J'ai eu besoin de paix. Après une semaine de longues audiences et de défense ardue pendant une cause épineuse. J'ai eu besoin d'être seul, pour me reposer l'esprit, loin de l'agitation des tribunaux, des exigences de la profession. Pour cela, je suis venu à cette plage, dans une réserve écologique au sud de la côte de São Paulo. Je veux abandonner ma conscience turbulente dans les eaux d'une plage vierge et être seul avec mon corps. De l'endroit où je suis, j'aperçois une maison de bois avec de grandes fenêtres en verre, construite sur un pilier de dix mètres de hauteur environ, incrusté dans un rocher, avec un passage étroit qui la sépare de cette plage. C'est quelque chose de complètament primitif, de presque inaccessible. De larges marches, sculptées dans la pierre forment une facade en escaliers qui va du sable jusqu'à la porte d'entrée. Lorsque je franchis le dernier degré, un jeune homme de vingt-huit ans, fort et bronzé, me reçoit et sa main prend la valise que je porte. Il me mène à la réception et me présente : -«Voici Monsieur Olavo Hoffmann ?» -«Vous devez être Cláudio Ribeiro, le propriétaire de cette maison. Nous avons discuté l'un l'autre au téléphone.» -«Bien sûr, je reconnais votre voix maintenant. La maison est prête. Venez avec-moi.» Après m'avoir montré les pièces de la maison, que j'avais déjà vu virtuellement, en m'expliquant les détails pratiques et techniques de la place, le proprio et son groom m'ont dit au revoir. J'avais un beau corps, façonné avec certitude par la natation et par l'entraînement. Et j'aime aussi le sexe masculin, je suis fier d'appartenir à ce genre. Je suis très diplomate et assez sensible mais je suis loin d'être féminin. J'ai un côté rude et compétitif bien marqué, cependant côté sexe, j'aime être soumis. J'adore donner et sucer une grosse queue, lécher le corps entier de mon partenaire. J'arrangeai mes vêtements dans le placard principal. D'une fenêtre immense, j'avais une vision incroyable de l'horizon sur la mer. Dans le salon, je préparai un whisky et je suis allé au balcon pour boire sous les dernières lumières du jour. Le soleil était déjà caché et la nuit est tombait sur l'océan distant, en glissant dans la direction de la côte lentement. Je fumai une cigarette dans le crépuscule, au son de la mélodie des cigales dans la forêt. J'observai le rythme des vagues qui se fracassaient sous la façade de la maison. Soudainement, une personne paru sur l'escalier et vint à ma rencontre, en sortant de l'obscurité. -«Monsieur Olavo ?» -«Oui.» -«Je suis William, votre valet attitré.» -«Cláudio m'a prévenu, je vous attendais.» William était trapu, fort, avec un air sérieux. Son visage était encadré par une cascade de cheveux blonds. Il me dit qu'il avait dix-neuf ans et qu'il voulait faire des études en droit. Il vivait avec Cláudio qui l'avait recueilli quand il avait perdu ses parents. Mais je voyais bien que les choses étaient allées plus loin entre eux, qu'ils étaient intimes, c'était dans leur visage. Cette nuit précise, je fus secoué par des rêves étranges avec une charge érotique puissante. Au matin, je suis allé marcher sur la plage dans la lumière de l'aube. Je suis ensuite retourné à l'hôtel où l'idée d'aller fouiner du côté de la chambre de mon hôte me subjuga l'esprit. Je les surpris. William et lui en pleine action. Enthousiasmé, je reculai jusqu'à un point plus sombre où je ne pourrais jamais être vu, et je me masturbai lentement, en observant le rapport sexuel des deux. William, avec l'ardeur de son âge, suçait son compagnon furieusement même après l'orgasme, pour avaler ce mât qui déchargeait un flot de sperme dans sa bouche. J'ai reculé avec prudence, après avoir moi-m me copieusement joui et je suis descendu vers la colline en silence. J'entrai dans la mer, je plongeai dans la mousse froide. Possédé d'une impulsion soudaine, je bandai de nouveau et je jouis dans l'eau froide. Mon pénis cracha un lait abondant tandis que je me fichais deux doigts dans l'anus Après, je retournai m'allonger pour une sieste bien méritée. À midi. Cláudio est venu m'apporter le déjeuner. -«Mais cela n'est certes pas inclus dans le forfait, n'est-ce pas ?» -«C'est mon plaisir ! C'est la meilleure nourriture de la region, faite dans un restaurant du lieu. C'est très bon, vous ne le regretterez pas. -»Et bien merci mon ami.« -»Est-ce que vous
MERCREDI 24 NOVEMBRE 2004
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