Avant de m'exhiber sur Internet et de créer mon propre site, j'aimais déjà exciter les hommes et me dévoilant sans pudeur devant eux. J'ai commencé devant mon mari. J'avais 26 ans et je ne soupçonnais pas encore le plaisir et toutes les sensations que je pourrais éprouver par le seul fait d'être regardée. Kévin avait eu l'idée de faire quelques petites photos coquines. La première séance a eu lieu dans notre chambre. Il m'avait demandé de passer des dessous très sexy et je me suis laissée guider dans des poses assez osées pendant qu'il me mitraillait avec son appareil. C'était du noir et blanc pour qu'il puisse les développer lui-même. Cela m'a plu et m'a beaucoup excité, lui aussi. Par la suite, nous avons fait d'autres photos : dans la nature, dans d'autres pièces de la maison, dans la voiture et quelques-unes dans une cabine téléphonique, la nuit, alors que j'étais nue sous un manteau. Constatant tout ce que je pouvais ressentir dans ces exhibitions, Kévin m'a poussée à aller encore plus loin et à m'introduire divers objets dans mes deux orifices devant son objectif. Plusieurs fois, il m'a demandé sur le ton de la plaisanterie : -«Et devant d'autres hommes ? Tu n'aimerais pas leur montrer ce que tu fais devant moi ?» Je répondais toujours non. Et c'était vrai. Je n'avais pas du tout envie de m'exhiber devant d'autres hommes, mis à part Kévin. Son seul regard me suffisait, m'excitait et me donnait ensuite envie de faire l'amour. Mais je sentais que Kévin, même s'il ne me l'avouait pas vraiment, rêvait de me confronter à des voyeurs. Puis, il y a eu ces vacances en Camargue. C'était la première fois que je fréquentais une plage de naturistes. Il y a eu comme un déclic. Sur cette plage, beaucoup d'hommes me regardaient et cela me plaisait et me troublait. Qu'ils soient jeunes, vieux, peu importe. Les sentir détailler mes seins, contempler mes fesses ou lorgner sur ma petite chatte brune, c'était encore plus fort que s'ils me caressaient. Je n'en revenais pas de mouiller autant alors que des types ne faisaient que de me mater. Kévin l'a vite senti. Un après-midi, nous nous sommes écartés de la plage pour aller faire l'amour dans les dunes. Là, et sans en parler à mon mari car je me sentais trop honteuse, j'aurais aimé que des voyeurs assistent à nos ébats. J'ai joui en imaginant que plusieurs étaient cachés dans les dunes et se masturbaient en nous épiant. Je ne pouvais plus le nier : j'étais une femme exhibitionniste. Après avoir joui, je me suis sentie assez coupable pourtant Dès le lendemain en me retrouvant nue sur la plage, le même trouble s'emparait de moi. J'avais envie de me montrer encore plus provocante, plus allumeuse pour attirer les regards vers moi. Un soir, alors que deux hommes d'une cinquantaine d'années installés près de nous n'avaient pas arrêter de me reluquer, Kévin m'a surprise en me murmurant : -«Et devant eux ? Tu n'aimerais pas te caresser devant ces deux mecs. Je crois que tu leur plais.» J'ai rougi de gêne mais en même temps, mon sexe s'est trempé. Je lui ai répondu : -«Si tu veux. Si ça te fait plaisir, je veux bien le faire pour toi.» En fait, j'en avais très envie, moi aussi, mais je n'avais pas osé le lui dire. Kévin est allé les voir et un moment plus tard, ils nous ont suivis dans les dunes. Au début, je n'y arrivais pas. Je n'osais pas croiser le regard des deux hommes alors que je m'étais étendue sur le sable et que j'avais commencé à caresser mes seins. Je ne me sentais plus du tout excitée. Les deux voyeurs avaient empoigné leur queue et se masturbaient devant moi. L'un d'eux s'est mis à me parler et à me dire : -«Écarte bien tes cuisses. Montre-nous ta jolie petite chatte.» Je lui ai obéi et il a continué à me guider. Il m'a demandé de passer mes doigts sur ma fente, de frotter mon clitoris. D'un coup, et aussi bien dans ma tête que dans mon corps, tout en suivant les directives perverses de cet homme, l'excitation est revenue. De plus en plus forte et intense. Oui, c'était délicieux. Ma chatte n'en finissait plus d'humidifier mes doigts. Les pointes de mes seins s'étaient érigées durement, ma fente s'ouvrait sous mes caresses et je me suis mise à gémir. Les deux hommes bandaient très dur. Ils ont voulu voir
MERCREDI 29 SEPTEMBRE 2004
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