Nous avons, Béa et moi, commencé nos escapades coquines il y a une quinzaine d'années. Nous avions déjà évoqué entre nous les fantasmes que nous souhaitions réaliser mais n'étions pas encore passé à l'acte, sauf peut-être dans nos jeux qui devenaient de plus en plus vicieux entre nous. Parmi ces fantasmes figurait en bonne place celui de la pluralité masculine pour Béa. Elle adore faire l'amour et je savais que de se retrouver entre deux hommes la ferait craquer. Moi, rien que l'idée de la voir et de la sentir jouir encore davantage, me faisait bander. À l'époque, c'est sur le Minitel que nous pianotions en essayant de poursuivre le contact rapidement au téléphone pour limiter la facture. C'est d'abord la voix de Bruno, basse et sensuelle, qui fit fondre Béa. Il était commercial et passait régulièrement dans notre région. Il fut convenu qu'il nous appellerait dès qu'une occasion le rapprocherait de nous. Un soir de semaine, vers 21 heures, le téléphone sonna. Bruno était à une vingtaine de kilomètres de chez nous et se proposait de nous rendre visite. Je répondis tout de suite favorablement, très excité à l'idée de ce qui allait se passer et par la soudaineté de la situation. Dans une trentaine de minutes, Béa aurait deux hommes pour elle ! Elle était, elle aussi, à la fois excitée et troublée par le caractère subit que prenaient les événements. Elle m'avoua ses sentiments mêlés de désir et d'anxiété; c'était la première fois qu'elle allait se donner à un autre homme. Je l'enlaçais tendrement en l'assurant que tout allait bien se passer «tu vas voir, ça va être bon.» Je lui suggérais d'aller se préparer tranquillement, j'accueillerais notre ami si elle n'était pas prête. Nous habitions en pleine campagne et je vis venir de loin les phares de la voiture. Béa aussi à l'étage. C'était la première fois que nous rencontrions Bruno mais nos précédentes conversations téléphoniques facilitèrent le contact et une ambiance décontractée s'installa d'emblée. Nous discutions tranquillement autour d'un verre en attendant Béa, la lumière était douce et tamisée. Nous entendîmes ses talons dans les escaliers et elle nous apparut vêtue d'une combinette en soie noire, très courte, qui laissait deviner la lisière des bas. Les pointes de ses seins qui se dessinaient parfaitement au travers du fin tissu nous renseignaient sur l'absence de soutien gorge mais aussi sur l'émotion de Béa. Notre conversation s'était interrompu à la vue de cet objet de désir qui arrivait vers nous avec un petit sourire, sûre de ses atouts. Elle salua Bruno de deux bises en posant délicatement une main sur sa nuque puis s'assit entre nous deux sur le canapé après avoir pris un verre. La conversation reprit pendant que ma main se posait sur la cuisse de Béa, je la sentais toute chaude, réceptive et ma caresse découvrit rapidement le haut des bas et ses jarretelles de dentelles noires, elle décroisa les jambes mais les maintint encore serrées, par contre elle posa doucement ses mains sur nos cuisses donnant ainsi le feu vert à Bruno. Je lui demandais comment il trouvait les dessous de Béa. Adorables, dit-il en remontant sa main sur le haut de la cuisse nue. Béa était maintenant complètement troussée et le petit rectangle de poils frisés qu'elle avait conservé sur son pubis devint le pôle d'attraction de nos regards. Elle ne parlait plus n'émettant que de petites plaintes accompagnant nos caresses. Ses mains commençaient aussi à s'activer et ne tardèrent pas à se fixer sur la bosse de nos pantalons. Elle tourna la tête vers moi pour m'offrir sa bouche en même temps qu'elle écartait lentement les cuisses pour nous laisser accéder à l'objet de toutes nos convoitises. Nos doigts se rejoignirent sur la chatte aux lèvres lisses, la petite vicieuse était déjà toute trempée, elle avait envie d'hommes et je sentais des pressions de plus en plus forte sur ma queue. Je laissais Bruno explorer la fente onctueuse, honneur aux invités et j'en profitais pour me libérer de mon pantalon et de mon slip. Béa embrassait Bruno à pleine bouche et s'attaquait à sa braguette, il dû interrompre son exploration pour faire comme moi. Les choses s'accéléraient, nous sentions Béa tout à fait à point pour se faire sauter. Je me mis à genoux près d'elle sur le canapé pour lui présenter ma queue dressée. Bruno fit de même de son côté. Les doigts de Béa effleurèrent nos membres, les décalottant délicatement puis c'est sa langue qui prit contact avec nos glands,
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MERCREDI 15 SEPTEMBRE 2004
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