CHRONIQUE ÉROTIQUE D'ANTOINE I

Chers lecteurs. Ma vie qui a toujours été sans piquant ou presque bascula un jour avec l'arrivée chez moi d'un courrier bien spécial. Ma femme était absente et j'ai ouvert les deux colis envoyés par mon oncle, un homosexuel avoué, avec une curiosité bien légitime. Le premier contenait une camisole de style médiéval très moulante et le second, un pull en filet. Ce colis donnait certainement suite à l'envoi d'un micro, il y a quelques semaines, avec lequel je pouvais parler via le net. Ces deux colis allaient être à l'origine d'aventures sexuelles incroyablement palpitantes que je compile encore, à l'heure actuelle, dans des chroniques érotiques. Bref, suite à la réception du colis, je fus pris par l'envie irrésistible d'essayer les vêtements. J'admirai dans la glace mes abdominaux et mes pectoraux saillir tandis que mes bras musclés étaient entièrement dévoilés. Je me trouvai particulièrement séduisant dans cet attirail très féminin ce qui m'incita à me caresser la queue. Très vite, mon pantalons tomba à mes pieds et ma tige, déjà gonflée, gicla dès les premiers attouchements. Je pris ensuite une douche et je téléphonai à l'ancien mari de ma tante pour le remercier de ses présents. Sa voix se fit toute mielleuse quand il entendit ma voix à l'autre bout du fil. - Tiens. Antoine, je pensais justement à toi… Je fus plus heureux que surpris par cette déclaration qui, venant de sa part, n'avait rien d'étrange. - Je voulais seulement te remercier pour les colis, c'est très joli. - Tu les as essayés, dis-moi ? Je rougis jusqu'aux oreilles et déclarai d'une voix hésitante : - Oui, et ils me vont à merveille ! Mon oncle s'esclaffa avant de me demander : - Et tu voudrais bien m'envoyer des photos de toi ainsi vêtu ? Je n'étais pas sûr d'en avoir envie mais j'osais rarement contredire les gens. J'acceptai donc un peu à contrecœur mais sans le laisser paraître. En fait, j'étais heureux d'avoir un autre prétexte pour me glisser dans ces tissus sexy. C'est à cet instant même que ma femme. Sandra, apparut dans l'embrasure de mon bureau. - Tu peux m'expliquer à qui sont les vêtements étrangers sur notre lit ? Merde ! Je me maudis d'avoir oublié de ranger ces cadeaux louches. Comme un gamin que l'on aurait pris en flagrant délit, je bredouillai en toute hâte : - C'est mon oncle qui m'envoie ça, tu sais il est gay et ses goûts ne correspondent pas toujours aux miens… Et j'ai peur de le blesser si je lui avoue que je n'aime pas ses cadeaux… Sandra éclata d'un rire sarcastique et ajouta d'une voix tout aussi ironique : - Et quoi encore ? Après le micro et les pulls moulants, ce sera la webcam ? Sandra était visiblement au courant des pratiques du monde homosexuel. Sur ce coup-là, je devrais faire très attention pour ne pas éveiller en ma douce davantage de soupçons. Je portais un plug anal depuis quelques semaines déjà et jamais Sandra ne s'en était aperçu. Raison pour laquelle je mis fin à cette conversation d'un ton qui ne supportait aucune discussion : - Tu me prends pour un pédé, maintenant ? Cette défense déguisée en attaque plut à Sandra qui m'embrassa sèchement avant d'aller se doucher. Je m'en étais sorti avec brio. Mon esprit était hanté par la vision que m'avait offert la glace plut tôt. Jamais je ne m'étais trouvé aussi sexy et j'étais étrangement excité à l'idée que mon corps puisse éveiller le désir de mon oncle. Louis, l'ex de ma tante. Dès que Sandra fut couchée ce soir-là, j'enfilai les chandails un à la suite de l'autre et je me pris moi-même en photos. Mon narcissisme grandissant me fit gicler une fois de plus, après bien sûr m'être offert une petite gâterie manuelle. Je m'imaginais bien Louis décharger sur mes photos en les matant. Je me pervertissais de minute en minute. Le lendemain en revenant du boulot, je pus parler à Louis via un forum de discussion privé. Il était médusé par les photos, il me trouvait tout à fait désirable. Je sentis mon membre se durcir de nouveau et je ne pus m'empêcher d'aller chercher mon plug et le pull en filet. Je revins seulement vêtu du pull, je déposai le plug sur ma chaise, grâce à la ventouse dont il était muni, et je sortis de son emballage la webcam neuve que j'avais achetée avant de rentrer à la maison ce jour-là. Je proposai donc à Louis : -…

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SAMEDI 13 SEPTEMBRE 2008

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