Dépucelage anal

J'ai connu Benoît sur la terrasse d'un café. J'étais assise au soleil. Mes jambes, rasées, étaient croisées très haut, laissant apparaître mes couilles, car je ne portais pas de culotte sous ma minijupe. J'aime procéder de la sorte. Souvent des hommes m'ont dragué, feignant de croire avoir à faire à une vraie femme, même si, le plus souvent, ils savaient qui j'étais réellement. Jusque là cependant, j'avais sagement décliné toutes les propositions qui m'avaient été adressées. Par timidité, par crainte, peut-être. Mais aussi parce que je voulais rêver. De la sorte, même si je suis une jolie brune de 30 ans et mesurant 1 mètre 80, je demeurais vierge de mon orifice anal. J'attendais simplement l'aventure qui me ferait connaître des expériences inoubliables. Je n'ai pas été déçu… Benoît est arrivé. Il s'est assis à une table située à proximité de la mienne. Il ne cessait de fixer mon entrejambe. J'ai alors légèrement changé ma position et j'ai remonté quelque peu ma jupe, de manière à découvrir une partie de ma fesse gauche. Benoît s'est approché de moi et nous avons bavardé quelques instants. J'ai tout de suite senti que quelque chose de spécial se produisait. Son regard et ses mots ne trompaient pas : je savais qu'il me désirait ardemment. Ayant pour ma part également succombé à son charme, nous avons convenu d'un rendez-vous chez lui pour le soir même et nous nous sommes quittés pour le restant de l'après-midi. Il était 20 heures lorsque je suis arrivé, juché sur des talons aiguille, sur le palier de Benoît. J'étais vêtu simplement d'une parure en dentelle noire : soutien-gorge, string, bas et porte-jarretelles, sous un manteau de pluie ciré, également noir, car il m'avait laissé entendre que le noir l'excitait beaucoup. J'ai sonné. Benoît est venu m'ouvrir. Il était entièrement nu, ce qui m'a permis d'apprécier tout de suite la taille gigantesque de son sexe. Il ne m'avait pas menti. Son sexe devait bien mesurer 30 cm une fois en érection. Il me paraissait bien long. Cependant, j'avais une envie folle que ce soit ce membre qui me sodomise pour la première fois… Il m'a fait entrer dans le salon et j'ai défait lascivement la ceinture de mon manteau. Lorsque Benoît a pu admirer mon corps parfait, son pénis est entré en érection. Ses yeux embrassaient avidement mes formes voluptueuses ; il remontait mes longues jambes, observait mon ventre plat, scrutait ma bouche pulpeuse soulignée de rouge et, surtout, il dévorait mes seins, semblables à de petits fruits juteux que l'on aurait glissé dans les balconnets de mon soutien-gorge. Je le regardais avec un sourire malicieux tout en exhibant ma poitrine naturelle, trop généreuse pour être celle d'un homme. Consciente d'être la cause de l'émoi qui habitait Benoît à cet instant, et ne cherchant qu'à l'exciter davantage, je me suis penché pour me servir un verre, ce qui lui a valu un joli coup d'oeil sur le galbe de mes jambes et sur la forme de mes fesses dénudées. Ensuite, alors que ma langue jouait avec les glaçons qui rafraîchissaient ma boisson, je me suis appuyé contre le canapé, attendant sa réaction. Benoît s'est avancé vers moi et m'a complimenté pour ma très grande beauté. J'étais transporté par son compliment. Je lui ai répondu en empoignant directement son sexe, instantanément devenu aussi dur qu'une barre de fer. N'y tenant plus, il m'a embrassé vigoureusement. Puis, étant passé derrière moi, il a écarté délicatement mes fesses pour y placer sa queue qui est venue glisser le long de la fine cordelette de mon string. Il s'est ensuite hasardé à me caresser les cuisses, les hanches, les flancs, le ventre. Dégrafant alors mon soutien-gorge, qui n'attendait que cela pour libérer mes seins, il a entrepris de les pétrir avec ses deux mains tout en me suçant et me léchant le cou. Maintenant, la transpiration liée au désir et à l'excitation humectait sérieusement l'orifice de mon anus. Il a retiré sa verge d'entre mes fesses et m'a demandé de le sucer. Au fur et à mesure que je descendais vers son membre, j'ai laissé échapper, le long de son corps, quelques baisers éparses auxquels il a répondu par des soupirs. Une fois à genoux devant lui, j'ai entamé la fellation. Ma langue câlinait son gland décalloté. En même temps, je soupesais les couilles sur lesquelles s'égarait parfois ma langue. Elles étaient énormes, gonflées de sperme et j'ai pensé que j'allais prendre une sacrée giclée. Maintenant, son érection était totale, ce qui me fit…

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MERCREDI 24 NOVEMBRE 2004

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