COOKIE À LA PISCINE 2

Vincent commença à déshabiller Sophie et Stéphane s'occupa de Val. Michel vint tout naturellement vers moi. Il m'enleva délicatement ma petite robe. Au passage, il me caressa le dos, les reins, les fesses. Je me retrouvai en string devant lui et il me dit : - Puisque tu ne portes pas de soutif, je vais faire semblant de te l'enlever quand même. Il passa les mains dans mon dos puis sur mes épaules, longea mes bras et remonta vers ma poitrine. Il caressa mes seins et s'attarda sur mes tétons. Cette situation m'excitait de plus en plus. Je sentais mon ventre se contracter, mon minou prêt à dégorger son flot. Il décida de s'attaquer à mon string. Il mit une main entre mes fesses et une main sur mon sexe. Il passa sa main arrière sous la ficelle et l'écarta délicatement de l'endroit où elle s'était cachée. Son autre main passa sous le léger tissu et descendît sur mon minou. Il dégagea le tissu et le fit descendre entre mes cuisses qui s'écartèrent légèrement pour lui laisser le passage. Mon petit chaton n'avait qu'une envie, c'était de miauler sous ses caresses… Mais non, je me retrouvai maintenant entièrement nue et je me rendis compte que tout le monde nous regardait car il semblait que Val et Sophie étaient dévêtues depuis un petit moment. Je m'installai en face de Michel, les jambes légèrement entrouvertes pour qu'il puisse me contempler sous toutes les coutures. Pendant ce temps. Sophie était en train de s'occuper du minou de Val. Mais je ne faisais pas attention à ce qu'elle faisait, trop occupée à me laisser découvrir par les yeux de Michel. Soudain, j'entendis Sophie me dire, à ton tour de me laver. Je me levai, déçue de devoir quitter ma position. Sophie se coucha sur une chaise longue et écarta ses jambes. J'approchai ma tête de son sexe en effleurant ses cuisses avec mes lèvres. Son minou parfaitement épilé s'ouvrit à moi. Ma langue titilla ses lèvres sans pénétrer dans son intimité. Je voyais Sophie tressaillir. Les garçons s'approchèrent de plus près pour nous regarder. J'entendis Vincent dire : - Elle a l'air d'aimer ça la petite salope, vas-y, lape-lui la chatte et chope-lui le clito. Ma langue s'engouffra entre ses lèvres et je sentis sous ma langue son clito déjà tout gonflé de plaisir. Je la sentais se crisper sous mes coups de langue. Elle essayait de résister, de ne pas laisser son bonheur éclater mais rien n'y fit. Son jus coulait et j'avais envie de boire tout son nectar mais les garçons m'arrêtèrent. - Tu t'y connais, me lança Stéphane, j'espère que tu joues aussi bien avec les bites. - Si tu veux le savoir, reste un peu plus longtemps ce soir et tu verras. Voilà je l'avais dis maintenant, plus question de faire marche arrière. J'étais toujours dans la même position, à moitié couchée sur le transat, mon cul exposé à tous et je vis Michel passer derrière moi. Il posa sa main sur mes fesses et passa un doigt sur ma chatte. - Tu sais que tu es toute humide. Tu vas jouir hein ! Ça te plait. Au fait l'invitation que tu as faite à Steph, elle compte aussi pour moi ? - Pour toi et pour Vincent… C'était bien votre deuxième proposition pour le gage non ? Je n'ai pas pu me décider alors j'ai choisi les deux. Je me levai et m'étendis sur le transat. Val s'approcha de moi toute timide. Je vis à sa façon d'agir qu'elle était novice dans ce domaine. Je lui présentai mon petit minou et elle approcha délicatement sa bouche et y posa de petits baisers. Sophie nous regardait et s'approcha soudainement de Val. Elle lui dit : - Mélange ta langue à la mienne comme si nous voulions nous embrasser goulûment et descends vers sa chatte. Je voyais leur langue s'emmêler et lorsqu'elles touchèrent mon sexe, ce fût délicieux. Deux langues jouant avec mon clito faisaient doubler mon plaisir. Je n'avais jamais rien connu d'aussi bon. Les garçons les laissaient faire. Je voyais ou croyais voir Vincent, sa bite dans sa main, en train de se masturber. Sophie était beaucoup plus entreprenante que Val. Les garçons voyaient qu'elle était un merveilleux professeur. C'est pourquoi lorsqu'elle se mit à me caresser les seins, ils ne dirent rien. On s'occupait de moi à quatre mains et j'adorais. Sophie alla plus loin dans mon intimité. Elle plongea un doigt vers mon vagin, elle le fit monter, descendre, puis…

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DIMANCHE 27 JANVIER 2008

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