Le lendemain matin, je décide de te faire visiter Paris. Comme nous sommes dimanche, je préfère éviter la visite traditionnelle de la tour Eiffel, la concentration de touristes devant être énorme. Je décide donc de t'offrir un verre au café situé au sommet de la tour Montparnasse, soit au cinquantième étage environ, d'où l'on jouit d'un panorama magnifique sur l'ensemble de la capitale. Nous entrons donc dans la tour et nous dirigeons vers les ascenseurs. Nous entrons seuls dans le premier qui s'ouvre. Les portes se referment lentement, et l'engin commence son ascension. Les étages défilent : 16 17 18 19 Soudain l'ascenseur s'arrête brusquement. Nous attendons patiemment qu'il reprenne son ascension. Au bout d'une minute, tu t'approches du bouton d'appel d'urgence, en me disant : -«Ce n'est pas normal, je vais appeler. » Je m'approche alors de toi, pose une main sur ton sein à travers ton T-shirt en te chuchotant : -«On pourrait plutôt passer le temps » Mon autre main se pose sur ta cuisse et remonte le long de ta jambe en passant sous ton tailleur pour aller chercher ta culotte. Je sens ta chatte à travers, et je passe mon doigt le long de ta fente à travers le fin tissus. Tu t'adosses alors à la paroi de l'ascenseur et je me mets à genoux devant toi. Je glisse mes deux mains sous ta jupe. Tu remontes ensuite ta jupe sur tes hanches pour me donner plus de liberté, et j'en profite pour faire glisser ta culotte le long de tes jambes jusqu'à tes pieds. Je te la retire alors et la mets dans ma poche. Je pose ensuite mes deux mains sur ton petit cul bombé, et je commence à le peloter furieusement. Je vois ton clitoris se durcir, pour bientôt se dresser au maximum. Tu poses tes mains sur ma tête et me pousse vers ton sexe avide de plaisir. Du bout de ma langue je touche ton clitoris dressé, puis descent le long de ta fente pour recueillir l'humidité de ton sexe. Je lèche longuement, toujours en te pelotant le cul, tandis que tu presses ma tête contre toi. Je me relève ensuite, pose les mains sur tes seins tout en t'embrassant. Je soulève ton T-shirt pour lécher avidement tes deux aréoles. Pendant ce temps, tu déboutonnes mon pantalon et cherche de tes doigts avides mon sexe durci. Tu le prends entre tes mains et tu commences à me masturber. Je mets alors un doigt contre ta chatte et l'enfonce profondément. Je te caresse le clitoris avec le pouce, et l'autre main toujours sur ton sein, j'entreprends de te masturber également. Je retire ensuite mon doigt, et avec tes mains tu diriges mon sexe vers le tien. Je te pénètre alors profondément, en te plaquant contre la paroi de l'ascenseur. Après quelques coups de boutoir, nous jouissons tous les deux. Quelques instants plus tard, nous nous rhabillons : -«Tu me rends ma culotte ? me demandes-tu avec un sourire.» -«Je te préfère comme ça », répondis-je également avec le sourire." Je passe alors une main derrière ton dos, te plaque contre moi, t'embrasse violemment et glisse rapidement mon pouce dans ta chatte en passant sous ta jupe. Tout d'abord surprise de ce deuxième assaut, tu te laisses faire et m'enlace pour mieux te serrer contre moi. Mon doigt commence alors un mouvement de va-et-vient qui semble fort te faire plaisir, et tu jouis quelques instants plus tard. Je retire alors mon pouce, que tu portes à ta bouche pour le sucer avidement. Quelques instants plus tard, l'ascenseur se remet en marche, et nous arrivons sans autre interruption en haut de la tour. Tu admires la vue, et nous buvons un verre tranquillement. Nous passons le reste de la journée à flâner dans Paris et à nous reposer dans les parcs, comme la plupart des couples que nous voyons. Nous rencontrons un de mes anciens copains de classe. Jean-Michel et sa copine Vivianne qui nous invitent à dîner chez eux. Nous acceptons leur invitation avec joie, et nous repassons à l'hôtel pour nous changer avant de nous rendre chez eux. Tu mets un string noir, et par dessus une longue robe moulante bleue foncé, qui met en valeur tes formes. Je me contente d'un pantalon beige et d'une chemise bleu clair, rien de particulièrement excentrique. A 8h05, nous sommes devant leur porte. Je sonne et c'est Viviane qui nous ouvre. Elle est vêtue d'une robe courte blanche et de chaussures à talons plats. Nous entrons dans le petit
VENDREDI 27 AVRIL 2007
Pour répondre à cette annonce et voir la vidéo, Veuillez indiquer :