlever son casque pour l'occasion. Elle dut inventer une excuse pour le garder et elle choisit de leur faire croire qu'elle avait échappé de justesse aux flammes quand les germains avait voulu l'enfumer dans l'église où elle s'était réfugiée. Son visage déformé par de graves brûlures ne pouvait donc pas être dévoilé en public. Le roi, un être aimable et juste, accepta tout de même de la prendre à son service. Lorsqu'elle fêta ses 20 ans. Ermeline eut droit à une fête très arrosée. Le roi, grand buveur, roulait déjà sous la table lorsque la grande orgie commença. Ermeline ne buvait pas car elle ne tenait pas à enlever son casque. Mais lorsque même le moins saoul des fêtards abaissa ses chausses pour s'en prendre au cul d'un vassal à moitié comateux. Ermeline ôta son casque et se servit un verre pour ensuite observer la scène. Elle observait, sans que personne ne s'en aperçoive, les dessous des fêtes royales. Des hommes encore aptes à se tenir sur leurs jambes avaient entouré le vassal gravement bourré mais qui semblait dégriser peu à peu. Il est aisé de redescendre sur terre quand l'on est au centre de désirs aussi multiples et virils. Bref, deux grands gaillards tenaient fermement ses jambes écartées alors que les hommes qui l'entouraient sortaient leur pénis dressé de leur chausse. Ermeline, que les hommes n'excitaient pas particulièrement et que les femmes exaspéraient, n'avait jamais ressenti une chaleur aussi intense que celle qui s'empara de son pubis devant cette scène sexuelle. Habituellement, avant de s'endormir, elle fantasmait sur des relations entre hommes, elle s'imaginait volontiers être un homme parmi le lot. À vrai dire, c'était bien le seul fantasme qui l'allumait et qui lui avait jamais effleuré l'esprit. À ce moment-là, elle aurait eut envie d'être en selle sur un cheval, la sensation que la chevauchée offrait à son pubis lui aurait fait beaucoup de bien Mais une autre idée germa dans son esprit, une bien meilleure idée ! Elle se leva subtilement, remit son casque avant que quelqu'un ne la voit et se rendit au domaine qui lui avait été offert par le roi. Elle empoigna le phallus de bois qu'elle avait mis un mois à façonner dans du chêne. Elle utilisa un marteau et un petit pieu pour en percer la base, et y enfila une corde qu'elle s'attacha ensuite autour des hanches. Elle plaça l'étrange phallus sous son armure et se remit en route pour le château Arrivée dans la salle, elle remarqua que c'était maintenant au deuxième homme de la file de baiser le pauvre vassal. Au lieu de s'en indigner, elle ressentit un étrange chatouillement au creux du ventre et subtilement, elle passa sa main sous son armure pour caresser son bouton de plaisir qui s'était enflammé Suite à une toute petite pression et quelques mouvements de la main, elle jouit en silence, attendant son tour pour baiser le vassal. Lorsque son tour arriva, elle sortit le phallus de sous son armure et l'inséra dans la rosette béante du vassal. - Hey Barth, les flammes ont épargné ton petit bout on dirait
JEUDI 25 SEPTEMBRE 2008
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