CAROLINE ET NOTRE GONZESSE 2

Je restai un moment pétrifié, tenant toujours ma bite à moitié dressée à la main. Je ne savais quelle attitude adopter. Alison se tourna vers moi et me sourit. Caroline continuait, mais plus lentement, sa masturbation, avec, elle aussi, un léger sourire qui me parut moqueur. Ainsi, leur attitude ne laissait aucun doute à ce sujet : les deux salopes étaient complices ! Rapidement, l'érotisme de la situation m'apparut. Baiser la meilleure amie de sa s ur sous les yeux de celle-ci, n'est-ce pas le fantasme de beaucoup d'hommes ? Ma queue se remit bientôt à bander à cette idée et Alison, s'apercevant de ce qui lui sembla être un assentiment, me murmura : - Tu vas voir, on va bien s'amuser ! Puis elle dit à Caroline de s'approcher tandis que je pénétrai avec soulagement son vagin brûlant et étroit. Ma s ur s'exécuta et se débarrassant au passage de sa légère chemise, elle s'agenouilla près de nous. Tandis que je ramonais avec vigueur la jolie salope anglaise, dont la chatte bien serrée régalait ma queue d'exquises petites contractions, je ne pouvais détacher mes yeux du superbe corps de Caroline. À vrai dire, ce n'était pas la première fois que j'avais l'occasion de la voir ainsi en détail car, quand nous étions adolescents, nous n'éprouvions aucune gêne l'un envers l'autre et ma s ur aimait particulièrement à l'âge de quatorze ou quinze ans s'exposer devant moi pour me provoquer. Je gardais de cette tendre époque le souvenir d'un minou adorablement juvénile et étroit, rien à voir en tout cas avec la chatte large et généreuse, bien qu'apparemment toujours bien fraîche, que j'avais sous les yeux et qui en disait long sur la taille des calibres que ma bienheureuse s ur avait dû sentir passer depuis. Mais à en juger par sa technique masturbatoire, la garce ne devait pas se contenter des séances de frotti-frotta avec les garçons. Comme toute bonne branleuse, elle faisait alterner avec habileté les tripotages délicats du clito et les pistons au plus profond de la moule et ses doigts ressortaient luisants de mouille, qu'elle s'empressait de foutre sur son petit bouton. Ainsi, le con toujours trempé, les reins cambrés et les yeux mi-clos, mais ne ratant rien de notre chevauchée. Caroline s'offrait une branlette de rêve. Elle semblait maintenant tout près de la jouissance comme en témoignaient les vagues de plaisir qui parcouraient sans répit son joli visage. Alison n'en était pas loin non plus et, bonne fille, elle nous en informait bruyamment : - I come… I come… Je n'étais pas très frais moi non plus, mais je voulais encore en imposer aux deux filles. Je pris donc la belle anglaise par les hanches et j'accélérai mon mouvement de piston. Jamais, je crois, je n'avais aussi bien bourré une fille. Quand enfin je sentis que toutes les deux avaient bien pris leur pied. Caroline grâce au spectacle que nous lui offrions et Alison grâce à ma queue d'acier, je me décidai à les rejoindre au paradis. Mais pour que le plaisir soit complet, je voulais que les filles puissent profiter de cet ultime instant. Je sortis donc ma bite luisante de son splendide écrin et après quelques va-et-vient sur les fesses de l'anglaise, il me vint la plus belle giclée de toute ma vie qui éclaboussa Alison jusqu'au duvet châtain de sa nuque et se répandit abondamment sur son dos, ses reins, ses fesses. J'y déposai avec amour les dernières gouttes de mon offrande. Avant de m'effondrer, ravi, entraînant auprès de moi Alison dans un fougueux baiser, j'eus le temps d'apercevoir l'expression épanouie et admirative de ma s ur. Quelques minutes après. Ali, qui avait récupéré plus vite que nous, se leva pour aller reprendre une douche, dont elle avait bien besoin après le copieux arrosage dont je l'avais gratifiée. Elle proposa à son amie de l'accompagner. Elle en avait besoin aussi tant elle avait mouillé. Caro, pourtant habituellement très attentive à son hygiène, me surprit un peu en lui répondant négativement : - Non, pas tout de suite. Tu sais bien que j'aime rester un moment dans cet état ! Alison se rendit donc seule dans la salle de bain, non sans offrir au passage à ma s ur une tendre caresse sur la joue. Ainsi se précisait le soupçon qui m'était venu un peu plus tôt à l'esprit, quand j'avais remarqué avec quel manque de pudeur les deux filles agissaient l'une envers l'autre. Non contentes d'être de fieffées salopes, étaient-elles également lesbiennes ? À vrai dire, cette

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VENDREDI 17 MAI 2013

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