La vivacité de sa langue dans ma bouche me confirma cette impression. Je caressai avec délices la tendre créature qui s'agitait sur moi. Ma main s'égara rapidement sur ses fesses que je pelotai sans aucune retenue. Puisque je savais désormais que la coquine appréciait cette attention, je n'hésitai pas à pousser plus loin mon investigation, et je lui glissai un doigt dans le trou du cul. Je m'attendais à entrer sans aucun problème, tant j'avais inondé l'endroit peu de temps auparavant. Mais, oh surprise ! Mon index fut confronté à une résistance inattendue. La petite pastille ne céda après que j'eus insisté un bon moment à son entrée. Intrigué, le doigt toujours étroitement serré dans son cul, j'ouvris les yeux, pour constater que ma vicieuse sur avait profité de ma faiblesse momentanée pour prendre la place de l'anglaise ! Pas plus troublée que cela. Caroline continuait à malaxer ma pauvre langue de son propre appendice déchaîné. Rapidement séduit, j'oubliai mes réticences et rendis à ma sur son baiser fougueux. Alison, ravie de ce dénouement, nous encourageait avec son enthousiasme habituel : - Come on. Christophe ! Fuck her ! Je ne demandais bien sûr pas mieux et je le fis savoir à ma petite sur en frottant ma queue à nouveau dressée contre son bas-ventre. Mais Caro, interrompant notre baiser, nous fit connaître son refus : - Non, je ne veux pas que tu me baises ! Tu es quand même mon frère, après tout ! - Dans le cul, alors, proposa Alison. C'est le moment idéal pour toi, ma chérie. Christophe encule très bien et je sais que tu as très envie d'essayer. Jamais tu ne retrouveras quelqu'un aussi doué que lui ! Caroline me regarda dans les yeux et y lut mon désir intense. Je constatai le sien en retour. Cet émouvant échange fraternel la convainquit de s'abandonner. Avant l'instant de vérité. Alison proposa une douche commune où elle se révéla être une organisatrice hors-pair et prit en main la préparation de la sodomie de Caroline. Elle se chargea tout d'abord de savonner énergiquement puis de rincer ma queue à nouveau en érection, ainsi que la moule et le cul de ma sur. Elle ordonna ensuite à celle-ci d'emboucher mon sexe, tandis qu'elle-même plaçait sa jolie tête entre les fesses de son amie. Quant à moi, inutile de préciser que j'étais très bien dans la bouche de Caro, qui se démenait afin de me démontrer l'étendue de ses talents. Elle ne perdait pas non plus de vue que sa fellation avait pour but de faciliter l'introduction de mon gros chibre dans son petit anus et en conséquence, elle commença intelligemment par enduire mon gland d'une épaisse couche de salive, tout en me fixant avec insolence de ses jolis yeux bleus. Afin de l'encourager dans son oeuvre, je posai ma main sur sa tête et caressai son opulente chevelure blonde, tandis qu'elle étalait à grands coups de langue sa salive sur la totalité de ma bite. Tout en savourant le plaisir de cette fellation, je ne quittais pas des yeux le splendide tableau vivant qui s'offrait à moi et je n'en croyais pas ma chance de vivre une expérience aussi unique. Comment aurais-je pu penser que cette innocente excursion s'achèverait par ces débordements incroyablement torrides ? Je n'aurais même jamais pensé vivre un jour une situation érotique si troublante : me faire sucer par ma petite sur, qui se faisait elle-même bouffer le cul par une fille superbe en attendant de se faire sodomiser pour la première fois par moi ! J'avais de plus en plus de mal à dissimuler l'impatience extrême qui s'était emparée de moi à la pensée de cette dernière dépravation. Caroline la ressentit sans doute aux tressautements qui agitaient ma bite et, cette légitime excitation étant contagieuse, elle écarta de ses deux mains ses fesses charnues et exprima ses désirs d'une façon éloquente : - Encule-moi vite, j'ai envie ! Je veux te sentir dans mon cul ! Défonce-moi l'anus. Je ne pouvais bien sûr pas refuser plus longtemps à ma sur la satisfaction d'un souhait formulé d'une façon aussi charmante et en conséquence je demandai à Alison, comme elle en avait manifesté le désir, de m'introduire dans le tunnel étroit de son amie. La belle anglaise, qui pistonnait de son doigt gluant de salive le cul de Caroline, prit alors ma queue entre ses doigts et plaça mon gland à l'orée de la pastille mauve qu'elle força avec délicatesse. Nous étions tous les deux tellement mouillés que celle-ci céda rapidement
SAMEDI 2 JUIN 2007
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